@alinea
Décompensation maniaque ?...Personne ne vous reprochera de vivre votre liberté comme vous le voulez. Et de vous prendre pour un écureil en jupon sautant dans la forêt.
Les thémes obsessionnels chez vous tournent autour de la haine de l’amérique et de la fascination pour les salopards paranoïaques, qui sont sans doute un substitut à ce que les enfants nomment un « superhéros »,dont le psychopathe Poutine est l’incarnation préférée.
Les enfants, eux, ont le bon sens de choisir Tarzan, ou Zorro. Mais pas les génocidaires, tel Bachar ou Poutine.
Je me demande si vous êtes capable de raconter l’histoire du loup et du petit chaperon rouge à vos petits enfants, ou celle de Blanche neige, sans changer le scénario, en incluant des histoires de viols, de tortures et de massacres. Le gore vous inspire, comme les merveilleux chez d’autres.
Car l’iran que vous évoquez, avec ces massacreurs et ces pendeurs d’adolecents, ces violeurs d’étudiantes, est du même cru que ceux de Bachar, qui suspendaient les gamins à des crochets de Boucherie.
Des choses irréfutables, documentées, dans mille sources, mille témoignages, accablantes, et qui ont été de tous tempss, les seuls marqueurs, au delà des querelles idéologiques, de la valeur des hommes sur le terrain. On oublie les chansons, on oublie les slogans, mais on oublie pas les horreurs qui sens : Le goulag, les camps d’extermination, Pol Pot, Hitler, Staline, Bachar, Poutine maintenant. Et surtout leur caractère sytémique, identitaires, enfermant tout un peuple dans le même mensonge.
Voilà le portrait de l’Iran, au présent. Vous crachez sur la vie avec votre misérable postillonage démagogique, perdu dans les nuées d’un délire qui vous ridiculise. Vous n’avez pas même l’excuse de la propagande. Sinon celle qui est distillée par les réseaux. A mon avis, vous ne sautez pas assez dans la forêt. Il est temps de vous débranché.
@Joséphine
Pas très fine
On l’attendait celle là. Dommage que vous ne soyez pas rendu là bas, pour le raout.
C’est pas à l’arrière des dauphines que vous seriez, mais menotée, au fond d’un car, en attendant d’être internée.
@Pie 3,14
Etonnant ?...
Qui peut être étonné par les temps Bolsonaristes qui courrent, et des influenceurs avançant masqués.
Pas certain que la dite Alinea qui a déjà soutinu les aventures de Poutine et Bachar en Syrie, ou entre 100 000 et 200 000 personnes ont disparu, habite vraiment les cevennes avec Cevennevive, son double, plutot que la Russie.
Ou alors elle rentre dans le troupeau de cette masse informe de bas du front et de frustrés, ayant un compte à régler avec le bonheur des autres, et se réjouissant chaque fois qu’un salopard fait ses exactions.
De préférence d’obédience fachiste.
La cohérence n’est pas de ce monde. Nous parlons raison, et ces gens sont dans la pulsion, ou l’idolatrie, poussés en troupeau par de vrais influenceurs, tachant d’agir sur l’opinion générale, comme on le voit actuellement au Brésil, et qu’on la vu en action chez les Trumpistes, les Poutinistes, les anticovid ou les brexiters. L’essentiel est d’exprimer sa haine, au sein d’un groupe qui donne un mode d’explication du complot, et de la marche à suivre pour suivre cette troupe « en colère ».....
Tout prend son sens ainsi quand on voit le problème de façon systémique. Les marionetistes se servent du climat ambiant, sur fond de collapsus générale, pour tenter de faire le profit de régimes d’obédience fachisantes, qui ont pour seuls mérite de rassurer les gens perdus en leur montrant un vrai leader, qui ne laisse pas confronté à l’angoisse de la liberté, et à la responsabilité de leur vie.
@Eric F
La différence entre vos propos zélés, et ceux d’un influenceur Russe, n’est pas plus épaisse que celle d’un papier cigarette.
Poutine est une sorte de golem, entre le stalinisme, et le capitalisme le plus débridé, version mafieuse. Une sorte de Toto Rino, s’affirmant par un gouvernement vertical, et ommnipotent.
L’avantage, c’est qu’il ne s’embarasse pas des tengiversations des autres, qu’il supprime, s’il est contesté.
