@NICOPOL
Richesse et pauvreté existent l’une par l’autre, dans une relativité intemporelle. Sans richesses point de pauvres et réciproquement.
Ce qui compte pour l’homme, est en conséquence son ressenti en tant qu’occupant d’une pyramide sociale (de l’humanité ou de chacune des collectivités dont elle est faite), dont le volume peut par convention représenter le peuplement.
L’écart existant entre le sommet et la base de cette pyramide n’ayant en effet jamais arrêté de se creuser depuis toujours avec la démographie et l’économie née de ses besoins, indique le degré d’inégalité sociale y régnant à chaque instant de sa croissance, sachant que si la richesse n’a pas d’autres limites que les ressources dont la tirent ceux qui la convoitent, la pauvreté à la sienne, qui est le niveau zéro de cette richesse, coïncidant avec sa base, là où est structurellement condamnée
à survivre la multitude des plus déshérités.
Quant à la folie des uns et des autres, son contraire qu’est la raison est une richesse qui se partage structurellement comme toute autre, pour faire 14% de riches et 86% de pauvres.
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