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Les commentaires de Mmarvinbear



  • Mmarvinbear Mmarvinbear 23 octobre 2017 21:02

    @jaja


    Spoiler alert.

    Cela n’arrivera pas. Les espagnols ne veulent PAS se défaire de leur roi. Ni même les catalans d’ailleurs. Ils n’ont pas oublié que c’est leur roi qui les a défendu en 81 lors de la tentative de coup d’Etat.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 23 octobre 2017 17:48

    @jaja

    Comme la dernière fois ? Une indépendance de 8 secondes. Un record dans le genre ! :)


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 23 octobre 2017 17:47

    @jaja

    Faudrait déjà qu’elle existe, la république catalane.

    Vous allez finir comme tant d’autres... Le rêve d’indépendance, vous ne le trouverez à la fin qu’au fond d’une bouteille ou a bout d’un joint.

    Les partis indépendantistes finissent toujours ou presque de la même façon.

    - un groupe de jeunes diplômés et paumés, incapables de s’adapter pour se faire une place dans la vie, se pique de vouloir aider les autres et d’améliorer leur sort alors qu’ils sont incapables de le faire pour eux-même.

    - étant à la pointe du mouvement, ils en définissent les buts et l’exposent.

    - ils tentent de convaincre les autres en s’appuyant sur une base historique lointaine et oubliée ou presque. Ils convainquent en affirmant que les problèmes viennent des autres et pas d’eux-mêmes.

    - le mouvement s’étends et acquiert une visibilité médiatique à l’occasion d’un scrutin local ou régional. En règle général, le mouvement obtient 1 ou 2 % au premier tour. 

    La plupart du temps, le mouvement s’arrête là. Les fondateurs sont déçus et doivent partir faute de moyens pour poursuivre et personne ne reprends la boutique.

    Mais parfois, le mouvement perdure et continue sur des années. 

    - soit sur la même voie
    - soit en développant des actions plus violentes.

    Dans ce cas, la médiatisation reprends mais le public se détourne plus rapidement encore, surtout le public-cible qui refuse l’action armée.

    - les actes de violences ( dits d’insoumissions ou de Révolte Populaire Légitime selon le vocabulaire choisi ) forcent l’ Etat central à mettre les moyens.

    - les activistes les plus impliqués sont arrêtés en une ou plusieurs vagues. Ils sont jugés et enfermés pour quelques années ou plus.

    - un groupe d’activistes tente alors en général de poursuivre la lutte mais avec moins d moyens, de possibilités, victime de plus de surveillance et ayant perdu tous contacts et tous appuis financiers sérieux, il ne peuvent pas donner plus d’éclats à leurs actions.

    - la seconde génération de dirigeant est arrêtée à son tour. 

    Ensuite, le groupe disparait, faute de combattant ou annonce officiellement la fin de la révolte armée pour revenir dans la légalité.

    - le mouvement retourne devant les urnes, obtenant à nouveau 1 % des voix.

    Généralement, il s’auto dissous encore et la cause quitte les radars médiatiques, même locaux.

    A ce moment, il ne reste que des brochures, des livres justifiant la cause et le combat, le plus souvent dans les réserves des médiathèques de province ou dans quelques bibliothèques confidentielles. Le temps passe et une nouvelle génération de jeune apparait.

    - ce groupe de jeunes diplômés et paumés, incapables de s’adapter pour se faire une place dans la vie, se pique de vouloir aider les autres et d’améliorer leur sort alors qu’ils sont incapables de le faire pour eux-même.

    Et on est repartis pour un tour !


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 23 octobre 2017 12:45

    @jaja

    Les sondages promettaient à Balladur une élection dans un fauteuil.

    A l’union Verts-GE plus de députés que pour le PS.

    Les sondages donnaient plus de 35 % à Marine le Pen au premier tour.

    Madrid veut imposer des législatives anticipées pour le parlement catalan.

    Cela devrait vous réjouir, non ?



  • Mmarvinbear Mmarvinbear 23 octobre 2017 12:43

    @oncle archibald

    Tout le montre. A Barcelone, les gens, les vrais, disent se sentir autant catalans qu’espagnols.

