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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 décembre 2012 10:38

    En résumé,

    le prix de la gratuité collective c’est la responsabilité individuelle !



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 décembre 2012 10:37

    Article interessant !

    Je retiens cette phrase « De même qu’il n’y a pas de société marchande sans culture du marché, il ne peut advenir de société de la gratuité, sans culture de la gratuité », souligne-t-il.

    Ce qui manque à l’article de fondamental et qu’illustre parfaitement cette phrase c’est l’absence de la notion de responsabilité citoyenne. La gratuité n’existe pas et en lui même est un faux concept social. Par contre, le service public est un droit inaliénable du contrat social. Mais qui dit contrat social dit contre partie et celle ci consiste en l’accomplissement d’un devoir. Dans le cas des tramports publics il s’agit du devoir de non destruction, dégradation et du maintien de la propreté des bus qui n’est rien d’autre que de laisser l’endroit aussi propre qu’avant son passage.

    Autrement dit, cela passe par le changement de mentalité qui consiste à croire que ce qui est gratuit n’a pas de valeur (meilleur argument pour justifier la marchandisation !), mais bien au contraire, que c’est la valeur la plus grande car elle est l’émanation d’une volonté de vie commune et d’une société hautement évolué, basé sur la responsabilité individuelle de ses membres.

    encore et toujours la responsabilité c’est la capacité de répondre de ses droits ET devoirs envers autrui. Dans le cas contraire, c’est la mise sous tutelle !

    Et enfin,

    La liberté exige une grande discipline intérieure, la servitude un minimum et l’esclavage aucune car la discipline est alors imposé de l’extérieure !



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 décembre 2012 10:11

    Cher auteur, votre parcours personnel et le contenu de votre article montre que rien n’empêche de développer sa propre conscience si on le veut vraiment.

    Mais toujours ce même constat, qu’aujourd’hui ce n’est pas le ploutocrate ou le fond de pension qu’il faut dompter et supprimer, mais le politicien professionnel et le système de gouvernance par les partis politiques au service de cette infime minorité. Car la force publique donc des citoyens n’est pas détenu par les ploutocrates mais par les politiciens au travers de l’Etat.

    La ploutocratie n’a aucun autre pouvoir que celui qu’on lui concède à travers le contrôle de l’Etat par les partis politiques.



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 décembre 2012 09:45

    Vous sauvez l’honneur de votre profession ! Bravo donc.

    Mais à toutes ces affaires, la plus grosse car il s’agit de santé publique générale, est l’affaire du docteur André Gernez...

    Donc, d’un coté des laboratoires ripoux protégés, soutenus, de l’autre, le plus grand contributeur à l’avancé de la médecine moderne ostracisé et méconnu alors qu’il devrait être l’homme le plus honoré de France !

    Il serait temps de rendre hommage à ce grand homme de par son mérite et son intégrité.

    Pourriez vous le faire ici ? 



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 décembre 2012 00:14

    Conclusion Robert Gil ?

    Le système de gouvernance par les partis politiques à vécu, la révolution est de s’en affranchir. Le bon travail de Hollande est d’en faire la preuve.

    Mon neveu qui s’exclamait au déjeuner « mais on a besoin des patrons ! »... Oui, mon neveu, mais uniquement dans un monde en guerre économique (jusqu’à hier). pas dans un monde en solidarité économique (pour aujourd’hui), là, le patron est l’ennemi. Dans un monde en solidarité économique, ce qui commande c’est le contrat social, ensuite, il est simplement nécessaire que chacun ou du moins le très grand nombre, agissent de manière responsable là où ils sont. Et de patron, ne reste qu’un organisateur ou coordinateur. Bref, la compétition c’est bien pour le patron, mais seulement pour lui !

     Difficile pour lui de comprendre, tant la méthode hypnotique conduisant à la sujétion est forte. 

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