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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 20 décembre 2012 13:34

    Ah, sinon, une catastrophe naturelle a rarement la délicatesse de prévenir avant de survenir. Si la probabilité que cela arrive demain est très très faible, cela peut quand même arriver à n’importe quel moment.

    Enfin, rien ne dit que notre manière d’agir n’a aucune influence ou interaction négative sur l’harmonie de l’Univers. La trajectoire d’un astéroïde est impossible à déterminer avec certitude et la moindre perturbation peut avoir des conséquences tout aussi imprévisible, tant positive que négative. D’autant que le temps estimé de détection d’un nouvel astéroïde est de 3 mois à l’avance. Idem pour l’activité volcanique, le champ magnétique terrestre, les nappes de méthanes, etc. Sans compter le risque non nul d’une 3ème guerre mondiale nucléaire et enfin la découverte de la vie extraterrestre !

    Bref, un cataclysme planétaire peut survenir demain comme dans mille ou 100 000 ans, mais disons que comme tout bon joueur le sait, l’attitude est pour beaucoup dans le résultat final...



  • Hervé Hum Hervé Hum 20 décembre 2012 13:21

    Cher Fabien, j’ai parlé de la fin de ce monde, pas de la fin du monde !

    Quelle st la différence ? La conscience que l’on a du monde.

    En effet, il suffit de changer sa conscience, son regard sur la vie pour changer de monde et donc en finir avec un, pour commencer avec un autre.

    En d’autres termes, un fin peut être physique ou spirituelle ou bien les deux à la fois. Mais cette fin correspond au passage vers ce que je nomme une nouvelle dimension de conscience d’être.

    Mais pour le comprendre il faut en avoir fait l’expérience...



  • Hervé Hum Hervé Hum 20 décembre 2012 00:49

    La fin de ce monde, on y est, ça j’en suis sûr...



  • Hervé Hum Hervé Hum 19 décembre 2012 10:33

    « L’argent est une nouvelle forme d’esclavage, et elle ne se distingue de l’ancienne que par son caractère impersonnel - il n’y a pas de relation humaine entre le maître et l’esclave. » (Tolstoy)


    .. ;suis allé cherché ça parce que tu m’y as fait penser.
    si on rajoute les techniques de manipulations des masses...effectivement..

    Bonjour Zben Leden

    Me voilà donc disciple de Tolstoy !

    C’est cette impersonalisation qui donne l’impression aux « petites gens » qu’ils ne sont pas esclaves d’autres personnes. Et en effet on peut le penser car en fait on a juste changé de maître mais pas de condition sociale. Le consumérisme consiste bien en l’esclavage envers l’argent tandis que la relation envers celui qui était le maître a évolué en servitude.

    Mais pour celui qui était le maître, l’argent n’est finalement qu’un artéfact pour perpétuer la soumission du plus grand nombre. La servitude à ceci de supérieur à l’esclavage qu’elle se différencie par un minimum d’auto discipline. Autrement dit, le serviteur est un esclave dont il est son propre gardien. L’argent agit alors comme régulateur de la contestation sociale, aidé en cela par le politicien, dernier fusible en cas de surchauffe excessive.

    Le point positif est que l’état de serviteur est l’étape intermédiaire entre l’esclave et le maître.

    Car si la liberté et donc la responsabilité s’acquiert par la discipline intérieure, la servitude, par le minimum qu’elle en exige en est la base fondamentale. En la conscience de la capacité qu’elle donne à accéder à sa propre liberté. 

    Dans notre société, la justification des élites tant politiques qu’économiques se fondent sur la croyance en l’incapacité des « petites gens » à la discipline intérieure. En d’autres termes à êtres des personnes responsables de leur actes en droits et devoirs envers autrui (famille et société). Ainsi, ce n’est pas le sens de la responsabilité lié à la discipline intérieure dont dépend notre propre liberté qui fait se restreindre les gens, mais la peur d’une force extérieure incarné par la police et elle seule. Confirmant et cimentant l’apparente nécessité d’une force de police, de l’armée de nos élites politiques avec en haut de la pyramide le vrai maître... Le ploutocrate, maître personnel du maître impersonnel !



  • Hervé Hum Hervé Hum 18 décembre 2012 13:20

    Bonjour Alinea

    Vous complétez très bien mon commentaire. Mais j’ai surtout remarqué qu’en général ce genre de commentaire fait plus le vide que le plein autour.

    C’est comme d’expliquer que le gratuit est ce qui a le plus de prix, car cela fait appel a la valeur du partage et de la responsabilité individuelle, donc d’une conscience sociale, tandis que ce qui est payant ne fait appel à aucune valeur humaine et encore moins à la responsabilité.

    Mais malheureusement beaucoup préfèrent rester irresponsables... Et donc payer leur propre servitude.

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