• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de TDK1



  • TDK1 TDK1 18 octobre 2014 13:23

    Bonjour,


    Vous avez dans l’article un lien vers un autre article que j’ai écrit il y a quelques années sur le sujet.

    Pensez, pour affiner votre raisonnement, 

    * que les USA n’important quasiment plus n’utilisent plus de moyens de transport (ce qui ne les empêche pas de consommer...
    * que la Chine inaugure pipe line sur pipe line avec la Russie et avec le Moyen Orient (même si, comme je l’évoque dans ma réponse à Anomail, les Américains leur ont joué un coup de salauds en incitant l’Etat Islamique à s’en prendre aux puits exploités par les chinois plutôt que par les américains...), donc qu’à terme leur utilisation des moyens maritimes vont baisser, ce qui n’empêchera pas leur consommation d’augmenter...
    * Que l’Allemagne, piégée dans sa politique anti nucléaire, a théoriquement prévu ses surcroits d’importation par le pipie line venant de Russie. Si la situation ukrainienne se stabilise, c’est une nouvelle part de trafic d’hydrocarbures qui ne passera plus par le maritime...

    Cordialement,

    Thibault



  • TDK1 TDK1 18 octobre 2014 13:14

    Wafff ! Je me marre ! Il faut absolument dire à Anomail de lire l’article que vous venez de mettre en lien. Il démolit complètement les absurdités de celui qu’il a lui même mis en lien.


    Bref, concernant les considération générales et géostratégiques, j’ai répondu à Anomail, je suis désolé de ne pas vous avoir répondu parce que l’article que vous mettez en lien est moins stupide que le sien, mais en fait, j’ai pris par ordre chronologique. 

    Sur l’article proprement dit, je vous ferais juste remarquer la dichotomie entre le titre, accrocheur, voir racoleur, et le texte.... Il ne figure dans le texte aucune référence ni aucun chiffre laissant penser que l’Arabie a « augmenté » sa production depuis Août, c’est à dire depuis la chute des cours.....

    Cordialement,

    Thiabult


  • TDK1 TDK1 18 octobre 2014 13:06

    Bonjour, 


    excusez moi de ne pas répondre de manière exhaustive, mais c’est assez long (je ne sais pas faire court, ou alors il faut que je relise dix fois pour couper ce qui au final me prend plus de temps) et vous trouverez tous les éléments dans la réponse que je viens de faire à nomail, je crois.

    Juste un truc, sur le peak oil. Je n’ai jamais lu dans les théories du peak oil une limitation du raisonnement « aux champs pétrolifères faciles d’accès » mais toujours aux « réserves naturelles ». Ceci étant, la restriction que vous faites, pour peu qu’elle soit reprise, est intéressante, car la notion de « champs pétrolifère facile d’accès » étant variable dans le temps au regard des technologies et de l’évolution des cours, donc du rapport coût/prix, elle détruit par elle même toute assise et tout intérêt à la théorie qui ne devient plus qu’un truisme. Ce qui, pour ma part, a toujours été l’analyse que j’en ai fait.

    Cordialement,

    Thibault


  • TDK1 TDK1 18 octobre 2014 12:57

    Bonjour,

    Ma justification du nucléaire est la suivante :

