Soleimani, c’est la personne envoyée par l’Iran en Russie en 2015 pour tenter de convaincre les Russes d’intervenir en Syrie.
Mission réussie, comme les autres.
Solaimani, c’est le Che Guevara des peuples musulmans, en mieux.
C’est celui qui a aidé les afghans à combattre les talibans en mettant sur pied l’alliance du Nord,
celui qui a aidé le Hezbollah à battre Israel en 2006, celui qui a aidé
les Irakiens à mettre Daesh dehors et à renvoyer les kurdes des
territoires historiquement arabes, celui qui a aidé les Houtis à résister
victorieusement et à endommager gravement l’infrastructure pétrolière
Saoudienne.
Soleimani, c’était un général victorieux, le meilleur soldat des
forces spéciales au monde, et de plus un grand diplomate capable de
faire combattre cote-à-cote des ennemis d’hier. Aucun général du camp
impérial anglo-sioniste n’arrive a sa cheville.
Soleimani a redonné de la fierté, de l’honneur et du courage aux
peuples musulmans qui combattent l’empire. Sa mort est une grande perte
immédiate pour l’Iran, mais elle aura pour effet de galavaniser les
combattants à l’empire. Les assassins de la secte qui ne connaissent que
le langage de la violence ont une fois de plus commis une bourde : la
psychopathie a ses points faibles.