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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 12 octobre 2012 14:39

    Merci de votre réponse argumenté.

    Je n’ai pas une grande connaissance (pour ne pas dire ignorance) des constitutions des pays africains, cependant, le point commun à tous les conflits du monde et en tout temps, est la lutte pour la terre sous entendant au 1er chef la culture. L’Afrique ne fait pas exception, mais son problème est augmenté par le fait que les frontières coloniales ont été édifiés sur le principe de la division des peuples. Le post-colonialisme c’est essentiellement appuyé sur cette division pour continuer à tirer les ficelles et nourrir les guerres civiles inter ethniques afin de contrôler les pouvoirs en places, vendre ses armes et continuer à exploiter les matières 1eres.

    Le problème résiduel que l’Afrique a et aura du mal à résoudre concerne donc les zones transfrontalières où des peuples sont partagés entre deux voir trois pays différents. Ce phénomènes se rencontre partout dans le monde. Cachemire entre Inde et Pakistan, pays basque entre Espagne et France, conflit israélo-palestinien. Bref, même s’il y a des différences, tous les conflits ont la même origine commune. Les soi disante guerres de religions ne sont que des leurres car à quelques exceptions près, toutes les guerres ont la même source, La terre. Car sans elle vous n’avez aucun droit, autre que ce que vous consent celui qui la possède !

    Si vous prenez une carte et faites un diaporama de tous les peuples ainsi partagés entre différents pays d’Afrique, combien en comptez vous ? Pour combien de conflits ?

    L’histoire ne revient jamais en arrière, je suis d’accord avec vous, mais le présent à force de loi sur le passé. Sinon, tout serait figé dans le marbre. L’ancien Zaïre c’est transformé en RDC. La Yougoslavie c’est divisé en Slovénie, Croatie, Bosnie, etc. Bref, ce qui importe est d’arriver à trouver une solution permettant à chacun de vivre en paix avec son voisin. Nombres de conflits ne trouvent leur solution qu’en redessinant les frontières entre pays ou bien par la création d’un nouveau pays. Mais après combien de morts et combien d’autres encore ?

    Le manque de leadership est criant (mais pas seulement en Afrique), celui d’une volonté de justice sociale et de paix civile. Et de mon point de vue il doit passer par la résolution des problèmes transfrontaliers issues des peuples assis à cheval sur ces zones sur lesquelles s’appuie tous les dictateurs africains, comme tout bon dictateur, ici ou n’importe où sur Terre.

     



  • Hervé Hum Hervé Hum 12 octobre 2012 09:52

    Bonjour Dr Alain Nkoyock

    Suite à l’objet de mes commentaires, si vous ne connaissez pas je vous invite à regarder le modèle confédéral Suisse.

    Mon regard d’occidental, donc extérieur, me fait voir les citoyens des pays d’Afrique sautant le plus souvent leur appartenance à leur drapeau national. Je veux dire qu’ils me paraissent passer directement de leur identité culturelle tribale ou de peuple à leur appartenance raciale soit l’africanité.

    En conclusion, il me semble que le maillon manquant pour voir naître un grand leadership africain est plus que tout une pensée qui soit porteuse de la fierté africaine et capable de faire le pont entre l’ancienne Afrique pré-coloniale et la nouvelle post-coloniale. Donc, capable de faire le deuil de la période coloniale en en faisant le procès moral (faire un bilan du négatif et positif), seul moyen pour s’en libérer totalement.

    Cela ne peut venir que d’un discours fort qui ne soit pas seulement un réquisitoire à charge mais surtout un appel pour une véritable Afrique porteuse d’espoir et de libération et donc contenir un ou des voies de solutions. Le modèle politique confédéral suisse est en ce sens le plus proche de la réalité africaine.

    Mais peut être que je me trompe !



  • Hervé Hum Hervé Hum 12 octobre 2012 08:53

    J’ai commis une grossière erreur en confondant crédulité et incrédulité !

    La phrase exacte est donc "le drame des crédules est qu’ils se contentent de comprendre ce qu’on leur inculques.



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 octobre 2012 21:09

    Aita pea pea

    La conviction est de par sa définition subjective. L’objectivité n’intervenant que comme argumentation donc de manière indirecte. S’il n’en était pas ainsi, nous aurions tous la même conviction politique et sociale.

    La responsabilité est par définition objective car il s’agit d’assumer ses actes selon un principe d’équité ne faisant pas appel à la sensibilité des individus, mais à la matérialité des faits.

    La responsabilité est la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui. Autrement dit ,d’assumer ses actes. Elle ne fait donc pas appel à la conviction des personnes mais à leur comportement social indépendamment de leurs convictions.

    La liberté dont se réclament les libertaires, demande une grande discipline intérieure, la servitude un minimum et l’esclavage aucune car la discipline est imposé de l’extérieur.



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 octobre 2012 20:38

    Oups, je m’aperçois de cette erreur « les frontières culturelles étaient redessiné pour correspondre avec la réalité culturelle »

    Biensûr je parlais des frontières nationales

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