Il est clair qu’il existe une approche différente, voire fondamentalement opposée, entre la Chine et la France. La Chine n’aborde pas, dans ses relations d’affaires, la question des droits humains (non-ingérence). La France est intervenue en Afrique en arbitre régional (pour des raisons humanitaires ou pour des raisons de stratégie nationale ?).
Ne pas investir pour des motifs de lutte à la corruption ne ferait pas très sérieux au vu de ce qui se passe ailleurs dans le monde. Elle n’a de leçon à donner à personne au chapitre des droits humains. Et elle n’en donne tout simplement pas. Sagesse orientale ? La Chine se garde bien de se placer dans cet engrenage. Elle n’a, pour ainsi dire, pas d’émotions dans les affaires !
Pierre R.