L’inconvénient, c’est qu’il est tellement craint, par des sulbalternes zélés, qu’ils lui donnent les informations qu’il veut entendre. D’où la catastrophe actuelle. Il n’y a pas que le Moskva qui s’est tranformé en sous marin.
Le dilemme est de savoir si on veut se taire et s’enrichir, ou si l’on veut finir au fond de la piscine.
Les deux ne sont pas forcément antagonistes, et obéissent à des timing d’action différentes. Mais c’est sur que d’avoir les poches plombées de lingots d’or, n’aident pas à nager, même en eaux troubles.
@Eric F
Les efforts de la Russie pour employer des influenceurs Français. Source : France culture https://bit.ly/3CvccSk
« Autre influenceuse française pro-russe, Christelle Néant qui vit depuis 6 ans dans le Donbass et qui affiche 40 000 abonnés sur YouTube et 26 000 sur Telegram. Elle aussi souscrit à 100% à la propagande locale et à la version des faits donnée par les russes.
»Quand on lui parle des manifestants pour la paix arrêtés en Russie, Christelle Néant compare la situation à Moscou aux gilets jaunes en France,« écrit le site Arrêt sur Image qui a enquêté sur elle. Elle soutient qu’en »Russie, on peut manifester quand on demande l’autorisation, c’est pareil en France. Combien de manifestations de gilets jaunes ont été interdites ?« .
Depuis le début de la guerre en Ukraine, les contenus de ces 12 influenceurs ont non seulement été partagés par les groupes populaires »pro-russes« et »pro-Chine" de Facebook, mais aussi par des comptes proches du gouvernement russe ou chinois, comme l’ambassade de Russie à Paris. Ces relais leur ont permis d’atteindre une nouvelle audience, estimée désormais à plus de 18 millions d’utilisateurs.
« Ils sont 12 influenceurs »pro-poutine« répartis dans 8 pays occidentaux comme l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, les États-Unis et bien sûr la France, cumulant à eux-seuls plus de 2 millions d’abonnés, selon une étude menée par l’organisation indépendante : Institute for Strategic Dialogue (ISD), spécialisée dans l’analyse des réseaux sociaux.
En trois mois de guerre en Ukraine, les grands réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou YouTube ont pris tout une série de mesures contre les gouvernements, les personnalités politiques ou les médias, qui soutiennent explicitement l’invasion russe en Ukraine. En revanche, la lutte de ces plateformes reste modeste vis à vis des influenceurs indépendants qui propagent les mêmes fausses informations à des communautés plus petites. » France culture https://bit.ly/3IC8tGy
@Eric F
On remarquera que s’il existe par exemple un Agoravox en France, et bien d’autres sites de commentaires, comme celui de Médiapart ou de Fance info, tous, et celui ci sans doute encore plus que les autres, est vérolé par la présences des influenceurs Russes, présents sur les plateformes, à partir de Saint Petersbourg. Néant, Bravo, et tant d’autres, dont les articles se retrouvent à l’identique sous d’autres supports sont clairement des agents d’influence.
Je ne pense pas que la possibilité de propagande intensive soit possible pour les Français, ou tout autres occidentaux, sur les terres sous haute surveillance de Poutine, ou évidemment les Russes doivent aussi fermer leur gueule. Les journaux ou les TV et radios critiques un tant soi peu au pouvoir ont été fermés, et obligés de s’exiler. Les mots guerre et paix sont devenus interdits de prononciation. Je ne vois pas comment vous pouvez faire le parallèle entre les deux blocs, sans que ce déni s’explique simplement à un ralliement, car oui le mot « bloc » a été repotentialisé par cet imbécile de Poutine, qui tourne le dos à l’histoire, dans cette aventure que personne n’avait prévu, Zelensky le premier, car irrationnelle et moyennageuse.
@Basile
Vous confondez l’histoire avec votre idéologie. Au présent, c’est bien la Russie qui tente de justifier son agresssion par des motifs religieux, potentialisés par le patriarche de Moscou, qui bénit les forces wagner, comme les évèques le faisait des croisés.
L’aversion de la Pologne n’a guère besoin de plonger dans un passé lointain instrumentalisé par vous, pour se comprendre. L’attaque simultanée, des nazis et de l’URSS, en 39 dont les soldats attaquant à l’est, et les autres à l’ouest, pour se serrer la main chaleureusement au point de leur rencontre est amplement illustré.