    Voulons nous, en France, connaître à nouveau une période de prospérité, de développement économique ? SI oui, cela ne peut se faire que par la réindustrialisation. Le modèle Mitterandien (poursuivi par ses successeurs) des services, de la techno et du know how a crée une classe de sous prolétariens qui ne peuvent pas accéder à ces emplois, aujourd’hui totalement à la charge de la collectivité (qui essaie de leur mettre sur le dos leur situation...).
    Bref, pour réindustrialiser, faut de l’énergie. Beaucoup d’énergie. Une usine, dix usines, cent usines, ça consomme énormément d’énergie. Produire cette énergie avec des moyens de production soit disant propres est impossible. (savez vous que le bilan énergétique d’une éolienne comme on nous les impose actuellement est négatif ?). Les énergies renouvelables ne sont adaptées qu’au secteur domestique à condition de les produire soi-même et agricoles, en particulier les élevages. 
    Donc, il faut des unités lourdes de production d’énergie pour l’industrie. Les centrales à énergies fossiles (charbon, comme en Chine, gaz ou pétrole) sont une incohérence complète en termes écologiques. Ce sont les plus polluantes (souffre, particules etc...), elles utilisent des énergies dont nous savons pertinemment qu’elles sont par définition limitées, même si nous n’en connaissons pas limites. Elles utilisent des énergies que l’on est obligé d’importer, c’est à dire qui plombent notre balance commerciale et dont nous ne maîtrisons pas le prix. Pour ceux qui sont adeptes de la thèse anthropique du réchauffement climatique, les centrales thermiques à énergie fossile ne peuvent qu’accroitre le phénomène.
    A contrario, les centrales nucléaires ne dégagent aucune pollution, les technologies récentes nous mettent à l’abri des fluctuations d’approvisionnement et de coûts, la construction et l’entretien est assuré par des entreprises françaises, les centrales nucléaires ne dégagent aucun gaz à effet de serre. 

    Lorsque je parle de passéistes, ce que vous avez interprété comme obscurantistes prêts au retour au Moyen Age (qui ne fut d’ailleurs pas la période d’obscurantisme que la mémoire officielle vous enseigne...), je veux dire que si nous choisissons les centrales à énergies fossiles, nous revenons des années en arrière en terme de technologie en précipitant notre pays dans une impasse écologique et économique. 

    Sinon, il y a aussi le choix de la paupérisation générale. On ne réindiustrialise pas, on laisse végéter une part de plus en plus grande de notre population qu’un jour, mécaniquement nous ne pourrons plus nourrir ni satisfaire aux besoins élémentaires. 

    Voilà pourquoi je pense, Dieu merci je ne suis pas le seul, que le nucléaire est le moindre mal et la seule voie qui puisse nous permettre de redécoller.

    Cordialement,

    Thibault

    PS : SI je ne m’étais pas étendu sur le sujet dans l’article, c’est parce qu’il ne s’agissait pas du sujet, par par idéologie ou mépris...


  • TDK1 TDK1 18 octobre 2014 12:30

    Bonjour,

    Si mon analyse est simpliste, elle a au moins le mérite de ne pas se prétendre ce qu’elle n’est pas. Quand je lis le salmigondis dont vous avez mis le lien, je comprends pourquoi Médiapart ne survit que grâce aux subventions de l’État et me renforce dans ma détermination à ne pas mettre un euro dans un abonnement à un tel ramassis de c....

