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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 14 octobre 2012 11:36

    Cher auteur,

    Il y a actuellement deux façon d’analyser la situation du monde. La 1ere, classique, est la votre. Une analyse géostratégique. La seconde, dite conspirationniste, voyant derrière la géostratégie la main d’un pouvoir oligarchique dont le but est de proposer une alliance mondiale des élites afin de protéger leurs intérêts. Une sorte d’équivalence en substance ne nécessitant pas une conspiration mais simplement la convergence d’intérêts de classes.

    Où se trouve la vérité ? Aujourd’hui comme hier, dans les deux. Une élite politico financière qui ne doit son pouvoir que par les outils de manipulation des masses, mais qui est toujours face au risque de perte de contrôle des masses et dont la stratégie est toujours la même, diriger l’explosion vers l’extérieur pour garder la main au niveau intérieur. 

    Mais avec la mondialisation, cette même élite se trouve face à un gros problème nouveau. Celui de la communication de masse et dont les effets à moyen termes ne peuvent êtres connues et maîtrisés à l’avance et ce malgré tous les moyens de contrôles mis en oeuvre. Car pour aussi virulents que peuvent être les extrémistes, quel qu’ils soient, ils ne sont jamais qu’une extrême minorité, la majorité des citoyens de notre monde aspirant à la même chose, la justice et la paix civile.



  • Hervé Hum Hervé Hum 13 octobre 2012 21:05

    Dans une démocratie, on considère que le nombre est la force dominante, applique donc sa philosophie mais en s’obligeant à préserver les intérêts des minorités pour rester dans un climat de paix civile. Dans le cas contraire, la guerre civile n’est pas loin !

    Pour le bateau, je l’avais imaginé grand, très grand pour contenir beaucoup de gens.

    Maintenant, si vous êtes sur un optimist c’est sûr que vous êtes autant à la manoeuvre qu’à la barre tel un anarchiste. Si vous êtes expérimenté et énergiques, vous pourrez piloter seul un bon katamaran ou trimaran de course tel un libéral, mais attention à la casse (l’anarchiste se l’interdira pour éviter la casse !). Reste qu’au delà d’un certain diamètre comme une galère, une goélette ou un galion, il vous faudra un équipage, mais alors vous pourrez rester à la barre tel un aristocrate un dictateur un républicain libéral, socialiste ou capitaliste... Mais pas comme un anarchiste ou un communiste !

    Bon je vous taquine là !!!



  • Hervé Hum Hervé Hum 13 octobre 2012 19:41

    Merci JL, je n’irai donc pas sur ce site perdre mon temps et mes nerfs !!!



  • Hervé Hum Hervé Hum 13 octobre 2012 19:38

    Je suis presque d’accord avec vous !

    Vous dires qu’un libéral est un anarchiste qui à réussi ? Suivant ma définition de l’anarchie je dirai plutôt que c’est un anarchiste qui a renoncé !

    C’est vrai que l’anarchie peut paraître un idéal innacessible et utopique. Mai les utopies d’hier ne sont elle pas parfois les réalités d’aujourd’hui ? Justement, nous y voilà !

    Vous citez Lacordaire mais n’est ce pas un oxymore ? En fait, la loi est toujours au plus fort. Elle n’affranchit que lorsque le faible, le pauvre et le serviteur s’allient pour renverser le rapport de force.

    J’ai pour habitude de résumer ainsi la chose. Il n’y a de loi que la philosophie du plus fort et de droit que ce que concède le fort au faible en échange de sa soumission. Bref, il s’agit toujours d’un compromis entre le faible et le fort, le riche et le pauvre, le maître et le serviteur. La loi n’affranchit pas elle impose. Comme le disait très justement quelqu’un, la liberté opprime que lorsque l’on ne s’en sert pas (cf plus haut). Ce que vend le riche au pauvre, le fort au faible, le maître au serviteur c’est la sécurité en usant de la peur et de la violence. Mais comme disait quelqu’un d’autre, « ceux qui pensent avoir la sécurité en sacrifiant la liberté n’auront ni l’un ni l’autre ».
     En fait comme je l’ai écrit ailleurs, la liberté exige une grande discipline intérieure, la servitude un minimum et l’esclavage aucune puisque la discipline est imposé de l’extérieur. Je crois que ce qui caractérise notre époque c’est la capacité des faibles, des pauvres et des serviteurs à la discipline intérieure. Encore faut il qu’ils en prennent pleinement conscience.

    Votre formule omet une situation, celle de celui qui pose ses deux mains sur le gouvernail et celui là, il ne partage pas, il ne permet pas qu’un autre s’agrippe à la barre. 



  • Hervé Hum Hervé Hum 13 octobre 2012 15:44

    Bonjour JL, c’est un renvoi d’ascenseur suite à votre intervention sur mon article « la fourmi dans la fourmilière ». C’est aussi pour vous indiquer que vus y trouverez ma réponse.

    Le début de votre profil commence ainsi « Le lobbying est une composante clef du dogme libéral. C’est précisément là que réside toute sa différence avec l’anarchie. »

    De mon point de vue la différence se situe dans la notion de responsabilité. Pour le libéral, l’éthique de la responsabilité est une gêne à la bonne marche de ses affaires, une charge nuisible. Pour lui, la responsabilité individuelle est contraire à son intérêt et donc il admet l’existence de l’Etat uniquement dans le but de conserver l’avantage de la force sur tous les autres, pourvu ou non d’éthique de la responsabilité. Le lobbyng existe parce que la puissance policière de l’Etat est indispensable au libéralisme.
    Pour l’anarchiste, la responsabilité est la clé de voûte de la réussite puisque tout repose sur cette éthique de la responsabilité individuelle. Un système anarchique mondial ajoute la responsabilité collective à la responsabilité individuelle. Car sans l’éthique de la responsabilité on ne se retrouve plus dans une société anarchique, mais dans le chaos. La où se rejoignent libéralisme et anarchie c’est sur la réduction du contrôle de l’Etat. Mais là où le libéralisme fait de la répression policière la condition de son existence, la suppression de cette dernière est la condition d’existence du modèle anarchique.

    Et quelques remarques sur ces affirmations :

    les esprits simple ne sont pas savants ; les savants ne sont pas sophistes ; les sophistes ne sont pas simples.

    Le génie se trouve dans les esprits simple car le complexe nait de la simplicité. Les savants ne sont pas sophiste tant qu’ils ne le deviennent pas. Et donc en effet les sophiste ne sont pas simples mais simpliste, car le but n’est pas la vérité mais la tromperie. 

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