• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Yannick Harrel



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 12 mars 2010 18:06

    Bonjour,

    Et pourquoi pas au lieu d’un achat un échange à la place ? Genre Heligoland contre quelques îles désertes en mer Egée ? ^^

    Trêve de plaisanterie, je me demande si ce genre de proposition n’est pas de nature à « tester » les réactions, à la fois au niveau national et au niveau international (principalement en Grèce pour leur mettre gentiment la pression).

    Soyons honnête avec les Grecs : ils ont triché sur la réalité de leur situation économique, mais seulement plus que les autres. Car très franchement qui croit que l’Euro n’est pas surévalué ? Les critères de convergence ont rarement été respectés simultanément par tous les Etats-membres, à tour de rôle chaque pays a eu des défaillances plus ou moins importantes par le passé. Dorénavant on est arrivé au stade de gravité supérieure, et ça commence à faire peur car on sent bien que la « construction » Européenne n’est en aucune manière un édifice aux fondations stables. Comme dirait de Gaulle, on a pensé qu’en mettant sur pied des « machins » on allait pouvoir lui donner un corps et une âme, et ce sans l’assentiment des populations (et encore moins lorsqu’il s’agit de leur demander de rembourser les irrégularités financières). Grave erreur de jugement...

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 8 mars 2010 17:09

    Bonjour Manfred,

    Un de mes miens amis avait avancé que nous tendions de plus en plus vers une société iconographique. Il est vrai que les exemples abondent en ce sens. Cependant le rôle de l’icône est moins tant d’informer et de provoquer la réflexion que de faciliter une action (le plus souvent par un choix binaire).

    Maintenant effectivement je suis entièrement d’accord : la culture et le langage sont issus d’êtres humains, et sont tout aussi vivants qu’eux. Il est illusoire de penser que la langue d’aujourd’hui sera celle de demain (je veux dire à très long terme) car elle est sans cesse le fruit d’évolutions. Toutefois, c’est réduire le langage à une simple fonction de communication basique et instantanée qui me fait froid dans le dos. Ce n’est pas que je crains l’afflux de poètes au Pôle Emploi de ce fait mais plutôt la perte d’une certaine beauté de la langue. Pour cela il faut pratiquer d’autres idiomes que l’Anglais (enfin l’Américain pour être clair) afin d’en apprécier tout le charme. Et aussi, loin de la préoccupation esthétique, c’est l’approfondissement d’une réflexion qui ne peut aboutir que par la maîtrise de termes ad hoc.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 8 mars 2010 14:11

    Bonjour,

    Etrangement, j’ai eu l’impression que votre article se faisait par sa forme l’écho de cet appauvrissement intellectuel puisque fondamentalement l’on reste sur sa faim et que la lecture n’est pas facilitée par les sauts de ligne. Toutefois puis-je au moins vous remercier d’avoir lancé le débat.

    Je suis très régulièrement atterré (et le mot n’est empreint d’aucune exagération) du niveau d’expression lamentable que je croise sur certains forums et réseaux sociaux. En ce sens je ne vise aucunement l’outil technologique, mais je le remercie au contraire d’être un miroir de la société. Internet permet peut-être justement de révéler l’ampleur d’un phénomène qui est alarmant car celui qui ne maîtrise pas son propre language ne saura d’une part en maîtriser d’autre (ce qui parait somme toute logique) mais aura en corollaire de singulières difficultés à appréhender son environnement et interagir avec lui.

    Rejeter la faute sur Internet, pour viser principalement ce medium, me parait hâtif et injustifié car l’on n’empêche personne de se rendre sur Wikipédia ou des sites à vocation éducative ! Celui qui ne fait preuve d’aucune volonté de s’améliorer serait mal avisé d’en accuser le support technologique.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 5 mars 2010 22:22

    Bonjour,

    Au travers d’un article paru sur ce même site je m’étais justement posé la question de la pertinence de la satisfaction politicienne du chiffre de succès au baccalauréat. D’autant que ni les employeurs ni les grandes écoles (à travers les prépas particulièrement) ne sont dupes de l’actuel niveau général des bacheliers. Et ces derniers non plus quant à l’avenir qui les attend alors qu’ils sont pour la plupart mieux diplômés que leurs propres parents !

    Tout repose en réalité sur l’absence de clarification quant à une problématique ne cessant de pourrir la volonté de réforme ces dernières années : quel est l’objectif d’une éducation scolaire ? La formation d’un citoyen ou la préparation à la vie active ? Le questionnement pourrait paraître fort basique mais il n’en demeure pas moins pesant et contemporain.

