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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 octobre 2012 19:54

    tiens je vais ressortir un aphorisme qui me plaît bien

    Le drame des incrédules est qu’ils se contentent de comprendre ce qu’on leur inculques. Le drame des ignorants c’est la même chose, l’instruction en moins.

    Mais Onfray, je ne sais pas. Peut on dire qu’il soit ignorant ? Non car alors cela fait de moi le pire des ignares. Peut on dire qu’ils soit incrédule ? J’en doute et surtout je crois qu’il prendrait ça pour de la diffamation.

    Alors ? Ben, j’en sais rien, je ne connais pas cette personne ! Enfin, à peine, juste les 5 mn passé sur Wikipédia pour me faire une idée. Il y est écrit qu’il serait un post-anarchiste voulant construire un « capitalisme libertaire ».

    Wikipédia termine par cette citation de Onfray :

      "Vouloir une politique libertaire, c’est inverser les perspectives : soumettre l’économique au politique, mais aussi mettre la politique au service de l’éthique, faire primer l’éthique de conviction sur l’éthique de responsabilité, puis réduire les structures au seul rôle de machines au service des individus, et non l’inverse. (...) Tout libertaire veut et célèbre la vie.« 

    Au début tout va bien, là où ça se gâte pour moi c’est comment il fait pour faire »primer l’éthique de conviction (subjectivité) sur l’éthique de responsabilité (objectivité) pour arriver à réduire les structures au seul rôle de la machine au service des individus". De mon point de vu, il y a quelque chose que soit moi je n’ai pas compris, soit c’est lui. Car ma compréhension de cette phrase me fait dire qu’il veut en fait retourner là où on en est. En d’autres termes, sa perspectives c’est la politique d’aujourd’hui !!!

    Tout libertaire veut et célèbre la vie. Nous tous ici voulons célébrer la vie, mais certains pensent uniquement à la leurs sans (considération) d’autrui et d’autres toujours à la leurs mais avec (considération) autrui. Bref, Onfray n’est pas un libertaire au sens où je l’entend mais un libéral pur jus.

    En conclusion, Onfray me donne l’impression (pas la certitude hein) d’être un philosophe visionnaire qui voit aussi loin que le bout de son nez !



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 octobre 2012 17:53

    Merci pour votre réponse.

    Ouvrir la boite de pandore des frontières « coloniales » paraît risqué. Si l’on s’en tient à l’exemple de l’Europe, celles ci ont nécessités beaucoup de temps et de guerres avant de se stabiliser. Mais si l’on prend le cas de l’ETA on peut voir que le sujet est très, très sensible.

    Si maintenant on prend l’exemple de l’Amérique du sud on peut remarquer la quasi absence de guerres culturelles. Bolivar à fait souffler le vent de l’indépendance et après ? Plus rien excepté quelques conflits mineurs et de courte durée. A quoi cela tient ? A la préeminence des colons européens (majoritairement latins) sur le pouvoir politique et économique de ces pays. Bref, une même origine culturelle et linguistique car les populations précolombiennes étaient soumises par les colons européens.

    L’exemple de l’Amérique du sud montre donc que la cohérence culturelle est la base d’une véritable paix civile. L’Afrique montre tout l’opposé, une diversité culturelle et linguistique prodigieuse qui dans les conditions actuelles est e pire de ses handicaps. Par contre, si les frontières culturelles étaient redessiné pour correspondre avec la réalité culturelle, cette diversité deviendrait la grande force de l’Afrique et de mon point de vue lui permettrait de faire du gagnant-gagnant sur tout les aspects, social, culturel, santé, économiques, politiques, etc.

    A juste titre vous soulignez l’importance pour les citoyens des peuples africains de prendre leur responsabilité et d’assumer autant le passé que le présent pour construire un avenir meilleur. Mais celle ci ne passe t’elle pas par l’ouverture d’une table ronde ouverte à tous les peuples ? Ouvrir une sorte d’assemblée générale des peuples d’Afrique dont le but serait d’abolir les frontières coloniales pour tracer celles des peuples d’Afrique. Frontières basé sur la culture et non plus sur la nationalité ou nationalisme qui conduit toujours à la guerre et à la dictature.

    Nombre sont ceux qui en Europe redoutent la régionalisation, mais celle ci est la structure la plus proche des particularismes culturels et donc pour leur défense. Ils craignent un super pouvoir étatique européens incontrôlable, mais en fait, celui ci existe déjà au niveau des états et il est tout aussi incontrôlable... Le contrôle tient à l’implication des citoyens et celui ci ne s’organise pas au niveau d’un pouvoir centralisé mais bel et bien d’un pouvoir décentralisé remontant de proche en proche vers ce qui n’est alors plus un pouvoir, mais un organe gestionnaire.



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 octobre 2012 14:04

    Je viens de l’apprendre en même temps que toi !!!

    Adjuvant = excipient.



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 octobre 2012 14:02

    Bonjour, je n’y connait pratiquement rien et cet article me permet de comprendre un peu mieux le sujet.

    Votre commentaire me fait réagir et donc nourrit ma connaissance, alors merci bien !

    Le principe du générique est que rien ne peut demeurer la propriété d’un individu ou d’un société. Passé un temps il tombe dans le domaine public. Sachant qu’une protection permanente aurait l’effet contraire, l’impossibilité de protection !

    D’autres part, l’exemple de vieux médicaments abandonnées au profit d’autres où seule la forme change sans apporter d’amélioration sur l’éfficacité va dans le sens des groupes pharmaceutiques. Bref, on ne peut pas toujours avoir le beurre et l’argent du beurre.

    Par contre, l’idée qui est en train de naître et de se développer est qu’un générique doit avant sa mise sur le marché faire la démonstration de son efficacité et innocuité, considérant qu’un médicament est l’association d’une molécule avec des excipients. Ce qui bien évidemment entraînera un surcoût, retardera leur mise sur le marché et donc limitera les génériques. La stratégie de protéger la molécule mais de garder la formulation des excipients semble donc la bonne à long termes pour les groupes pharmaceutiques.

    Reste à savoir si l’industrie pharmaceutique, parce que touchant elle aussi à l’intérêt général, ne doit pas être soumise à un contrôle total de la société civile... Mais existe t’il un domaine de l’activité industrielle pouvant échapper au contrôle de société civile ???



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 octobre 2012 10:26

    Cher auteur, il m’aurait plu de connaître votre point de vue sur mon message et cette question :

    L’abolition des frontières coloniales n’est elle pas la meilleure manière de solder cette époque et de se réapproprier son histoire, sa cohésion sociale et son honneur bafoué ?

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