    On est autant breton que français. Poitevin que français. Savoyard que français.

    Et dans leur immense majorité, ils savent que cela ne rime à rien de vouloir séparer les deux.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 23 octobre 2017 12:36

    @samy Levrai

    Il ne faut pas confondre un référendum sur l’adoption d’une constitution avec celui sur l’appartenance, cela n’a rien à voir, ce sont deux questions différentes.

    J’ai voté « non » au texte proposé. Et aujourd’hui je sais que c’était une erreur que de faire ainsi. Le rejet de ce texte a plongé l’ Union dans un marasme politique profond avec Barroso et consorts qui ont profité de l’adoption d’une autre constitution plus mal fichue encore qui, si elle s’inspirait du texte rejeté, n’était pas identique sur des points fondamentaux.

    Nous devons aller de l’avant et commencer à abattre sérieusement les murs qui nous séparent encore. On ne peut pas grandir ou même subsister en se logeant dans des constructions de plus en plus petites.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 23 octobre 2017 12:30

    C’est possible, mais sans doute à la marge car les manifestations étiques contre les textes macroniens sont là pour le montrer : les classes populaires et moyennes ne sont pas au rendez-vous de la lutte. Or, demain il sera trop tard !!!


    Pourquoi ne sont-elles pas au rendez-vous ?

    On peut s’en faire une idée en regardant les cortèges et surtout en écoutant les leaders syndicaux et politiques.

    Leurs arguments, leur vocabulaire, leur ton n’a pas changé d’un pouce depuis les années 60. Ce sont toujours les même arguments, les même raisonnements.

    Ils sont complètement décalés par rapport à la réalité d’aujourd’hui et aux demandes des travailleurs actuels.

    Pour moi, le « trop tard » concerne la lutte syndicale telle qu’elle est menée actuellement. Elle est dépassés et les gens, même ceux qui seraient concernés, changent de chaîne dès qu’ils entendent les premières syllabes des leaders de centrales actuelles car ils ont l’impression de regarder un vieux Bourvil vu plus de cinquante fois.

    Les leaders syndicaux n’ont jamais voulu voir que leur monde avait disparu en 1991. Ils en payent le prix actuellement.



  • Mmarvinbear Mmarvinbear 22 octobre 2017 16:06

    @samy Levrai

    Vues les positions tranchées des candidats de la dernière présidentielle à ce sujet, on peut estimer que le référendum a eu lieu. Et on connait le résultat.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 22 octobre 2017 16:02

    @jaja

    Il vous faudra un jour je pense ouvrir les yeux et comprendre que le temps du bonnet péruvien et de la flûte de pan est passé. Vous n’avez plus 15 ans ( enfin, je crois...) et la rébellion systématique idéologique n’est plus de mise. Vous avez fini votre puberté et vous devriez être capable de comprendre que le monde n’est pas noir ou blanc, mais avec une grande variation de gris.

    Tout vous « si » ne sont que l’expression désuète de voeux pieux qui ne se réaliseront pas, vous devez le comprendre. Le monde ne fonctionne pas selon vos croyances, c’est la raison pour laquelle rien ne se passe comme vous l’espérez.

    Ce n’est pas parce que trois journalistes puceaux qui viennent à la rédaction avec un T-shirt du Che ont dit qu’ils refuseront de travailler que les médias, fussent-ils uniquement catalans, vont arrêter de fonctionner. Ils iront sans doute rejoindre un piquet de grève mais il y aura toujours assez de journalistes pour tenir l’antenne à leurs places.

    Quand aux travailleurs, ils ont eux compris qu’ils n’étaient plus en 1950 et que la lutte des classes était un concept complètement dépassé et obsolète. Ils ne feront pas grève de façon massive. Il y aura toujours quelques passionarias qui agiteront des drapeaux et des pancartes mais les entreprises continueront de fonctionner et les administrations de tourner car au fond, vous êtes extrêmement minoritaires. Genre 2 3 % de la population. Et une fois que vous serez fatigués de tourner en rond, il ne restera plus personne pour vous suivre et prendre votre place comme pour Nuits Debout. 