    Le plus intéressant je pense est de converser avec des autodidactes et vous comprendrez par leurs paroles combien est précieuse la culture générale dont ils ont été privés. 

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 18 février 2010 20:06

    Bonjour Zelectron,

    C’est effectivement passé sans souci, comme une lettre à la poste si je puis me permettre. C’est d’autant plus incroyable que le secteur de l’intelligence économique génère de gros profits mais n’a pas semblé réagir plus en conséquence que cela sur une réforme la touchant en plein coeur ! 

    J’ai l’impression que dorénavant tout peut passer, sans discussion aucune. Effet de lassitude, de désintérêt généralisé ? Et le pire dans des paquets législatifs un peu fourre-tout. C’est inquiétant au plus haut degré car on constate que l’avis des experts n’a même plus besoin d’être dédaigné, étant devenu inaudible !

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 18 février 2010 17:05

    Bonjour,

    J’ai trouvé votre article d’un extrême intérêt car plusieurs thèmes y sont traités dépassant le seul cadre de la Grèce.

    D’une part vous avez entièrement raison d’énoncer que le monde bascule désormais vers l’Asie, il n’y a qu’à ce titre relever le dédain du Président des Etats-Unis pour l’Europe et ses marques d’intérêt répétées envers la zone Asie, ensuite la vigueur économique de plusieurs pays d’Extrême Orient ne peut que cruellement mettre en exergue l’apathie de l’économie Européenne. Et la Grèce ne saurait être blâmée pour avoir « lissé » ses indicateurs économiques puisqu’elle n’est pas la seule à user et abuser de ce type de procédé, la majeure partie des pays de la zone Euro ayant tout autant recours à ce genre de traitement pour respecter les critères de convergence institués par le Traité de Maastricht.

    D’autre part vous ébauchez à la fin de l’article une ouverture prospective d’importance puisqu’effectivement il faut replacer l’économie au service des peuples et des nations qui en sont l’émanation. La sphère financière a dévissé clairement depuis de trop nombreuses années et appauvrit le corps social. L’Europe aurait pu et surtout dû prendre des mesures novatrices et énergiques pour redonner confiance aux particuliers comme aux entrepreneurs, las il a été urgemment décidé... d’en discuter. L’Europe est une tragédie grecque antique.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 17 février 2010 17:51

    Bonjour,

    Article et fil de commentaires fort passionnants.

    Je me permets de rappeler cette observation judicieuse de Paul Valery : << Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles >>. La vie et la mort des civilisations nous obsèdent car elles renvoient inévitablement à la nôtre, Avec des phases de croissance, de déclin, de mutation(s)...

    A ce titre, les recherches archéologiques ne puisent-elles pas aussi dans cette volonté (et non uniquement la curiosité scientifique) pour toute civilisation de se trouver les racines les plus profondes qui soient ?

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 17 février 2010 17:02

    Bonjour et merci à l’auteur pour son article circonstancié,

    Pour être totalement franc et faire part de mes observations, le net n’est plus neutre puisqu’il est désormais devenu un réel champ de bataille. Et je ne suis pas convaincu, au vu des lois récentes, qu’il y ait lieu d’attendre un apaisement.

    Effectivement comment justifier la mise sous tutelle d’un moyen de communication dans une démocratie si ce n’est par l’entremise d’un « juste » combat ?

    Le problème majeur de cette chasse aux sorcières est qu’elle ne vise pas forcément l’objectif qu’elle entend poursuivre...

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 16 février 2010 00:45

    Bonjour Fergus et merci de votre intervention (ainsi qu’aux autres commentateurs),

    Alors si en dépit de votre réticence ordinaire pour ce type de film vous hésitez c’est que j’ai déjà su trouver les bons mots effectivement ^^

    J’espère réellement qu’en cas de visionnage vous y trouverez un certain plaisir smiley

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 15 février 2010 15:32

    Bonjour,

    Article fort bien rédigé et avec une volonté réelle d’argumenter, ce qui le rend d’autant plus plaisant.

    Pour le reste, relativisons : la Saint Valentin est surtout d’obédience occidentale et chrétienne. La progression de cette fête se heurtant dans les autres sphères civilisationnelles aux cultures locales. Occidental parce que le commercial joue le rôle d’aiguillon, jouant sur la mauvaise conscience du partenaire peu « coopératif » ainsi que sur l’effet de masse, bref un sentiment sacrifié sur l’autel du consumérisme. Chrétien parce que c’est principalement cette religion qui a porté l’amour du prochain à son acmé de par le message du Christ, cela ne signifie pas que ce sentiment ait été absent ou le soit dans les autres religions, simplement il n’a pas été porté jusqu’à une telle incandescence et élevé comme valeur prioritaire.

