Hervé Hum

Sur le sujet en question, Jean-Michel Apathie suit la voie de la raison, l’auteur de l’article suit celle de la bêtise.

En effet, décimer un village avec tous ses habitants, que ce soit ici ou ailleurs, c’est la même action et qui implique la même mentalité.

La seule différence qu’on peut y voir est précisément celle qui permet ce genre de massacre est de dénier à ses victimes le droit de vivre. A chacun de trouver sa raison du plus fort, qui est celle qu’il veut sans devoir tenir compte de valeurs morales, puisque c’est lui qui les établies !

@Institut Proudhon

Ce commentaire confirme bien que vous êtes l’exemple de l’idiot utile !

Je comprends bien pourquoi vous ne répondez à aucun de mes commentaires, la faiblesse de vos arguments et de votre raisonnement n’étant pas en mesure de porter la contradiction.

La TNT est un nombre limité de canaux, la question qui se pose est de savoir leur répartition en fonction des courants de pensées où le principe de diversité de l’opinion exige donc de répartir les canaux en respect de la diversité d’opinion de leur propriétaires.

Or, Bolloré détient outre cnew, canal+ et cstar pour la télé (le pauvre vient de perdre C8), puis il y a les radios et la presse papier. Tout comme le groupe Bouygues ou la

Votre argument de défense du droit de critiquer est donc totalement idiot et fallacieux, car pour être vrai, il faudrait que C8 soit l’unique support médiatique, or, le relais de propagande et de critique principal de Bolloré est cnew, pas c8. Autrement dit ; on peut le voir comme une forme de rétorsion à l’encontre de Bolloré, mais complètement dérisoire et ridicule en rapport à ce qu’il possède et conserve. Ce n’est pas une claque qu’il a reçu, mais une toute petite tape sur l’épaule.

Si vous n’étiez pas idiot, vous auriez fait l’article pour dénoncer le fait que celui qui va récupérer le canal défend les mêmes intérêt où donc la diversité d’opinion n’existe pas sur la TNT sur le plan économique et politique, mais uniquement sur des valeurs culturelles qui ne doit pas gêner les affaires de l’élite prédatrice propriétaires de ces médias.

Car il y a un accord tacite entre ces grands propriétaires, ne jamais se tirer la bourre entre eux, seulement contre les pauvres ou/et les immigrés qui doivent toujours êtres désignés comme responsables des maux de la Terre.

@Eric F

le terme « système » est un mot générique, la définition commune étant «  ensemble d’éléments interagissant entre eux selon certains principes et règle »

Selon cette définition, elle s’applique à toute forme d’organisation humaine (ou non), se dire anti-système sans spécifier une ou plusieurs formes, revient à rejeter toute forme de règles, c’est à dire, le chaos !

Mais tout système repose sur la détention de la force d’application, donc, la détention du pouvoir d’imposer les lois ou règles définies. Or, c’est le fondement de toute forme communautaire, que ce soit dans la société humaine, animale, cellulaire, moléculaire et même, atomique.

Un principe est invariant fondamentalement, seule sa forme change.

Alors, soit quelqu’un est en mesure de trouver une forme pour supprimer la loi commune qui fait « ensemble d’éléments interagissant entre eux selon certains principes et règles » (donc, lois) et qui implique donc l’application, l’obéissance et soumission, soit de devoir l’accepter en tant que condition d’existence de toute forme de communauté.

Donc, toute personne qui veut vivre en communauté est implicitement « pro système »... Mais pas le même ! La question est donc de savoir quel système est le mieux adapté à la situation présente et répond à un futur à court et moyen termes.

Alors, les gilets jaunes, se sont des anarchistes, des démocrates (républicains ou chrétiens ou autres, la forme du pouvoir est une « pan-archie »), des fascistes (ceux qui veulent un chef auquel il faut obéir et se soumettre), des royalistes (forme ancienne du fascisme) des oligarchies élitistes ? ou autres ?

Idem pour les « insoumis », sans spécification, il s’agit d’une insoumission à l’ordre établit, mais si eux ils obtiennent le pouvoir, comment font ils pour se soumettre à eux même en tant qu’insoumis ?

Je ne fais qu’appliquer là, la théorie des ensembles, donc, de la logique mathématique, donc, objective à 100% et non pas subjective avec une pincé d’objectivité, mais qui n’a guère de sens dès lors où on sait de quoi on parle.

@Institut Proudhon

"idée a germé de créer un club dissident dont les contours n’étaient pas alors dessinés avec précision, mais dont la pierre angulaire était l’abstraction du clivage gauche-droite et une convergence des luttes anti-Système.

« 

Qu’est ce qu’un »système«  ? mécanisme régit par une ou des lois. Or, aucune communauté peut exister sans définir des règles, dont, sans être régit par un système.

Bref, comment faites vous pour avoir une société ou communauté sans système, puisque vous vous dites »anti-système" ?

C’est comme le parti LFI, c’est là aussi une aporie du raisonnement, une aberration pour ne pas dire une stupidité dont je me demande d’où vient l’inspiration, si ce n’est de quelqu’un qui voulait torpiller le parti et lui interdire toute prise de pouvoir.

Comme toute communauté peut être stable que via des lois communes, celles-ci exigent donc de se soumettre à la loi commune et en aucun cas d’être un insoumis. Autrement dit, comment feraient donc les insoumis au pouvoir pour ne pas se soumettre à eux même et rester des insoumis ?

@Institut Proudhon

l’expression « droite des valeurs et gauche du travail », comme le fait remarquer Eric F veut dire ce qu’on veut bien lui faire dire.

vous écrivez « On a tendance à l’oublier, mais à la base, la droite authentique française est de tradition sociale et anti-bourgeoise »

vous oubliez un tout petit détail, cette « droite authentique » était monarchique et cléricale avant tout où elle se disputait les faveurs du prolétariat avec la bourgeoisie anti monarchique mais pas anti cléricale, seulement, l’adhésion des cléricaux à la monarchie l’obligeait à en faire son adversaire. Et pour obtenir le soutiens de cette « gauche du travail » devait montrer son caractère « socialisant ». C’est qu’on attire pas les abeilles avec du vinaigre.

Mais est arrivé l’idéologie communiste et là, votre « droite authentique » ou monarchique associée aux cléricaux se sont naturellement rendu compte qu’ils étaient finalement du même coté de la barrière et que l’un comme l’autre vivaient de l’exploitation de la « gauche du travail ». et qu’à continuer à se faire la guerre, ils risquaient bien, l’un comme l’autre de tout perdre.

Bref, avant la fin du XIXème siècle, il n’y avait pas plus anti clérical qu’un bourgeois et anti bourgeois qu’un clérical, mais au XXème siècle, le miracle s’est produit et il n’y avait alors pas plus bourgeois qu’un clérical et pas plus clérical qu’un bourgeois. Les cléricaux tout comme les monarchistes ayant fait leur deuil de leur ancien régime face à a menace de cette « gauche du travail ».