Quelle sotte idée que d’associer le droit et le bonheur !!! Deux concepts si divergents qu’on aboutit à une discussion de café du commerce. Amusant, mais c’est tout. Le droit d’un côté, système fermé, codifié, rigide et le bonheur, l’ineffable, très subjectif et balayant très large, ces deux termes ne faisant pas bon ménage.
Je n’ose pas imaginer « le bonheur pour tous ». A quand le supermarché du nirvana ? Le bonheur des peuples, on a eu Staline, Mao et Hitler, ça suffit, non ?