« Parmi les premiers à subir des répressions massives de la part des Soviétiques se trouvent le Corps de défense des frontières. De nombreux officiers sont assassinés par la police secrète du NKVD immédiatement après leur capture. Le général polonais Józef Olszyna-Wilczyński (en) est abattu sans procédure légale au moment de son identification74. Dans la région de Wilno, tous les officiers supérieurs de l’armée polonaise sont morts en captivité, comme en Polésie, où 150 officiers ont déjà été exécutés avant même que les autres ne soient faits prisonniers. Des hommes en uniforme capturés à Rohatyń ont été assassinés avec leurs femmes et leurs enfants74.
Sur le front ukrainien 5 264 officiers (dont dix généraux), 4 096 sous-officiers et 181 223 soldats sont emmenés en captivité75. Les troupes régulières polonaises à Lviv, y compris les forces de police, ont volontairement déposé les armes après avoir accepté les conditions soviétiques de reddition, qui leur offraient la liberté de se rendre en Roumanie et en Hongrie neutres. Les dirigeants russes ont complètement rompu l’accord. Tous les militaires polonais sont arrêtés et envoyés dans les camps de prisonniers de guerre soviétiques, dont 2 000 officiers de l’armée76. Dans la vague suivante de répressions qui dura 21 mois (voir : opération Barberossa) quelque 500 000 Polonais surnommés « ennemis du peuple » seront emprisonnés sans motif77 ».
Lors du massacre de Katyń près de 22 000 ressortissants polonais sont assassinés simultanément lors d’exécutions de masse comprenant des officiers de l’armée, des dirigeants politiques, des fonctionnaires, des représentants du gouvernement, des intellectuels, des policiers, des propriétaires terriens et des dizaines de soldats ordinaires78
« source wilkipédia. »....Des faits qui furent reconnus par l’URSS à l’époque de Gorbatchev, et dont Poutine de nouveau tente de mettre sous le tapis, en s’attaquant aux historiens Russes, pour tenter d’imposer sa vision victimaire, et la légétimité de ses troupes de soudards psychopathes, et la mise en coupe de tout un peuple, conditionné déjà par 30 ans de propagande.
Ne parlons pas des 50 années qui suivirent de colonisation soviétique.....
@Basile
Ce que vous faites semblant de ne pas comprendre, c’’est que la fermeture des bases américaines, n’a pas sorti pour autant la Fance de l’otan. Juste du commandement intégré, ce qui est secondaire, celui ci étant d’ailleurs conditionné aux forces US.
C’était une décision symbolique dans les faits, car elle ne remet pas en cause l’appartenance à l’alliance atlantique.
Au niveau sécuritaire, on remarquera que la France, développant une force d’intervention en Allemagne, où j’ai d’ailleurs passé une partie de mon service militaire, continue dans les faits à une partipation active à la défense européenne. Et qu’étant le pays le plus du bloc de l’est, elle était protégée par les tous autres pays frontaliers, où les bases américaines continuent à être présentes.
Je ne nie pas que les bases US ont été récupérées par la France. C’est même l’esprit de mon billet, si vous l’aviez lu jusqu’au bout.
Celle dont je parle était celle d’Evreux, dans l’eure, une des plus grandes de France. https://bit.ly/3GpVtBk
Il y a 50 ans, les Américains quittaient Évreux - Actu.fr@Octave Lebel
« L’information et le débat sont verrouillés. Le service public de l’information utilise toutes les astuces de la propagande des plus infantilisantes aux plus hypocrites. »
Belle indignation contre la censure exercée par ce salopard de Poutine envers les médias Russes. Cela m’a tellement impressionné que j’ai coupé court, et vous félicite sans aller plus loin dans votre bel écrit, fait pour réveiller les consciences abruties par la vodka et les Z qui ne veulent pas dire Zorro !.
Effectivement l’empire de la propagande ne peut supporter une presse libre et indépendante ! Tout ce que ce pays vérolé par la mafia produit comme information n’est que ce lénifiant soutien au leader « bien aimé’..
