à Voltaire et Cambronne :
Vous avez un point commun en plus des vues que vous partagez sur le sujet. En effet, ne dit-on pas la « langue de Voltaire » et le « mot de Cambronne » ?
Mais relisez-bien ! Je ne dis pas que les candidats sont absolument nuls, je dis que la fonction de président est très impressionnante (clé de voûte du système) et qu’il y a absence de grandeur tri-dimensionnelle des postulants (légitimité historique, stature internationale, engagement sur un projet de société) et donc de charisme. C’est à déplorer.