    Ceci étant, l’auteur de ce billet de café du commerce, qui reprend pêle mêle toutes les hypothèses qui circulent sans être capable de les rendre cohérentes mérite, au moins vis à vis de vous qui semblez l’apprécier, qu’on réponde sur ses principaux points. Tout d’abord, le prix qui ne baisse pas à la pompe. En bon gaucho malhonnête (pléonasme) il joue la carte de la démagogie sans en donner les raisons. Ce qui permet de laisser entendre ce qu’on veut. Reconnaissez que lorsque vous lisez mon article, vous avez au moins les raisons de cette non-baisse à la pompe et ce qu’il va se produire..... 
    L’OPEP est désunie. A chaque crise, l’OPEP est désunie. L’OPEP regroupe des pays qui ont des intérêts et des objectifs différents, des besoins différents. Jamais une désunion de l’OPEP n’a engendré une baisse des cours, c’est faux. L’Arabie Saoudite « compense la faiblesse des cours pas une production multipliée ». Faux, les statistiques de production de l’Arabie Saoudite n’ont absolument pas bougé depuis Août, date de début de la chute des cours. Elle est même sur un trent réducteur puisque sa production sera en 2014 de 82 millions de tonnes de MOINS qu’en 2012 !
    L’évènement qui, repris n’importe comment par cet analyste de comptoir, est vrai, c’est le refus récent (début octobre) de l’Arabie Saoudite de réduire sa production pour faire remonter les cours. Ensuite vient un moment savoureux, celui qui explique la chute de l’URSS par la chute des cours du pétrole. Ainsi donc le paradis des travailleurs s’est écroulé par la faute des grands méchants capitalistes pétroliers qui ont tout manigancé en faisant artificiellement baisser les cours.... Je vous épargnerai l’analyse politique (il se trouve que j’étais en URSS, à Leningrad, pour le compte de l’UE à la fin de l’URSS et que j’ai vécu cette période) et me contenterai de vous faire remarquer que les cours du pétrole n’ont plus jamais connu les amplitudes d’avant les années 80 (1985, 60$ ; 1986, 14$ mais reste dans un tunnel de plus ou moins 6$ jusqu’en.... 2003 (28$) où il opère une remontée. Pour mémoire, le communisme s’est écroulé en 1990 et si l’hypothèse marxo complotiste de Médiapart était juste, le cours aurait remonté juste après. Pour mémoire, l’URSS n’a jamais été le premier producteur mondial de pétrole, sauf dans les rêves des fonctionnaires du Gossplan, par contre, il est vrai que l’actuelle Russie est le premier producteur mondial. Allez, je continue, je m’amuse trop. « de là à mettre Poutine à genoux... » J’adore quand on vous explique des grandes théories fumeuses en terminant par « ils n’y arriveront pas ». Comme c’est n’importe quoi, les conséquences supposées n’auront pas lieu et cela permettra à leur inventeur de se prévaloir d’une prédiction réalisée... Vieille ficelle d’idéologue, de politicien (trop souvent de « prévisionnistes » de marchés financiers). Ce que j’explique dans mon article, c’est justement l’inverse. Si le prix du baril s’effondre, le coût de revient de l’extraction de pétrole de schiste devient prohibitif (parce que lui ne baissera pas) et donc tout l’essor économique en cours aux USA s’effondre... C’est une arme à double tranchant que les USA ne joueront pas. Ce qui nous amène à l’Arabie Saoudite. Oser écrire que l’Arabie Saoudite est l’alliée des USA, c’est soit ne plus avoir suivi l’évolution de la géostratégie mondiale depuis dix ans soit être complètement aveugle (j’élimine la connerie par courtoisie). La problématique de l’Arabie aujourd’hui, c’est l’Etat ISlamique. Cet Etat Islamique a conquis des territoires avec le soutien (actif en Syrie pour abattre Bachar El Assad, passif en Irak pour emmerder les Chinois qui étaient les exploitants (comme par hasard) des puits de pétrole capturés par l’Etat Islamique). Aujourd’hui, l’Etat Islamique est économiquement indépendant grâce au pétrole... qu’il vend à la Turquie (oui, ces enfoirés de Turcs, soit disant membres actifs de l’OTAN s’enrichissent en achetant le pétrole des djihadistes et en leur vendant des armes et de l’équipement et accessoirement en refusant l’accès de leurs bases aux avions « alliés » et en interdisant aux Kurdes de traverser leur pays... Ce doit être ça qu’on appelle des « musulmans modérés »...). Dans sa lutte contre l’Etat Islamique, faire baisser le prix du pétrole peut avoir un sens. A la fois parce que le prix d’achat du pétrole djihadiste est indexé sur le cours et ensuite parce que moins le pétrole sera cher, moins il sera intéressant pour les contrebandiers d’acheter du pétrole aux djihadistes, en particulier dans l’optique de mesures internationales (qui ne se mettent pas en place pour l’instant car les USA ne veulent pas se froisser avec la Turquie leur « allié » dans la région.... Alors, tu parles quand on vient me chanter la collusion americano saoudienne.....).Je ne m’appesantirai pas sur la vulgarité des dernières phrases qui reprennent pour partie ce que je viens de dire et vont donc en contradiction avec ce que l’auteur expose précédemment (comment peut on dire que les USA et l’Europe veulent couper la source russe de gaz et de pétrole en Europe et dire en même temps que la Russie a passé des accords avec la Chine que l’actuelle production permettrait tout juste de satisfaire ?