Une descente en enfer dont on ne sait quand on parviendra au deuxième sous sol. En attendant ce sont les oligarches qui ne plaisent plus au pouvoir, ou qui sont un tant soi peu critiques, voyant trop bien comment le pays s’enfonce, qui passent par la fenêtre, ou qui se « suicident » , avec toute leur famille.
L’âme Russe, devient de plus en plus neurasthénique. Et parait il « Guerre et Paix » , et « crimes et chatiments » sont devenus interdits d’édition, à cause de leur titre.
@Eric F
Parfois le soutien des pires energumènes devient contre productif pour Poutine.
Du genre « On peut cogner, chef ? »
La manipulation, c’est comme un sauce béchamelle ; il faut pas trop chauffer la casserole au cul, si on veut qu’elle prenne.
« Furax » n’est pas un très bon pseudo non plus.
Pourquoi pas « Pantine » ?
@Furax
L’URSS n’avait rien a envie aux nazis, auquels ils étaient d’ailleurs alliés, avant qu’Hitler ne change d’avis....Mais quand Hitler attaqua la Pologne à l’ouest, l’URSS l’attaqua à l’est...
Le jour qui suivit l’explosion d’Hiroshima, l’URSS déclara la guerre au Japon....Pour s’emparer des iles Kouriles.
Formidable opportunisme des soviétiques, du genre du voyou qui attend qu’une vieille dame soit à terre pour lui piquer son sac à main.....
De tout cela, Polonais et Japonais, qui n’ont toujours pas signé, pour ces derniers, le traité de paix avec leur agresseur, s’en rappellent très bien. Il ne faut pas chercher ailleurs, sinon aussi dans leur vécu de colonisés, l’aversion que la pologne garde envers l’a Russie, et l’aide qu’elle apporte aux Ukrainiens.
@Eric F
Je le sais trop bien, car j’habitais gamin derrière une des plus grande base US, en Normandie. Une fermeture qui mis en émoi la région. il y eut des manifestations pour tenter de s’opposer à cette fermeture, avec en tête, les commerçants, biens sûr, car les retombées économiques étaient importantes.
Mais ces décisions étaient avant tout symboliques, pour De Gaulle, qui n’avait absolument pas l’intention de quitter l’alliance atlantique.
Un gamin faisait forcément son miel des rétombées diverses liées à la base. Les meeting aériens, les liens qu’on avait parfois avec le personnel, les voitures américaines, et autres Harley, les jouets qu’ils nous filaient et qui étaient inconnus en France, ainsi que les magazines.
C’était une sorte d’occupation coloniale culturelle aimable, à la fois critiquée, et admise, liée à une certaine fascination propre à l’époque, d’un pays qui se réveillait de la guerre, et d’un autre jalousé, qu’on mythifiait et qui affichait sa puissance et son argent.
Deux de mes cousines se sont mariées à des aviateurs, et sont parties en Californie, avec leur mari, comme tant d’autres filles dans la région. J’ai le souvenir quoique très jeune alors, de m’être intéressé à la politique, par le fait que cette base pouvait nous disait on, devenir une cible stratégique, lors des événements des missiles à Cuba. Enfin les cicatrices de la guerre étaient omniprésentes encore en Normandie. Un bon livre policier sur l’époque. « La lune d’Omaha », de Jean Amila, en série noire. https://bit.ly/3VYV922
@Fergus
La bien nommé Néant, à disparu des radars...
Mais dix petites mains au service de Poutine ont pris la place.
Il y a ceux dans les usines à trolls, payés à la pige.
D’autres, qui ont plus à voir avec la psychiatrie.
Plus la Russie s’enfonce, plus ils tentent de la maintenir à flot en soufflant dans la chambre à air crevée.
Pitoyable et dérisoire.
@voxa
Vous racontez des blagues.
Pas nouveau sur ce site, ou cet article est situé entre deux trolls du Kremlin, « Chapoutier » et « Bravo » qui m’ont viré pour « atteinte grave à la chartre »...Tout en multipliant eux, la manipulation à outrance pour les nuls
De Gaulle n’a pas viré l’otan hors de notre pays, et encore moins remis en question la place de la france à l’intérieur, il l’a retiré simplement du comamndement militaire. Pas la même chose.
Dans tous les moments clés, que ce soit le pont aérien fourni à Berlin, quand les soviétiques ont tenté de l’isoler, ou lors de l’épisode des missiles de Cuba, De Gaulle évoqua sont soutien ferme aux etats unis.
