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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 19 octobre 2012 00:20


    Bonsoir Alinea, vous me parlez de bandonéon et cela me mène droit en Uruguay vers une amie.... Elle aussi chante et je vous imagine bien avoir ce même tempérament indépendant et farouche.
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    On ne fait qu’imaginer Dieu à partir de notre propre expérience du monde. Le fait pour un humain d’ obéir le prive t’il de sa conscience ? Un enfant à la naissance est il dépourvu de conscience ? Un animal est il dépourvu de conscience ? A toutes ces questions je réponds non. Tous sont pourvu de conscience. Ce qui fait la différence c’est la dimension dans laquelle chacun évolue. Tous évoluent dans des dimensions de consciences définies mais avec plus ou moins de possibilités d’évolution de leur conscience. C’est à dire de changer de dimension de leur conscience ou autrement dit, de changer ou considérer le sens de l’action en conséquence de l’acquisition d’une nouvelle connaissance (mémoire de la chose observé). Sachant qu’une dimension est un espace et donc suppose des règles propres définies.

    Dans cette version de l’histoire de Dieu, sa conscience et sa connaissance sont écrite. Il sait qu’il est l’Etre, possédant toute l’énergie de l ’Univers avec un pouvoir absolu sur celui ci. Il sait que ses « parents » lui ont recommandé de sans cesse créer et de ne pas se retourner ou autrement dit de jouir de ses créations sans se poser la question sur l’origine de ses créations (car l’origine renvoi à sa propre solitude). Son action est donc de créer et le sens est vivre, avec pour définition de la vie « donner sens à l’existence de l’être ».

    Lorsque Dieu cesse de créer, cela signifie qu’il atteint la limite dimensionnelle de la conscience dans laquelle il évoluait. Mais dans cette dimension de conscience, en l’explorant dans ses moindres recoins, il à évolué par palier, créant à l’intérieur de celle ci des sous dimensions de consciences.

    Au début c’était simple mais là, cela se complexifie. Pour comprendre le mécanisme de la conscience et de ses changement de dimension il suffit de prendre 2 miroirs, de les mettre en vis à vis et de se placer entre les deux. Vous verrez alors comment l’Univers fonctionne. Le miroir d’un coté se reflète à l’infini dans l’autre où chaque nouvelle image sort d’une dimension antérieure. Si vous placez plusieurs jeux de miroirs, la complexité devient infini et si vous vous perdez dans l’une d’elle, comment retrouver son chemin !

    Si l’on considère se principe et suivant ma définition de la conscience, on s’aperçoit que même le monde des atomes est doué d’une conscience propre mais dans une autre dimension antérieure à celle de l’humain. Mais cela dit aussi que chaque être humain se voit normalement évoluer dans plusieurs dimension de conscience d’être.

    Quand à ses parents, ils sont nommés dans l’histoire, ce sont Néant et Vie. Où le Néant est « la négation de sens de l’existant » et la Vie « donner sens à l’existence de l’Être ». Vous remarquerez que entre le Néant et la Vie il y à la naissance de l’Être. Soit Dieu. Seulement, la conscience d’Être naît de principe de causalités qui s’ils ne sont pas respectés font automatiquement replonger dans le néant... La négation de sens de l’existant. Le but ou rôle de Néant et Vie étaient donc de déterminer les principes inviolables permettant à l’être de s’exprimer, c’est à dire d’avoir une réalité ou ’forme d’être". Car on peut bien considérer la physique et la biologie comme des processus mécaniques, personne ne peut expliquer par un quelconque déterminisme la nature des forces qui les animes et que l’on appelle aussi la volonté.

    Et vous savez quoi ? Le seul vrai danger pour la Vie, c’est la perte de sens de son existence.

    Bonne nuit



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 octobre 2012 18:03

    Je vous en dirai davantage plus tard concernant ces fameux « parents »

    Mais n’oubliez jamais que ce n’est rien d’autre qu’une histoire, qui commence toujours par « il était une fois ». Une de plus. Après, on aime ou on aime pas !

    Quoiqu’il en soit, la plus belle histoire, c’est vous ! Faire de sa vie une histoire qui vaut la peine d’être raconté aux enfants...



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 octobre 2012 16:19

    Rassurez vous, j’ai toujours aimé le débat d’idée... Spécialement lorsque je le maitrise bien, car alors je le vis comme une partie d’échec !

    Est il utile de répondre à la question sur l’inanité de la création ?

    J’écris "Plus Dieu créait, plus Il s’émerveillait et jouissait de ses créations, qui étaient toutes une partie de son ego. Plus Dieu créait et plus Il s’éveillait à sa propre conscience« 

    Ayez toujours à l’esprit que Dieu est l’unique être composant l’univers. Sa conscience de départ innée, c’est celle légué par ses »parents« qui consiste à créer, créer et créer à partir de l’énergie éthéré. Donc, chaque création participe à son éveil sur la matière, la réalité.

    Dans cette conscience là, la solitude n’existe pas, n’a pas de sens, tant que Dieu continu à créer, tant qu’Il ne se retourne pas. Ce mouvement de création est ici la recherche de soi, du connaître, du possible, du beau. Chaque création est le prototype de la prochaine création. Chaque création est la conscience de la prochaine création.

    Mais lorsqu’il atteint le point où il ne voit plus rien à créer, ce mouvement s’arrête, et obligatoirement il se retourne pour contempler son oeuvre et se met à réfléchir sur celle ci. Il se retourne et ne voit que lui même. A ce moment là il atteint ce que l’on peut appeler l’omniconscience. C’est l’état d’éveil total qui consiste à avoir la conscience de tous ses états passés et les mettre dans une même perspective. Et la réponse est la même, l’arrêt de la recherche de soi.

    Mais qu’est ce que la conscience ? La définition que j’en donne est celle ci

    le sens de l’action en conséquence de la connaissance.

    Dans laquelle »l’action en conséquence de la connaissance« est l’intelligence et la connaissance est »la mémoire de la chose observé".

    Pour l’instant je n’y ai pas trouvé de défauts. Peut être vous si !



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 octobre 2012 13:35

    Non, votre avis est excellent car vous avez parfaitement ciblé les erreurs de celui ci. Surtout le fait que je n’aurai pas dû me présenter comme l’auteur mais comme le rapporteur. Ah, vanité quand tu nous tient !

    Mais après, parler du contenu et non de la forme c’est autre chose. C’est développer ma pensée et comme je l’écris, partir du commencement. SI vous souhaitez en discuter je ne dis pas non, mais encore une fois cela dépasse le cadre d’un article.

    Alors, si je remet l’article ce sera seulement en tenant compte de vos recommandations... Mais il se peut aussi que je l’oubli !



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 octobre 2012 11:59

    Ne nous méprenons pas Alinea.

    Je dis surtout que c’est une histoire.

    Ceci dit, pour l’exprimer il me faudrait partir du commencement, mais cela ne correspond pas à un article.

    Désolé Alinea, mon dernier commentaire était donc inutile.

    A plus sur un de vos agréables articles !

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