    De votre mouvement, il ne restera que les balayeuses municipales qui nettoieront l’endroit la nuit afin qu’au matin le Peuple, le vrai, ( et pas uniquement un petit club qui se veut révolutionnaire dans l’âme mais qui fait en fait qu’exprimer un mal-être émotionnel personnel en chargeant le Système de vos propres fautes et de vos propres peurs ) ait un endroit propre pour circuler et vaquer à ses occupations.

    Le Peuple espagnol est fondamentalement attaché à la démocratie. C’est pour cela qu’il ne renversera pas le roi. Parce que le monarque a défendu face caméra la démocratie face aux militaires qui ont cru pouvoir refaire 1936 en 1981.

    Vous avez beaucoup d’attachements à vouloir améliorer le sort des autres. C’est une bonne chose, je vous encourage à cela.

    Mais vous n’arriverez jamais à rien tant que vous ne regarderez pas le monde tel qu’il est, et pas tel que vous voulez qu’il soit.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 21 octobre 2017 21:06

    @jaja
    C’est toujours comme cela le premier jour.


    Et une semaine après, ils sont 200 à battre le pavé comme la dernière fois.

    Vous avez déjà perdu, il va falloir vous y faire.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 21 octobre 2017 02:11

    @Pierre-Yves Martin

    La Catalogne bénéficie de pouvoirs locaux plus étendus que d’autres régions espagnoles comme l’ Andalousie ou les Asturies, mais moins que ceux du Pays Basque. Madrid doit estimer que le pouvoir central doit garder un minimum de puissance pour éviter un effet centrifuge qui disloquerait le pays au final. Et surtout pas de laisser s’éloigner la Catalogne qui a le plus fort potentiel économique.

    Le PP est corrompu à un point que l’ UMP fait pâle figure en comparaison, en effet.

    Mais il est au pouvoir de par la décision des urnes. Si le PSOE ou Podemos se plaignent du résultat, ils sont les premiers responsables de leurs échecs.

    La nation catalane est ancienne et riche en histoire. Mais elle s’est depuis longtemps agrégée au niveau politique, social et économique au monde castillan et ces deux nations sont maintenant indissociables.

    C’est un peu comme pour la France. Il y a des régions qui ont une forte identité locale mais l’histoire passée et le présent font qu’une Bretagne ou une Alsace indépendante n’auraient aucun sens politique ou économique. La Bourgogne était un royaume indépendant qui s’étendait de Langres à Nîmes. Personne n’imagine maintenant en refaire une entité séparée de la France. Les liens sont devenus trop forts et trop profonds.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 21 octobre 2017 02:02

    @jaja

    La Monarchie existait en Espagne bien avant Franco, vous savez.

    C’est au début du XXè siècle que cela s’est un peu compliqué avec le renversement de la monarchie qui s’était appuyée sur la dictature ministérielle de Primo de Riveira pour se maintenir en place, laissant la place à la République avec la fuite d’ Alphonse XIII.

    La république, dès le début, doit affronter entre autre le terrorisme anarchiste qui secoue les régions les plus pauvres du pays. Il en résulte un sentiment d’insécurité intense et des tensions gouvernementales entre opposants aux anarchistes et ceux qui leur portent un regard plus complaisant.

    Les élections de 36 portent le Frente Popular au pouvoir. Mais le scrutin s’est déroulé dans un climat de grande violence ( 41 morts répertoriés ) et cela encourage les nationalistes à agir. Franco hésite et refuse dans un premier temps. Il change d’avis quand un député de droite nationaliste, Sotelo, est tué par des républicains. Il n’est cependant pas à la tête du mouvement. Exilé aux Canaries, il rejoint le Maroc Espagnol et en prend la tête. Franco ne prends la tête de l’insurrection qu’à la mort de Mola.

    Au départ, le coup d’Etat militaire est un échec. Moins du tiers du pays passe sous contrôle nationaliste sans aucune grande ville, mais beaucoup de villes moyennes voient leurs garnisons se révolter.

    Mais les républicains sont incapables de s’unir et d’offrir un front commun et de synchroniser correctement leurs actions. Les partis se méfient les uns des autres, ce qui permet aux nationalistes de gagner lentement en puissance.