    Voilà, vous l’avez compris, je change pas iota de mon analyse et continue de la considérer autrement plus pertinente que le charabia post-Ricard que vous avez mis en lien,

    Cordialement,

    Thibault


  • TDK1 TDK1 14 octobre 2014 22:25

    citation ; « Comme à son habitude, Zemour réécrit l’histoire en donnant sa propre version sur des points de détail sans avoir assés de recule pour comprendre cette période dans sa globalité. »


    Je crois surtout que Zemmour a compris que si ses parents n’avaient pas vécu dans une zone contrôlée par Vichy, ils auraient finis dans un four crématoire et qu’il ne serait pas là aujourd’hui......


  • TDK1 TDK1 14 octobre 2014 22:19

    citation : « Apatrides (c’est à dire de nationalité indéterminée). » Vous avez compris comme moi que « nationalité indéterminée » ca voulait dire français« 

    Faux. 
    Apatride veut dire apatride, c’est à dire sans nationalité. Il s’agissait à l’époque pour la plupart de juifs d’origine polonaise. En effet, le 1ier novembre 1938, le gouvernement polonais retira la nationalité polonaise à tous les juifs qui se trouvaient à ce moment en dehors du pays. Peu de temps après, Hitler chassait les juifs d’Allemagne (c’est là et un petit peu avant que se situe l’épisode de l’accord avec la Haganah et le départ vers la Palestine, contré par les Anglais qui ne voulaient pas des juifs là bas...) en leur retirant la nationalité allemande. Il y avait donc beaucoup de juifs »apatrides". Rien à voir avec les juifs français....


  • TDK1 TDK1 14 octobre 2014 22:17

    citation : « Apatrides (c’est à dire de nationalité indéterminée). » Vous avez compris comme moi que « nationalité indéterminée » ca voulait dire français« 

    Faux. 
    Apatride veut dire apatride, c’est à dire sans nationalité. Il s’agissait à l’époque pour la plupart de juifs d’origine polonaise. En effet, le 1ier novembre 1938, le gouvernement polonais retira la nationalité polonaise à tous les juifs qui se trouvaient à ce moment en dehors du pays. Peu de temps après, Hitler chassait les juifs d’Allemagne (c’est là et un petit peu avant que se situe l’épisode de l’accord avec la Haganah et le départ vers la Palestine, contré par les Anglais qui ne voulaient pas des juifs là bas...) en leur retirant la nationalité allemande. Il y avait donc beaucoup de juifs »apatrides". Rien à voir avec les juifs français....


  • TDK1 TDK1 14 octobre 2014 22:16

    citation : « Apatrides (c’est à dire de nationalité indéterminée). » Vous avez compris comme moi que « nationalité indéterminée » ca voulait dire français« 

    Faux. 
    Apatride veut dire apatride, c’est à dire sans nationalité. Il s’agissait à l’époque pour la plupart de juifs d’origine polonaise. En effet, le 1ier novembre 1938, le gouvernement polonais retira la nationalité polonaise à tous les juifs qui se trouvaient à ce moment en dehors du pays. Peu de temps après, Hitler chassait les juifs d’Allemagne (c’est là et un petit peu avant que se situe l’épisode de l’accord avec la Haganah et le départ vers la Palestine, contré par les Anglais qui ne voulaient pas des juifs là bas...) en leur retirant la nationalité allemande. Il y avait donc beaucoup de juifs »apatrides". Rien à voir avec les juifs français....


  • TDK1 TDK1 14 octobre 2014 22:16

    citation : « Apatrides (c’est à dire de nationalité indéterminée). » Vous avez compris comme moi que « nationalité indéterminée » ca voulait dire français« 

    Faux. 
    Apatride veut dire apatride, c’est à dire sans nationalité. Il s’agissait à l’époque pour la plupart de juifs d’origine polonaise. En effet, le 1ier novembre 1938, le gouvernement polonais retira la nationalité polonaise à tous les juifs qui se trouvaient à ce moment en dehors du pays. Peu de temps après, Hitler chassait les juifs d’Allemagne (c’est là et un petit peu avant que se situe l’épisode de l’accord avec la Haganah et le départ vers la Palestine, contré par les Anglais qui ne voulaient pas des juifs là bas...) en leur retirant la nationalité allemande. Il y avait donc beaucoup de juifs »apatrides". Rien à voir avec les juifs français....


