@Seth Rien n’est blanc ou noir, ces ex ont même le droit d’écrire leurs mémoires, à condition de les faire viser avant publication ! Le plus souvent, ils ne révèlent rien de compromettant. Il y a très longtemps, je me souviens avoir lu les mémoires d’un ex du MI5, qui avait dû s’exiler en Australie pour publier, n’ayant pas eu l’autorisation. C’est peut-être Spy catcher, suis pas sûr.
Les relations personnelles, les services rendus, tout ça doit influer, d’autant plus lorsque la personne garde une activité d’analyste et publie.
Dans un des vieux John Le carré, Smiley se retrouve, une fois à la retraite, embringué dans une grosse opération, alors qu’il enseignait justement qu’il fallait tout lâcher !
Pour sa « carrière assez curieuse », je ne suis pas au courant et je ne sais ce que vous sous-entendez.