    Les nationalistes doivent la victoire aux fascistes italiens et aux nazis allemands qui envoient troupes, matériel et argent alors que l’URSS conditionne son aide à l’ élimination des trotskistes du POUM. La France penche pour l’intervention mais le refus anglais d’intervenir bloque le gouvernement qui menace de tomber. Elle se contentera d’envoyer des combattants civils volontaires. 

    Dès lors, c’est du tout cuit pour les nationalistes qui brisent un à un les fronts républicains en prenant les Asturies, puis la Catalogne et enfin Madrid après 3 ans de combats.

    Une fois au pouvoir, Franco veut rétablir la Monarchie, mais il ne fait pas confiance à Alphonse XIII qu’il estime incompétent malgré le soutient de ce dernier. Son fils héritier, le comte de Barcelone, est aussi un soutient de Franco mais le Caudillo veut en premier lieu changer en profondeur la société espagnole afin d’assurer la pérennité de son action. Aussi il reste régent le temps pour lui de marquer le pays et la société de son empreinte. De plus, Franco veut que le futur roi sorte de son moule. Il obtient que Juan-Carlos, fils du comte de Barcelone, fasse ses études en Espagne afin de lui laisser la place le moment venu.

    Las, malgré une stricte éducation militaire et phalangiste, Juan-Carlos n’a aucune intention de perpétuer ce qu’il considère dès les années 60 comme un anachronisme certain. Il se garde bien de critiquer le régime et donne tous les gages.

    A la mort de Franco, Juan Carlos monte sur le trône et détricote lentement le régime phalangiste. Libération des prisonniers politiques, légalisation des partis interdits, PCE inclus ( en échange de la reconnaissance de la monarchie espagnole ), liberté syndicale complète, scrutins libres, nouvelle constitution démocratique en 1978.

    En 1981, lors de la tentative de coup d’Etat, il intervient à la télévision pour ordonner face au Peuple aux militaires de rester dans leurs casernes. 

    Si Juan-Carlos doit son pouvoir à Franco, il n’a rien à voir avec lui.






  • Mmarvinbear Mmarvinbear 21 octobre 2017 01:15

    @jaja
    Appréciation subjective qui se heurte à la perception qu’en ont les Catalans, violentés chez eux, le 1er octobre


    Les responsables premiers en sont les indépendantistes catalans qui ont rejeté les jugements des cours de justice qui ont invalidé ce soit-disant référendum en justifiant leur décision sur des points de Droit indiscutables. Si les madrilènes ont matraqué, ce sont les barcelonais qui ont mis les matraques dans leurs mains.

    Si le peuple le veut l’indépendance est un droit absolu.

    Avec ce genre d’argument, on justifie le caprice d’un enfant de dix ans qui ne veut pas écouter ses parents. Une volonté d’ indépendance se construit et se justifie pour être compréhensible et encouragée par le monde extérieur.

    A part la volonté de garder l’argent de la région pour soi, les indépendantistes actuels n’ont aucune raison valable à avancer aux yeux internationaux. Et tout le monde leur disent en substance qu’ils sont en train de faire une énorme connerie à s’obstiner et par abimer leur propre idéologie.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 20 octobre 2017 12:28

    @Cateaufoncel

    Eh bien le père Hugo avait raison. 

    La diffusion de l’enseignement a fait progresser la société et fait disparaitre de larges pans de la criminalité de l’époque.

    Mais je ne pense pas qu’il imaginerait que d’autres apparaîtraient.

    La nature a horreur du vide.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 20 octobre 2017 12:24

    @sophie
    C’est juste son style. Ses albums de fiction sont dans le même genre. Mais comme ils sont en couleur, cela choque moins.



  • Mmarvinbear Mmarvinbear 20 octobre 2017 12:21

    Si la Catalogne ne peut pas quitter l’ Espagne, c’est avant tout parce que cela n’aurait aucun sens.


    Quelle raison objective serait en faveur de l’ indépendance ? 

    La liberté ? Autant cela avait un sens sous Franco, autant maintenant il n’y en a plus. L’Espagne est un pays démocratique ou les libertés et les droits fondamentaux de tous sont respectés.

    La démocratie ? Même raison. Les élections espagnoles sont libres et fiables, au niveau local comme national.

