Sarkoziste attitude !
Réfugie-toi chez toi,
Garde tes habitudes.
Sarkoziste attitude !
Lutte contre les voyous de la ville
Lutte avec la haine des imbéciles
Garde toujours en toi
Sarkoziste attitude !
Je m’appelle Jean-Philippe Smet
Je suis né à Paris
Vous me connaissez mieux
Sous le nom de Johnny
J’ai rencontré la foi :
Quand Nicolas m’est appparu
Par une nuit d’orage
Oh oui, je vote Sarkozy
Oh oui, je vote Sarkozy
Sarkozy !
Je vais à Sarkoville
C’est le nom que l’on donne à Neuilly.
C’est très « nouvelle vague »
Et moi je vais voter pour lui
Comme je crois dur comme fer
Que c’est le meilleur à élire
Ne vous étonnez pas
Si je ne sais pas en sourire
Oh oui, je vote Sarkozy
Oh oui, je vote Sarkozy
Sarkozy !
Maintenant je ne vis plus
Que pour encourager Sarkozy
Je gagne plein d’argent
J’essaie d’échapper au Trésor.
Et ses idées d’hier
Qui sont bien les mêmes qu’aujourd’hui
Sont les seules que j’comprenne
Alors j’applaudis Sarkozy
Oh oui, je vote Sarkozy
Oh oui, je vote Sarkozy
Sarkozy !
On me parle avec respect
Je dîne chez Nicolas
On m’a choisi cet ami
Le meilleur qui soit
On voudrait me faire changer
Mais c’est une cause perdue
Vous perdez vot’ temps
Je voterai pour Sarkozy
Oh oui, je suis pour Sarkozy
Oh oui, je suis pour Sarkozy
Sarkozy !
correction : « qui s’approche le plus »
à Voltaire
Je ne mets pas Bayrou dans la classe des redoublants, c’est selon moi le prétendant qui s’approche le proche du diplôme de Président. Un repêchage pour lui est possible.
(C’était en réponse à Demian West.)
Je fais dans le poète Voltaire comme vous dans le peintre-douanier Rousseau. A nous deux, nous ferions chuter Gavroche sur la barricade.
à Voltaire et Cambronne :
Vous avez un point commun en plus des vues que vous partagez sur le sujet. En effet, ne dit-on pas la « langue de Voltaire » et le « mot de Cambronne » ?
Mais relisez-bien ! Je ne dis pas que les candidats sont absolument nuls, je dis que la fonction de président est très impressionnante (clé de voûte du système) et qu’il y a absence de grandeur tri-dimensionnelle des postulants (légitimité historique, stature internationale, engagement sur un projet de société) et donc de charisme. C’est à déplorer.
Si vous restez sur votre faim, lisez demain mon meilleur article de la semaine (« Le travail, quelle valeur ? », qui sera publié sauf si, là aussi, il y a trop plein de rédacteurs prolifiques.
Parler un langue celtique serait-il un crime de lèse-majesté ? Restons donc de ce côté-ci de la Manche ! Mais ne cachons pas dans la nôtre (de manche) des cocktails hostiles au pays que nous avons rallié jadis et qui est le nôtre : la France.
God save the Irland say the heroes.
Vos remarques me font penser que vous aimerez mes deux prochains articles...
Les ouvrages archivés auxquels j’ai accès contiennent les rappors d’un Inspecteur de l’Enfance, pas les données de la police ni de l’assurance, ni autres sources étrangères à la mission de l’Inspecteur de l’Assistance.
Mais ce n’était pas uniquement des assassinats. Il devait y avoir de nombreux cas de graves négligences et de manque de soins. Vous savez qu’un enfant en très bas âge surtout à cette époque était extrêmement vulnérables.
Ira-t-elle jusqu’à dévêtir le raide acteur ?
Je disais les « medias » mais circonstances aggravantes : le journal national des infos du service public !
Ce ne serait donc pas l’enfant de l’amour mais l’enfant du syndrôme de Stockolm ? C’est en tout cas un enfant prisonnier né d’une captive. Et peut-être issu d’un viol.
4 ans et demi de captivité et des medias qui zappent entre le sérieux et le divertissement et qui font la promotion d’artistes richissimes, cela n’est pas de nature à rendre serein.
Autre document issu des archives du Conseil général (Inspection de l’Enfance 1905)
Des nourrices tueuses d’enfants ou faiseuses d’anges.
L’expression « faiseuse d’anges », dans le langage de l’époque signifie « tueuses d’enfants ». Elle était appliquée aussi aux femmes qui se faisaient rémunérer pour pratiquer l’avortement.
Rapport du Dr Porak sur 1902, page 81 : "M.Brouardel, dans son livre sur l’Infanticide, l’avait déjà indiqué : ’Ce ne sont guère que les filles honnêtes, dit-il, qui tuent leurs enfants ; elles ont réussi à cacher leur grossesse ; elles sont restées muettes pendant les tortures de l’accouchement, parce qu’elles sont affolées à l’idée de la faute qui va être connue, que leur déshonneur sera public. Lorsqu’une fille a toute honte bue, elle ne tue pas son enfant ; elle l’envoie en nourrice ; elle sait que le résultat est le même ; au bout de quelques mois, elle cesse de payer la nourrice ; elle change de domicile et elle n’entend plus parler de son enfant.’ Dans les départements du nord de la France, lorsqu’on envoie les enfants en nourrice en Belgique, cela veut dire : ils ne reviendront plus."