  • TDK1 TDK1 14 octobre 2014 21:47

    En effet, vous avez raison. En 1942. Les Allemands, en 1942, n’avaient pas d’intention génocidaire (aïe aïe aïe, j’entends déjà les moutons bêler...) et voulaient la population juive adulte et en âge de travailler, c’est à dire pas les enfants et pas les vieux. Il leur fallait des bras, pas des bouches à nourrir. Et, effectivement, Laval, trouvant inhumain de séparer les enfants de leurs parents, imposa (oui, c’est un comble lorsque l’on sait, rétrospectivement, que pas un seul ne survécut) aux Allemands de prendre les enfants en même temps que les parents. En 42, je le répète, les Allemands voulaient de la main d’oeuvre et l’opération « Vent de Printemps » consistait à remplacer par des juifs les ouvriers mobilisés. Les enfants emmerdaient les Allemands plus qu’autre chose.



  • TDK1 TDK1 14 octobre 2014 16:41

    citation :Un tiers des 76 000 Juifs déportés de France étaient des citoyens français« . Le tiers dont ne veut pas entendre parler Zemmour, qui falsifie ainsi l’histoire pour mieux fourguer sa vision biaisée de cette même histoire. ------->Ces Juifs français ont été raflés et envoyés dans les camps à partir de 1944, c-a-d du moment ou le pouvoir de Vichy était complètement affaibli__________________________________________________citation : »Vichy n’a fait simplement qu’empirer les choses« . -----------> Ah bon ? parceque moins de 15% de la population juive déportée quand tous les autres pays ont eu un taux de déportation de 50 à 90% ça s’appelle »empirer«  ?______________________ citation : »Le « Juste » s’appelle René Carmille"-----------> Ah bon ? parce qu’ily avait des ordinateurs (ou leurs ancêtres) dans les autres pays d’Europe ? Aucun ordianteur n’a permis de déporter les juifs européens et ce n’est pas Camille qui aurait pu empêcher les Allemands de déportés les juifs français si il en avaient eu le loisir !!!!!



  • TDK1 TDK1 12 octobre 2014 12:32

    SI le low cost se développe, c’est qu’il correspond à une attente des consommateurs. Comme l’écrit l’auteur, pour pouvoir bénéficier du low cost, c’est chiant, c’est long, c’est moins confortable. Si ça fonctionne, c’est que les consommateurs traditionnels n’ont plus les moyens de se payer du « tarif normal » (les foyers français ont perdu 1500€ de pouvoir d’achat en cinq ans, par exemple, ou aussi, consultez la comparaison des ventes de voitures low cost en France et en Allemagne...) ou qu’une nouvelle catégorie de consommateurs veut accéder à des services sans forcément avoir les moyens ou le besoin du service ou du tarif « normal » (exemple l’aérien : http://maviemonargent.info/2014/le-pdg-dair-france-pret-a-baisser-son-froc/)Le low cost est donc une offre qui peut correspondre à deux besoins, sachant que le premier cité (la paupérisation) est en France la raison majeure (dernière illustration en date, la banque low cost : http://maviemonargent.info/2014/naissance-de-la-banque-low-cost/). Concernant la SNCF, si ces abrutis de fonctionnaires syndiqués acceptaient de revoir leur statut seigneurial, peut être que le coût et l’importance de l’offre ferait qu’il ne serait pas nécesaire d’inventer des artifices marketing de pseudo low cost pour remplir les trains (ex : la Suède : http://maviemonargent.info/2014/la-situation-de-monopole-est-sclerosante/). Il est sûr que si on renchérit le service avec des coûts exorbitants et qu’on paupérise le reste de la population, il arrive un moment où on ne peut plus payer le prix « normal »....



