Il y a du bon dans les mesures actuellement décidées. Certes, c’est le retour de la TVA sociale qui ne dit pas son nom mais subordonnée à un « contrat » avec les entreprises qui ne recevront l’enveloppe du crédit d’impôt que si elles ont rempli certaines conditions. On ne donne plus donc a priori sans engagement clair ni contrôle. Maintenant, cela peut effrayer les patrons qui savent que l’administration française est un système de shadocks lent et très lourd. Il ne faudrait pas que le zèle bureaucratique gâche la mise en oeuvre de cette idée.