Merci, cher Michaël, pour vos encouragements sincères. Ils sont d’autant plus précieux que je n’en reçois jamais (c’est que je ne souscris à aucun parti ni confrérie. Bande à part comme disait Brassens).
Vos remarques me confortent aussi dans l’idée qu’en regardant avec recul (vous : de là-bas, du Brésil...) et perspective, l’on parvient mieux à se rejoindre.
Mes cordiales amitiés
Paul Cosquer (Taverne des poètes)