  • TDK1 TDK1 12 octobre 2014 12:15

    La corruption touche tous les niveaux de la société, même celui des communes. Avec les éoliennes, par exemple..... http://maviemonargent.info/2014/le-coup-de-g-du-week-end/



  • TDK1 TDK1 12 octobre 2014 12:13

    Rien à craindre pour nous, camarades, Ebola, comme la radioactivité, s’arrêtera à nos frontières..., c’est vrai, c’est MST qui l’a dit ! :
    http://maviemonargent.info/2014/ebola-comme-la-radioactivite-sarrete-aux-frontieres-de-la-france/&nbsp ;



  • TDK1 TDK1 25 septembre 2014 12:21

    Juste un dernier point. Tu dis que le transport aérien est subventionné, mais qu’en était il à l’époque où Air Inter et Air France étaient sociétés nationales. Il n’y avait pas de concurrence et le déficit de certaines lignes était intégralement comblé par la puissance publique (à l’époque je payais mon A/R Paris Brest le même prix que Nice avec des avions tout juste à moitié remplis)...



  • TDK1 TDK1 25 septembre 2014 12:14

    Bonjour, Wesson,


    En quoi le fait que le kérosène ne soit pas (ou peu, sur les vols intracommunautaires) taxé « absobe-t-il ou dilape-t-il l’argent public » ? Tout au plus cela représente t il un « manque à gagner » mais pas une dépense (ne faisons pas comme le gouvernement qui appelle économie une dépense qui aurait pu exister ou croissance négative une diminution de l’activité économique). Non, une dépense est une dépense une non recette n’est pas une dépense, donc pas une dilapidation....
    Ceci étant, imaginons que le kérosène soit taxé en France uniquement, ce sont des milliers d’emplois sur aéroport de Paris qui se barrent immédiatement sur Bruxelles, Londres ou Francfort. Roissy deviendrait une nouvelle friche industrielle... Cette décision de taxer le kérosène ne peut donc être qu’une décision au moins européenne et, pour une fois, il faut reconnaître que Bruxelles se bouge le c.. sur ce dossier, puisque les vols intracommunautaires son taxés.

    Toujours sur le terrain de la taxe, je te signale que grâce à Chirac, il y aune taxe sur les billets, soit disant au profit des pays du Tiers Monde...

