Je n’ai aucune connaissance du fond de cette affaire, mais concernant le principe, personne ne peut interdire à quelqu’un de déposer plainte pour diffamation s’il se considère diffamé, et la justice ne peut pas rejeter une plainte si celle-ci rempli les critères formels. L’instruction statue(ra) s’il convient de poursuivre, et le jugement porte(ra) sur le fond.
Ceci dit, mon sentiment personnel est qu’effectivement il y a faute de non assistance à personne en danger, mais celle-ci est-elle nominativement imputable au directeur, ou est-ce globalement l’institution (directives générales, moyens, règlement...) ? La remarque de Tall pose effectivement le problème plus général.