    L’identité catalane ? Elle a toujours existé sous l’égide espagnole et si elle était réprimée sous Franco, la région possède un statut d’autonomie renforcée qui donne à Barcelone le droit de l’exprimer pleinement dans la vie quotidienne et l’éducation.

    La République ? Ce serait une raison, l’Espagne est une monarchie. Mais une monarchie acceptée par l’ensemble du peuple espagnol, donc légitime. Cela n’importe que peu car il vaut mieux un régime de monarchie démocratique qu’une république dictatoriale comme en Corée du Nord ou à Cuba.

    L’ économie ? Ce serait un non-sens complet. La Catalogne fait du commerce avec toute l’ Espagne librement. Pourquoi s’imposer des barrières et des douanes supplémentaires qui n’existent pas maintenant ?

    En réalité, l’indépendantisme catalan actuel à plus à voir avec les vagues populistes d’extrême droite qui ont secoué un peu l’ Italie dans les années 90 avec la volonté de certains de séparer le Nord riche du Sud pauvre. Certains catalans ne s’en cachent pas, voulant un meilleur contrôle économique des ressources de la région pour que Barcelone ne finance plus les déficits de Séville et de Cadix.

    On retrouve la même volonté de vouloir garder ses fruits pour soi, enrobé dans un nationalisme sirupeux et naïf.

    La situation actuelle est aussi le résultat de la politique intérieure catalane, ou les indépendantistes sont incapables de se mettre derrière un seul homme, chaque parti voulant imposer son chef à la tête. Il en a résulté le choix d’un troisième couteau, propre à séduire tout le monde mais qui pour cela est obligé de fuir en avant s’il ne veut pas être renversé.

    Barcelone a misé et la Catalogne a perdu. Elle va sans doute perdre de large pans de son autonomie actuelle. Les prochaines élections locales nous diront si la situation s’apaisera rapidement ou pas.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 17 octobre 2017 20:41

    PyongYang commence à dater un peu mais l’essentiel reste d’actualité.


    La Corée du Nord est toujours un pays renfermé sur lui-même ou les touristes ne peuvent pas sortir des chemins balisés sans encourir de gros problèmes.

    En ce qui concerne l’usage par le pouvoir des ONG pour affirmer son contrôle via la redistribution de nourriture, il s’agit de faits documentés en effet.

    Enfermé dans la ville, Deslisle ne peut pas décrire la réalité des campagnes, plus terrible encore. Les réfugiés nord-coréens qui parviennent en Chine ou en Corée du Sud en témoignent tous les jours.


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 17 octobre 2017 20:34

    @Yvance77
    En même temps vous n’êtes pas obligé de lire ce qu’il écrit, hein. :)



  • Mmarvinbear Mmarvinbear 16 octobre 2017 18:19

    Les mêmes qui font assaut de flagorneries devant les initiatives régressives du gouvernement de sa majesté Macron sont soulagés maintenant que Richard Ferrand bénéficie d’un non-lieu pour échapper à la sanction de ses petits arrangements couverts par la prescription.

    Depuis quand il faudrait se plaindre que la loi s’applique à tous ?


    Ces journalistes rivalisent d’ingéniosité et même d’inventivité au service de leurs maîtres milliardaires sans d’ailleurs que ces derniers aient besoin de leur intimer quelque ordre que ce soit tant ils sont drillés et savent anticiper leurs désirs.

    A la Pravda ils faisaient pareil, mais bon.

    Les Monsieur Propre du système jouent donc les indignés parce que Madame Garrido a accepté de participer comme chroniqueuse indépendante à une émission télévisée d’une chaîne détenue par Mr Bolloré.

    Indigné, c’est un bien grand mot. C’est plutôt pour souligner l’ironie de la situation. Pendant des semaines et des mois Fi a craché son fiel sur tout ce qui le lui convenait pas et maintenant son porte parole principal va à la soupe. On aurait tord de s’en priver, non ?

    Ils – surtout ceux qui s’engraissent des prébendes du pouvoir - peuvent évidemment réclamer des élus de la France Insoumise qu’ils mènent une vie d’ascètes et n’envisagent en aucune manière d’améliorer leur ordinaire tout en restant fidèles à leurs idéaux.