    Merci à l’auteur une fois encore pour son billet circonstancié.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 15 février 2010 14:58

    Bonjour,

    Analyse prospective intéressante et qui effectivement se tient de par les liens d’amitié entre la Grèce et la Russie. Même s’il est vrai que cette aide serait assortie de garanties/contreparties à déterminer, ce qui m’apparaît logique.

    Quant aux Etats-Unis il est de plus en plus évident que l’Europe n’est plus leur priorité, surtout lorsque celle-ci renâcle à jouer les gentils supplétifs et qu’elle se meut dans les profondeurs du classement de la croissance économique. Je vous renvoie à l’abstention de Barack Obama au prochain sommet UE-EU en mai à Madrid, plongeant les hiérarques atlantistes de Bruxelles dans un profond désarroi.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 11 février 2010 19:45

    Bonjour,

    La raison pour laquelle je m’oppose fortement à la parité tient à une donnée éminemment simple : on ne quantifie pas les qualités d’une personne nécessaires à l’accession d’un poste ou d’un mandat !

    En outre, réserver des places sur le fondement du sexe de tel individu est anti-républicain par essence, étant justement une rupture de l’égalité entre les citoyens. Sans omettre de préciser qu’il ne peut que générer des dérives et des demandes sur d’autres fondements.

    Le féminisme qui plus est, outre son goût rance, vise plus à abaisser l’homme qu’à élever la femme. Il a tué la prévenance envers la gente féminine tout en aggravant le fossé entre les deux sexes. De plus lorsque l’on prend l’exemple des pays nordiques, il ne faut pas faire fi du substrat historico-culturel de ces pays où la femme avait autrefois déjà un statut de premier rang, et justement la France ne partage pas le même héritage historico-culturel. Calquer un modèle tel quel de l’étranger est le plus souvent voué à l’échec avec le risque potentiel d’un rejet plus ou moins violent à terme.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 6 février 2010 19:14

    Bonjour,

    Je suis d’accord avec vous, la couverture médiatique francophone (et a fortiori Française) sur l’Ukraine est réduite à une portion vraiment congrue. Pourtant l’enjeu est de prime importance, tant pour les Ukrainiens que pour les Russes et les Européens. Cette jeune journaliste a permis de combler quelque peu cette lacune, au moins sur Agoravox et je l’en remercie smiley

    Pour le reste, voici les résultats du 1er tour : 

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Élection_présidentielle_ukrainienne_de_2010

    Iouchtchenko n’arrive qu’en 5ème position ! Le troisième larron étant Sergueï Tiguipko, ancien Ministre de l’Economie et Président de la Banque Nationale. Avec son Parti Travailliste, il prônait notamment une approche plus centrale entre l’Europe et la Russie et... la légalisation de la prostitution (je ne sais s’il faut y voir là une des raisons principales de son succès électoral ^^ ).

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 6 février 2010 18:10

    Bonjour,

    Je ne peux guère me substituer à l’auteur pour parler en son nom. Cependant il me semble qu’elle prend pour exemple l’arrivée dans les derniers mètres de la présidentielle de Timoshenko et Ianoukovitch pour démontrer que tout était déjà réglé par avance à travers la « relation publique noire ». D’où son idée d’élargir à un troisième larron pour éviter le non-choix ou le choix par défaut.

    C’est fort intéressant son propos car il m’incite à penser que ce que connait l’Ukraine est peu ou prou ce qui se déroule dans les démocraties occidentales. Il suffit juste d’ouvrir les yeux pour en prendre pleinement conscience.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 6 février 2010 14:40

    Bonjour,

    En réalité l’auteur de cet article pose une problématique et une solution qui pourraient se calquer sur le modèle Français : 

    * les deux dernières candidats sont au final déjà connus avant même les résultats du premier tour, est-ce normal ? Certes ce sont des favoris, mais des favoris fabriqués...

    * l’introduction du candidat arrivé troisième au premier tour dans le round final changerait radicalement la donne, c’est une idée qui n’est pas saugrenue et qui mériterait d’être approfondie.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 6 février 2010 14:21

    Bonjour,

    Si Iouchtchenko, le Président bientôt sortant, a été clairement désavoué lors du premier tour du scrutin (à peine plus de 5% des voix je précise) c’est qu’il a commis plusieurs erreurs de taille :

    * tirer à boulets rouges sur son Premier Ministre qui n’était que... Youlia Timoshenko ! Grossière erreur vu qu’elle était devenue par son habileté politique plus populaire que lui. Le Président n’ayant même pas hésité il y a quelques mois à l’affubler de la dénomination de traîtresse à la solde de Moscou ! Ambiance, ambiance...

