Une révolution douce certes, mais en recréant un impôt sur les grandes fortunes. Cela enseignera aux millionnaires le sens de la solidarité. Doux ne veut pas dire mou.
Fabien Roussel veut un ISF rétabli et triplé. Cela ne paraît pas aujourd’hui excessif au regard de la souffrance du peuple présente et à venir.