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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 octobre 2012 00:43

    Je n’ai pas écris de supprimer la monnaie, mais les riches et la spéculation boursière, enfin, suivant l’aveu même de votre phrase.

    La monnaie est un instrument et comme Romain Desbois l’écrit plus haut, c’est l’instrument qui doit suivre la main qui le guide et non l’inverse comme on peut tant le voir aujourd’hui.



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 octobre 2012 22:36

    c’est comprendre qu’une monnaie que l’on thésaurise est une monnaie que l’on assassine,

    C’est exact, mais la conséquence directe est de supprimer les riches !

    Et la seconde est d’interdire la spéculation boursière.

    Ce qui est en parfaite contradiction avec votre défense de ces derniers.



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 octobre 2012 22:23

    Correction

    Le drame de l’ignorant est qu il ne cherche à comprendre que ce qu’on lui inculque. Et qu’a partir de là il pense avoir acquis un savoir.

    Il est plus juste de dire :

    Le drame des incrédules est qu’ils se contentent de comprendre ce qu’on leur inculques et qu’à partir de là ils pensent savoir.



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 octobre 2012 21:46

    JL, hier je suis allé faire un petit tour sur votre profil et j’ai beaucoup apprécié

    Vous écrivez La différence entre la spéculation et l’investissement, c’est que l’investissement a pour objet la création de richesses, qu’importent les profits ; à l’inverse, la spéculation a pour seul but le profit, qu’importent les dégâts.

    Rien à dire, c’est exactement cela !

    L’auteur se perd en insulte pour garder les yeux fermés sur cette simple évidence pour différencier le «  »spéculateur prédateur« du »bon samaritain créateur de richesses".

     Le drame de l’ignorant est qu il ne cherche à comprendre que ce qu’on lui inculque. Et qu’a partir de là il pense avoir acquis un savoir.

    Ouvrez donc les yeux Karash.



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 octobre 2012 21:29

    Karash, je vais partir du postulat que vous êtes sincère dans votre pensée pour vouloir y répondre par quelques rappels de la triste réalité.

    Tout d’abord, partons du principe que la valeur la plus morale pour gagner de l’argent est de le mériter et que ce mérite se base intrinsèquement sur le travail et non sur l’usure.

    Ensuite, il est évident qu’il ne peut y avoir de démocratie véritable sans l’implication de ses citoyens. Ceci est une lapalissade ! Dans cette optique j’ai pondu une définition du mot responsabilité comme suit. La responsabilité est la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui. Faute de quoi, vous tendez à être soit un enfant soit une machine.

    Maintenant, la démocratie outre qu’elle soit entravé jusqu’à son inanité par le conditionnement manifeste des citoyens, est surtout dirigé et contrôlé par ce que l’on nomme les oligarchies financières. Dans ces conditions, l’acteur politique n’est plus qu’une marionnette agité devant les citoyens pour détourner son attention des véritables récipiendaires de la richesse crée par le travail.

    Dans ces conditions, l’Etat n’a pas le droit de violer les droits d’un homme riches, mais le devoir d’exiger d’un homme riche qu’il accomplisse ses devoirs de citoyens C ’est à dire de gagner sa richesse par le seul fruit de son propre travail et non par l’exploitation, la captation du travail d’autrui.

    Et cela doit venir d’une exigence des citoyens et ne peut procéder que d’une véritable démocratie.

    Ce qui s’oppose à ceci :

    Vous écrivez que le libéralisme c’est « un outil de coopération dont l’utilité est de faire respecter les droits naturels de chacun ». Et d’autres part vous écrivez "’l’état naturel de l’homme étant la pauvreté et la vulnérabilité.

    Cela revient à dire que l’exploitation des faibles par les forts est une chose naturelle qu’il faut défendre et que les citoyens doivent coopérer pour la faire respecter. En d’autres termes, la majorité des humains doivent accepter leur état naturel et se maintenir d’eux même en esclavage au service des riches parce que ceux ci ont dépassé leur état naturel pour accéder à une supériorité transcendantale. Que l’on doit donc, nous dont notre état naturel est la pauvreté et la vulnérabilité nous prosterner devant ces êtres supérieurs.

    Rassuré vous, c’est exactement le monde dans lequel nous vivons ! Mais rien ne garanti qu’il perdure ad vitam éternam

    Conclusion, libre à vous de défendre vos dieux supposés, mais n’attendez pas que nous tous partagions cette même adulation, vénération pour eux.

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