Les Français qui paient leurs impôts dans leur pays s’appauvrissent effectivement au profit de quelques autres et aussi d’inconnus de la finance internationale qui tirent les ficelles. C’est un fait relativement nouveau, très lié à la domination d’un parti politique, l’UMP, avec un président fabriqué par les maîtres politico financiers des USA via les médias.
Un livre a fait le tour du monde : SARKOZY, président des riches
http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=173
Mais sommes nous si sûrs que lui ou son clône ne soient pas rééligibles ? Nos concitoyens adulent les gens pleins de fric comme nos footballeurs, comme les « célébrités médiocres » de la jet set internationale.
La grande ville donne l’image de la grande pauvreté mais dans la France profonde, loin du fric, sans forcément le coûteux téléphone portable et ses gadgets, sans les voitures de luxe et les avions ou yachts de plaisance, sans l’apparat de réceptions, il y a encore une vie plus égalitaire. Il est intéressant de consulter le revenu moyen des habitans de sa commune, voir la new « statistiques mondiales et communales » ci dessous :
http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=180
D’un village plus riche à un village moins riche, on ne voit pas de grande différence. Les parents des enfants attendant la sortie de l’école se parlent, se connaissent. Il y a des choses à partager, les fruits du verger, les légumes du jardin, les confitures, les recettes...Les associations les plus diverses sont nombreuses pour oeuvrer ensemble en bébévole. Il y a un bonheur de vivre en groupe, et c’est une force d’échange, de proposition, de contestation. Seuls les villages avec une école privée créent un clivage (beaucoup par l’argent, il y a plus de deux fois moins de boursiers dans les écoles privées que dans les écoles publiques).
La ville accentue donc le contraste, et on se parle entre soi, dans son milieu, même pas dans les transports en commun. La télévision déverse son perpétuel lavage de cerveau. A la ville, il y a partout des écoles privées, avec des clivages.
Au boulot (quand on en a), l’organisation du travail a changé, on ne se parle plus, on est isolé dans son poste de travail, il n’y a même plus les pauses rencontres...Dans la France rurale, on se parle au travail lors de la récolte commune, et déjà des semailles, du bucheronnage...
Nous avons changé par les techniques nos comportements sociaux, et on ne voit pas comment sortir du malheur social qui nous est tombé dessus tant les citoyens sont devenus passifs, résignés , conformistes...
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