    La législation sociale. C’est tout l’enjeu du conflit et c’est l’objet de mon coup de gueule et des réponses. Une mise au point tout d’abord. L’aspect externalisation ne concerne que le personnel naviguant. La maintenance est déjà externalisée au sens propre puisque les compagnies n’ont quasiment plus de mécanos et font appel à des prestataires extérieurs. Les « rampants », le personnel au sol, lui n’est pas concerné, ce qui explique que les syndicats de personnels au sol et l’ensemble du personnel aient pris position contre les pilotes dans cette grève. Bon, qu’en est il du statut des pilotes ? Le statut actuel des pilotes dans les « vieilles » compagnies est issu, comme je le dis dans mon article, de l’époque bénie ou le transport aérien était l’apanage de gens aisés qui payaient le billet très cher. On leur servait du champagne, ils avaient droit à la gastronomie du pays du pavillon de l’avion, les hôtesses étaient choisies en fonction de leur physique, elles avaient des cours de maintien et apprenaient les « usages », les pilotes étaient trois voire quatre, ils arboraient de beaux uniformes galonnés et le commandant de bord passait dans les rangées s’enquérir du confort des passagers. C’était un temps directement issu des croisières en paquebots. Ce temps est définitivement terminé. Aujourd’hui, c’est l’autobus. La clientèle a changé, c’est maintenant Raymond et Fernande qui partent en vacance à Ténérife ou Kevin qui a un spot à Londres et doit être de retour pour le brief de 17h00. Quand hier les entreprises payaient la « classe affaires » à leurs cadres (la catégorie sur laquelle les compagnies se gavaient) en leur laissant le bénéfice des miles, elles n’accordent plus aujourd’hui que la Low Cost et, en plus, s’en vantent comme d’un élément de saine gestion et d’égalité entre les salariés. 
    Dans ce contexte, avec la réduction drastique des marges que la concurrence entraîne, il n’est pas possible de conserver les galons, le champagne, les escales en hôtel quatre étoiles palace, les journées de repos aux frais de la compagnie à l’autre bout du monde etc... 
    Est ce que pour autant les pilotes sont moins bien payés dans les compagnies « Low Cost ». Non. Et même pour certains un petit peu plus (attention, je ne parle pas des charters, c’est un autre problème et un certain nombre de gueulards dans les commentaires ci dessus font la confusion) Alors, comment les « jeunes » compagnies font elles pour réduire leurs coûts ? Il y a tout d’abord le nombre d’heures de vol par pilote (ce que je disais dans l’article, les compagnies Low COst européennes n’ont pas plus d’accidents et même plut^to moins qu’Air France...). Il y a la vitesse de rotation. Un avion repart plus vite et fait donc plus de rotations dans la journée, il est plus rentable. Pour accompagner cela, pas d’entreprise de nettoyage à l’escale (à la base, oui, mais pas à l’escale). Gain de temps, gain de coût. Le personnel naviguant passe l’aspi et ramasse les papiers, comme dans un autobus... SAuf que nos galonnés d’Air France, passer l’aspi, ça les défrise !!! On réduit le nombre d’hôtesse et les prestations de confort. Plus de journaux offerts, plus de boissons offertes, plus de nourriture offerte (en fait, tout cela n’était pas « offert » mais inclus dans le prix du billet). SI plus toutes ces prestations, sur un 150 places, c’est une personne en moins, des coûts marchandise en moins ! Il y a le nombre de passagers. En gagnant quelques centimètres par siège, on arrive à caser plus de passagers. Le coût du vol étant le même, le prix de revient au siège diminue. Enfin, il y a les charges sociales. Lorsque vous payez des charges sur 10 000€ par mois en France et en Irlande, c’est pas la même histoire. Quand un salaire de cette importance est chargé à 60% en France, il l’est à 24% en Irlande (ce qui explique que certaines feuilles de paie de pilotes de compagnies irlandaises sont supérieures à celles de leurs homologues français).
    Pas la peine de rêver d’une uniformisation européenne, personne ne veut s’aligner sur le modèle français (heureusement pour eux...). La seule alternative est donc soit de revoir le statut des pilotes de compagnies françaises et de l’adapter à ce qu’est le marché de l’aérien aujourd’hui, soit de transférer l’activité à l’étranger. Sinon, c’est inévitablement le crash.

    Concernant les infrastructures, oui, c’est la collectivité qui paie mais je ne comprends pas que cela te scandalise quand la collectivité paie les routes et les autoroutes pour les voitures et les camions et les autobus, quand la collectivité paie les voies ferrées pour les trains, quand la collectivité paie les canaux pour les péniches..... C’est un choix de société et pour ma part je défends mordicus la maîtrise des infrastructures par l’Etat (et dire qu’il y a toujours des crétins pour me traiter de libéral...).

    Les compagnies low cost raclent les subventions, j’en ai parlé dans une réponse plus haut au niveau des CCI. Là, c’est un petit peu particulier. Tous ces connards de notables locaux ont tous voulu LEUR aéroport. En Bretagne, par exemple, tu as un aéroport à Dinard, 15 km plu loin, un St Malo, 35 km plus loin un à Rennes, 100 km plus loin un à Nantes, à 150 km de Rennes, un à St Brieuc, à 70 km un à Morlaix, à 50 km un à Brest, à 70 km un à Quimper, à 50 km un à Lorient, à 30 km un à Vannes... Du grand n’importe quoi ! (quand on veut réduire et n’en construire que deux, un à l’Ouest et un à l’Est, ça donne des bagarres...). Donc chaque notable doit justifier de l’existence de « son » aéroport et donc est prêt à donner des subventions à n’importe quelle compagnie qui acceptera de desservir son bled (sans espoir de rentabilité dans la plupart des cas). C’est en cela que j’estime que la faute en incombe plus aux élus qui courent après les compagnies qu’aux compagnies par elles même.

