@MKT
Pour Roussel, comme pour le Conseil national de la Résistance, l’expression de « jours heureux » renvoie à une conception exigeante de justice ; elle est ambitieuse.
Pour Macron, le « retour aux jours heureux », cela consiste juste à sortir de la Covid pour permettre le plein emploi avec son cortège de salaires bas et de précarité.
Pour Macron, le « retour aux jours heureux », c’est le retour du plein profit.
Business as usual, pourrait dire Macron dans un anglais parfait. Il est vrai qu’il n’est pas franchouillard, lui ! C’est peut-être aussi ce qu’on peut lui reprocher...
Le « plein emploi » pour Macron-Pécresse n’est pas du tout synonyme de conditions de vie décentes ni d’espoir pour le peuple.
Macron a la fâcheuse habitude de détourner les plus belles idées : je rappelle qu’il a produit un livre qu’il a intitulé « Révolution » !
On voit aussi quel sort il a réservé à l’idée de « bienveillance » : il en a fait du mépris et même un art consommé d’emmerder les Français jusqu’au bout.
Stop à ce détournement des grandes idées !