L’analyse du quotidien Le Monde rejoint mes préoccupations :
Pyongyang s’est servi de son programme nucléaire comme d’une monnaie d’échange pour la reconnaissance qu’il recherchait, après avoir procédé à un essai plus ou moins réussi. L’Iran aussi aspire à une reconnaissance de son rôle régional, que les Américains ne sont pas prêts à lui accorder. Faudra-t-il attendre qu’il se proclame puissance nucléaire pour que commence « un grand marchandage » ? Si la tension baisse dans la péninsule coréenne, les enchères montent dangereusement au Moyen-Orient.
Pierre R.
Montréal (Québec)