    * son jusqu’au-boutisme pro-Américain (signalons que sa femme était de nationalité Américaine jusqu’en 2005 et est née à Chicago) et son manque de discernement en politique international ayant pris la forme d’une décision malheureuse en 2009 de couper les vannes des gazoducs en plein hiver. Grosse erreur sur le plan international.

    * sa volonté de lutter contre la corruption et les oligarques s’est effondrée sur des scandales impliquant sa propre famille politique et même un membre de sa famille (son fils ayant bénéficié de la « privatisation » de la révolution orange, un comble !).

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 5 février 2010 21:09

    Bonjour,

    Yann Moix prouve juste qu’il manque totalement de discernement. S’en prendre à un peuple dont le caractère ne saurait certainement pas se résumer à une décision de justice est d’une imbécilité crasse qui ne fait pas honneur aux artistes Français.

    Maintenant, l’homme étant un ami de BHL, je subodore le gros coup de bourdonnement commercial par derrière. Je trouve tout de même assez étrange que Facebook ait décidé d’une telle suspension de compte, encore que dans les CGU il doit certainement y avoir une clause relative à cette procédure (sans compter que la diffamation sur Internet est répréhensible par les textes, celui de 1881 notamment).

    Mes amitiés au peuple Suisse.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 4 février 2010 11:59

    Bonjour,

    Déjà se mettre d’accord sur le principe et les modalités de sélection : un tel projet est-il raisonnable, pas raisonnable ? primaires, pas primaires ? sélection des premiers candidats ou auto-désignation ? si sélection sur quelle base : nombre d’articles, moyenne des votes, ancienneté ?

    Ensuite le programme et la cible : orientation généraliste ou rassemblement de la cybersphère ? alliance avec d’autres groupes d’intérêt du même secteur ou non ? accord avec un groupement politique chevronné ou non alignement ? 

    Sans compter la création de tout un organigramme avec des personnes / groupes ayant des fonctions précises et parfois ingrates car dans l’ombre mais essentielles.

    Bref, lancer une telle idée n’est que la première étape. La plus facile.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 3 février 2010 15:14

    Bonjour,

    Cette nouvelle parue ce jour et qui semble affoler les hiérarques Européens : http://www.courrierinternational.com/breve/2010/02/03/barack-obama-inflige-un-camouflet-a-l-union-europeenne

    Obama qui snoberait l’Europe pour l’Asie. Et dans le même temps, la Russie qui concentre de plus en plus de moyens et d’attention vers ses partenaires orientaux. Bref, tout cela pour dire que l’Europe dans sa globalité est la grande absente des perspectives géopolitiques de 2050 si j’ai bien compris.

    Je ne puis m’empêcher d’être particulièrement surpris quant au rôle futur de la Pologne. D’autant qu’elle est confrontée à une chute vertigineuse du nombre de naissances (en baisse constante depuis le pic de 1983), or d’ici 2050 c’est toute une génération de bras et de têtes qui va manquer à l’appel. Quant aux frères slaves Russes, pour l’heure je doute de leur volonté hégémonique en terre Polane, ils ont bien d’autres préoccupations en tête. Cependant il est vrai que l’Allemagne entend désormais s’investir de plus en plus en Pologne (elle n’y est déjà pas absente), ça c’est une réalité présente.

    Pour la Turquie je suis d’accord, elle va se retrouver bientôt au confluent des axes énegétiques entre l’Europe et l’Asie Centrale : l’on n’a pas encore bien compris de l’importance que cela va conférer à ce pays ces prochaines années.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 29 janvier 2010 12:00

    Bonjour,

    C’est l’éternelle limite des produits Apple : avec des applications au format propriétaire l’appropriation de l’objet par ses utilisateurs me parait tout de même fortement balisée. De plus, a-t-on la garantie absolue que les informations transitant par cet iPad ne sont ou ne seront pas filtrées ? Encore que le premier filtre demeure l’abonnement aux services (ex. de l’iBook Store). D’ailleurs Amazon avec son Kindle semble suivre la voie inverse. A suivre...

    De plus pour cet iPad si je reconnais le savoir-faire d’Apple dans la conception de produits finis sachant allier l’élégance et la fonctionnalité, je suis tout de même fortement circonspect quant à l’aspect innovation souvent extrapolé par le prisme du marketing et du quasi-fanatisme de certains technophiles qui confondent évolution et révolution.

    Cordialement