    Eh ben non, les syndicats de nantis n’ont pas raison de défendre leurs acquis au détriment de l’intérêt général, au risque de foutre au chômage des milliers de salariés et de rayer une activité de la carte nationale. Une compagnie Low Cost ne plombera pas les compte d’Air France, ce qui plombera les comptes d’Air France, c’est de s’arc bouter sur un modèle économique qui ne fonctionne plus et qui ne fonctionnera plus. TWA est morte, Sabena est morte, Alitalia est morte, Swissair est morte, KLM a été rachetée par Air France.... De la « belle » époque des « vieilles » compagnies, il ne reste qu’Air France, British (qui a changé son modèle in extremis avant de crever, Lufthansa qui a perdu beaucoup d’importance et Aeroflot qui se remet difficilement de sa sortie étatique... C’est peu, non ? Perso, je n’aimerais pas et les milliers d’employés d’Air France non plus, que la suivante sur la liste des morts par inadaptation soit Air France...

    Cordialement,

    Thibault



  • TDK1 TDK1 25 septembre 2014 10:16

    Hélas, nous sommes à la fin de la comédie, le Tartuffe de PDG baisse son froc, Air France ne sera plus jamais une grande compagnie et je souhaite à tous ces abrutis de pilotes de se retrouver aux commandes de coucous infâmes et mal entretenus car, lorsque, à l’image de SAbena, d’Alitalia ou de Swissair, Air France sera vautrée, je pense que leur appartenance à ce mouvement criminel ne leur les portes d’aucune compagnie sérieuse.....
    http://maviemonargent.info/2014/air-france-le-pdg-se-degonfle/



  • TDK1 TDK1 25 septembre 2014 09:48

    Faut vraiment être demeuré pour écrire des âneries pareilles, t’as déjà pris Easy Jet une fois dans ta vie ?

    Quant aux pilotes, je rappelle que le turne over est inférieur à la moyenne de toutes les compagnies, ce qui veut dire qu’ils ne doivent s’y trouver si malheureux que ça. La rému du PDG est indexée sur les profits.....

    Non si tu veux tirer sur Easy Jet, ce n’est vraiment pas en racontant ce genre d’imbécillité que tu seras crédible... Par contre, si, intelligemment, tu vas voir du côté que les CCI donnent à EAsy Jet pour que ses zincs atterrissent sur leur aéroport, là...... Mais bon, toutes les compagnies, même Air France, en profitent !



  • TDK1 TDK1 19 septembre 2014 13:28

    C’est qui ce Gasty qui croit que parce qu’on met un intitulé différent sur deux choses, elles sont forcément différentes ? 
    SI les charges sociales font partie intégrante du salaire et que tu ne les touches pas, c’est donc qu’on t’a fait un prélèvement à la source, non ? 
    SI la destination officielle de ce prélèvement à la source est des prestations collectives dont l’Etat, sur son budget assure le complément, c’est donc qu’un partie (intégrante smiley ) de ton salaire a servi à payer des services assurés par l’Etat, non ? Comment appelle-t-on l’argent prélevé par l’Etat pour financer des services collectifs ? Hein ? Comment ? J’entends plus, là....


    Non, toute blague mise à part, la dialectique socialiste, mise en place en l’occurrence par les communistes à la Libération, scinde de manière purement artificielle la pression fiscale, allant même jusqu’à appeler certaines « charges » « patronales », comme si c’était l’entreprise qui payait et pas l’employé ;... Tout cela est purement politique, pour faire croire à l’ouvrier que le patron paie quelque chose, pour lui faire croire que comme il ne paie d’IRPP, le gentil gouvernement socialiste lui permet de « ne pas payer d’impôt » etc etc... EN réalité, sur le plan strictement économique, nous avons une part de plus value réalisée octroyée à la rémunération du salarié dont 50% (et plus dans certains cas..) est prélevé à la source par la collectivité pour fiancer des services publics.... c’est la définition même de la fiscalité....