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Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 7 avril 2012 21:57

L’article est intéressant, et plus. Il ouvre a la réflexion.

Le paradoxe historique me parait être que le socialisme est d,essence démocratique et le capitalisme d’essence anti-democratique, pas forcement totalitaire, même s’il y tend dans la phase actuelle.
Les régimes staliniens ont démontré l’inverse, et l’europe avancée également.
l’existence reelle a refute l’essence ontologique.
est-ce si simple ?

D’une part, les pays soviétiques sont nes non du capitalisme lui-meme, mais du feodalisme, ou du fascisme. la période était non démocratique, les pires ont régné, le pire est apparu. Le mot communisme a été leur porte drapeau, mais qu’i y avait-il la de communiste, sinon son antinomie pure " Pas d’égalité sans liberté. Il n’y a la que l’abaissement de l’individu au rang d’esclave.

Suite a cette catastrophe historique, a l’illusion qu’on entertenu les valets du soviétisme, les opprimes occidentaux ont cru qu’il y avait la un échappatoire. C’était faux, bien entendu. L’aparatchik remplaçait le capitaliste, les individus étaient muets. Le désir interdit.

Une égalité de fait interdit la convoitise, donc le désir. Si tout désir est interdit, ’l’humain lui-meme disparait. Une société de clones apparait, qui donne l’effroi a tout homme libre. Une égalité sans son sens profond aboutit a son retournement. L’essence du socialisme, est l’égalité dans le liberté de soi et des autres, elle est démocratique Jusque dans le concret de la vie, celle des entreprises.

Le capitalisme est base sur la propriété des biens de production. Celle-ci implique le pouvoir aux propriétaires. et la soumission des employés. ce caractère est fondamentalement oppose a la démocratie, et ceci non seulement dans la sphère de l’entreprise, mais dans la vie publique, qui se traduit, dans la réalité, par un suffrage non pas démocratique, mais censitaire. C’est une ploutocratie.

Les deux régimes se sont affrontés au XXieme siècle, et l’un a eu la victoire sur l’autre. mais le régime victorieux, débarrassé du risque principal, qui a remporte la victoire par la séduction des populations sur son caractère consumériste et libératoire, n’a plus rien a démontrer, et peut désormais régner sans partage, abandonnant sa façade pour la réalité. a ce stade, le capitalisme, de ploutocratie, peut devenir totalitaire, si les citoyens se laissent endormir. 

Dans cette perpective, l’ennemi intérieur est plutôt a chercher a le tête des institutions financières, politiques, et autres.

Il ne faut pas avoir peur, mais tenter d’être le plus lucide sur le passe et le présent, pour agir dans un sens positif pour notre futur.


PS : texte frappe avec un clavier qwerty, D’ou (sic) des erreurs d’accentuation.






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