Nul doute que dans cette crise où rarement dans l’histoire, il n’y eut des moments pareils, où le camp de la vilennie n’apparait si évident, avec ce salopart de Poutine qui mulitplie les crimes de guerre, sans vouloir la nommer,
@Attila
Moralité
Les bataillons wagner portent plainte
pour crime de guerre contre Mère Théresa
Qui les a privé de dessert...
Sauf celui qu’a reçu dans le cul
Un obus, d’un canon César
@Aita Pea Pea
On regrette parfois le cinema muet.
C’est un hommage bien mérité à Vladimir Pantine !
Comme l’Afghanistan, l’Iran n’a guère jamais connu la liberté. Mais au moins elle n’a pas été toujours ,elle, sous la férule des islamistes. L’iran que j’ai connu d’avant la révolution était un pays étonnant, qui n’était pas sans ressembler aux monarchies du golf, mais sans l’opression religieuse. L’image qu’elle donnait, d’une sorte de Suisse prospère, au miliieu de pays bien plus pauvres, était très trompeuse. Passer de l’afghanistan ou du pakistan à l’iran, produisait un choc au voyageur, comme celui du passage d’un millénaire à l’autre.
Comme ceux qui ont traversé aussi le Liban des années 70, d’avant la guerre, en traversant la plaine de la Bekaa, personne n’aurait plus se douter de ce qui allait se passer.
L’argent coulait à plein pipe line. Des Mercedez, des villas prospères, des routes impeccables, des biens apportés d’europe par tous ces camions internationaux dont certains étaient dévalisés dans le Kurdistan ou, renversés dans les congères, du coté de Tabriz, car l’hiver dans le nord est très dur. Il était possible d’avoir des relations avec les Iraniens cultivés, parlant anglais et même parfois Français. A l’époque, les médias disaient que l’iran, une des premières armées et économie pétrolière, et qui nous achetait des mirages en pagaille, serait le grand leader oriental. C’était une société qui semblait ouverte ét tolérante. Même si c’était un autre monde dans les campagnes, les véritables gagnants de la révolution, prenant leur revanche, avec les reilgieux.
Les jeunes femmes allaient à la fac nue tête, bien sûr, car les religieux n’avaient aucun droit sur la société civile, et étaient très surveillés par la police, quand ils n’avaient pas fuit à l’étranger. J’avais un ami pilote d’essai et qui était de confession hindouiste. Je me demande ce qu’il est devenu....Néanmoins, derrière le décor on s’apercevait rapidement que c’était une société de surveillance, avec à sa tête, le Shah, un paranoïaque notoire, qui fut ramené de force par les américains des USA, tant il avait peur d’une révolution. L’avenir lui donnera raison...La paranoia de l’hommé était semblable à celle de l’empereur Bokassa. A Persepolis, en 71, dans un baroud démesuré, il se mettra en scène dans un spectacle où il rencontre Cyrus, le premier roi des perses https://bit.ly/3Z7k6LD
Les portraits du shah tronaient dans tous les lieux publics, dans le halll du moindre hotel. Un blocage se faisait et un sourire crispé venait dés que le nom de l’homme soi disant aimé par tous était évoqué. La Savak, police d’état dont le nom faisait trembler, comme celui de la Gestapo, est néanmoins tombée, lors de cette révolution où certains crurent que Khomeny ne venait que pour une transition politque. On se rappelera que certains intellectuels, tel Michel Foucault, se fourvoira en faisant son apologie. Il y a ce très bon livre « le shah », écrit par Rudyard Kapuscinsky, un journaliste Polonais, appartenant alors au bloc des non alignés, et dont les écrits restent très pertinent, de celui du « Négus », à « Ebene ». Une sorte d’Arthur Londres moderne.
@njama
Ca dérange surtout les iraniens. Ce sont pas les capialistes qui manifestent par centaines de milliers dans ce pays, ou alors ce pays est le plus grand pays capitaliste du monde.
L’iran s’est vu volé sa révolution en 79, et depuis ce temps là, les religieux fondamantalistes dirigent par un surcroit de terreur. Rien d’étonnant qu’ils soient alliés maintenant aux Russes....
Contrairement à eux, pourtant, les Iraniennes osent défier le pouvoir,et brulent le torchon qu’on leur impose sur la tête.
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