Pour la question de l’avenir de la France au sein de l’Europe, Sarkozy s’est assis sur le référendum. Et il voudrait nous faire croire aujourd’hui qu’il accorde un grand prix à ce mode d’expression démocratique ? Pour l’Europe, le recours au référendum était pleinement justifié constitutionnellement. Pour les questions qu’il soulève aujourd’hui, il ne se justifie pas et doit être absolument écarté car il est présenté comme le levier d’un candidat à la Présidentielle et non comme un moyen actionné par le président de tous les Français.