Le rapport sur 1903 du Dr Porak est explicite : « Il existe des nourrices chez lesquelles meurent tous les enfants qu’elles reçoivent. On a pris presque partout des dispositions réglementaires contre ces mauvaises nourrices, et habituellement on refuse un troisième ou plus ordinairement un quatrième nourrisson à une nourrice chez laquelle deux ou trois décès d’enfants se sont succédé. Une entente peut-elle exister entre une mère et une nourrice pour que l’enfant disparaisse, faute d’alimentation et de soins ? Est-il possible qu’une combinaison aussi révoltante trouve quelquefois des complices qui la poursuivent ? J’en apporterai encore aujourd’hui des exemples. »
Dans un but d’économie des secours de la commune, le maire peut apporter son concours complice à ce comportement peu responsable : "M.le Dr Mocquot rapporte, dans un article du Progrès médical, qu’un maire lui écrivait : ’Si vous continuez à refuser le certificat de la femme X..., je lui en ferai délivrer un par un autre médecin, l’élevage des nourrissons est son seul moyen d’existence, et je ne veux pas qu’elle tombe à la charge du bureau de bienfaisance.’
Autre fait : Le Dr Mocquot avait refusé un certificat à une nourrice qui en était à son vingtième décès de nourrissons environ. Il l’avait prévenue que si elle en prenait un autre, il le lui ferait enlever. Quelque temps après, une jeune dame vient dans son cabinet, et lui demande brusquement pourquoi il a refusé le certificat à cette nourrice. Après lui avoir donné les raisons, la jeune dame lui répond : ’Je savais tout cela, mais je suis la maîtresse de mon enfant et j’ai bien le droit de le mettre où bon me semble.’ Ce fait s’est renouvelé plusieurs fois, et le médecin que nous citons, a eu la triste conviction que certaines femmes voulaient mettre leur enfant chez cette nourrice, parce qu’elles savaient qu’en quelques mois, elles en seraient débarrassées. Un inspecteur départemental m’écrit : ’certes, en parlant des mauvaises placeuses, je n’ai pas entendu dire que certaines d’entre elles pouvaient s’entendre avec des parents criminels pour envoyer volontairement à la mort le malheureux nouveau-né. Mais il est incontestable que la plupart de ces placeuses ne se préoccupent pas des inconvénients graves d’un placement en pays perdu ; et l’on dirait même que d’aucunes, à la façon dont elles choisissent l’éleveuseet le lieu où doit vivre l’enfant, recherchent plutôt les endroits isolés et d’accès impossible ou gitent des nourrices ignares qui n’ont même pas l’excuse d’être au sein. Avec mes médecins-inspecteurs, j’ai eu cette pensée que je vous livre : que, vu parfois la manière dont s’effectuaient certains placements à distance, vu surtout l’abandon ultérieur de l’enfant, cet enfant paraissait avoir été envoyé là, parce qu’il gênait et qu’on voulait le perdre de vue...Mais que faire quand tous sont en règle avec la loi ?’ Il existe évidemment des mères peu soucieuses de leur progéniture. Elles ont envoyé un premier enfant qui est mort chez une nourrice. Cet insuccès est de nature à les engager à y envoyer le second et le troisième enfant qui les gênent. Dans le monde interlope, il se peut bien que cette mauvaise mère fasse école. Et alors, sans délit, saisissable légalement, des faiseuses d’anges sont connues de personnes qui ont intérêt à les trouver. Les enfants meurent sans qu’il y ait responsabilité pénale."
A Jojo2
Autrefois, les moyens de contraception n’existant pas, c’étaient parfois les naissances qui étaient vécues comme des drames (pour des familles pauvres et les « filles-mères » rejetées).
Avec les moyens de contraception et la légalisation de l’avortement, l’enfant qui naît est désiré. De plus, la mortalité infantile s’est fortement réduite ainsi que les décès des femmes lors des accouchements.
Il est important également de dire que l’enfant n’avait jadis pas de statut. Aujour’hui, il en a un, ainsi que des droits fondamentaux.
Ce document nous enseigne notamment, à nous qui nous montrons prompts parfois à dénoncer le sort des enfants dans le monde (ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas le faire), que nous n’étions guère mieux il y a un siècle seulement.
Dans le même ouvrages d’archives, j’avais aussi les nourrices tueuses ! Il fallait choisir...
o tempora o mores ! Que de chemin parcouru en un siècle !
« à bas les assurances ! » Oui mais les parents et le roi belge dans cette affaire ?
à Birlouz :
Ce n’était pas « tout, tout de suite » mais « ici, tout de suite » par référence au hinc et nunc (« Ici et maintenant »). (1)
L’exercice physique c’est avant tout pour être en forme.
(1) (Je suis l’auteur de l’article que vous citez en référence)
La France est le second pays contributeur du budget communautaire. En 2006, elle consacre ainsi près de 6,8 % de ses recettes fiscales nettes au budget communautaire, avec une contribution de 18 milliards d’euros.
C’est également le deuxième pays bénéficiaire du budget européen : en 2005, sur les 17,55 milliards versés au budget de l’UE, la France a ainsi bénéficié d’un retour de 12,56 milliards d’euros.
(source : toutel’europe.fr)
L’Europe n’a pas le pouvoir de lever des impôts. Et d’ailleurs la communauté n’est pas encore parvenue à harmoniser les politiques fiscales des Etats-membres, ce qui pourrait être considéré comme une étape préalable.
Gracieuse Astrid, merci de nous rappeler combien la nature est belle !
Vous comprendrez cependant qu’il est difficile de se concentrer sur la lecture de votre article qui eût été objectif si nous disposions d’éléments de comparaison...
Vous allez recevoir beaucoup de commentaires de la gent masculine.
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