« Il n’est pas impossible que cela permette à sa liste d’échapper cette fois-ci à la malédiction qui a maintenu jusqu’ici l’UPR aux alentours de 1 % lors de toutes les élections. »
Bien vu : des sondages le créditent de 2 % ! C’est peu, mais Asselineau peut rêver de doubler son score... traditionnel.