    Bah sans aller jusque là on pourrait au moins leur demander de ne pas se comporter comme des élus LR, non ? Sérieux, j’ai rien contre la lutte contre la corruption et les petits arrangements mais à FI, vous en avez fait un cheval de bataille. Et une fois élus y’en a qui demandent la clé du placard des confitures. Alors on s’interroge, hein.

    Ce que recèle cette obscène campagne de presse contre les Insoumis est au demeurant plus important que le fond qui est inexistant sauf pour ceux qui sont mentalement disposés à faire feu de tout bois sur les seuls à représenter une opposition cohérente aux mesures de régression sociale dont Macron s’est toujours fait le chantre ( il ne doit son élection qu’au rejet de l’incompétence frontiste ) .

    Heu pas tout à fait. il y a eu un premier tour avant et il l’a passé, ce qui n’est pas le cas du Che...

    Chacun sait et lui le premier que ce n’est que partiellement juste car, quelques semaines avant ces événements, ce peuple de Paris applaudissait Pétain et son régime.

    Bah s’il savait que ce qu’il disait était partiellement faux, pourquoi il l’a dit alors ?


    En réalité, derrière ce feu roulant émanant de tous les pontifes de la presse tant télévisuelle qu’écrite, on perçoit bien la crainte de voir l’opposition des Insoumis à l’assemblée impacter durablement l’opinion publique et tous les moyens sont donc par conséquent bons pour discréditer ses membres même le mensonge ou l’interprétation malveillante de leurs déclarations nuancées.

    Heu pour le moment le seul impact des députés FI tient dans une cravate et un sac de chez Aldi. Y’a mieux à faire en 6 mois, hein...

    Reconnaissons aussi que des polémiques sur des symboles comme la présence du drapeau européen ne sont peut-être pas de première urgence même si, sur le fond, on peut émettre des réserves sur sa présence à l’Assemblée Nationale et s’interroger sur la symbolique mariale que cela représente.

    Tant qu’à faire, il vous faudrait vous insurger contre le drapeau tricolore aussi. Vous savez, il a été instauré sous la Monarchie... Et si le bleu et le rouge étaient les couleurs de Paris et par extension du Peuple, c’était aussi les couleurs traditionnelles des Bourbons. Ah vous ne le saviez pas, que vous vous incliniez sous les couleurs du Roy ?

    En fait, toute cette presse de caniveau n’a pas digéré que Mélenchon ne se soit pas précipité dans un soutien explicite à Macron au soir du premier tour des Présidentielles, soutien que l’on aurait beau jeu de lui reprocher aujourd’hui qu’il mène une opposition farouche.

    Il n’y a pas que la presse qui en a été déçue. Pas mal de gens ont quitté FI à cause de cela aussi...

    Valls, l’homme, expert en retournement de veste, qui avait pris, promis juré, l’engagement lors de la primaire socialiste de soutenir le vainqueur et qui s’est empressé de trahir sa parole pour s’aligner, toute honte bue, derrière Macron et qui cherche à exister en jouant les offusqués pour les noms d’oiseau bien mérités que Mélenchon a eu l’audace de lui adresser.

    Bah en même temps Hamon a le premier trahi cette promesse aussi, hein. Alors pourquoi se gêner ?

    De façon plus générale, FI devait aussi s’attendre à cela, hein. Plus sa porte parole se justifie, et plus le canard montre et démontre qu’elle ment. Du vrai Fillon dans le texte. Les zéros dans les sommes en moins. Et le Che en rajoute en disant qu’elle est pauvre.... Qui peut croire cela ? Elle est avocate et vit à Paris. Elle a certainement plus que le SMIC même avant d’aller chez Bolloré pour avoir son bol de soupe.

    Toujours cet attrait pour la confiture...



  • Mmarvinbear Mmarvinbear 16 octobre 2017 16:45

    @Ouallonsnous ?

    Ce sont les Français qui ont défini la route. Près de 70 % pour le candidat qui voulait continuer dans cette voie.

    Vous pouvez vous en plaindre, mais vous n’avez rien à dire.