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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune LABRUNE 8 février 2012 11:16

    N’allez pas imaginer que je roule pour l’une quelconque des tendances politiques actuelles : je n’ai pas voté depuis des lustres et je ne pourrai évidemment pas voter non plus aux prochaines élections. J’ai vu, et de très près, les socialistes s’acharner à détruire l’ascenseur social que constitue l’école, s’efforcer de mettre en oeuvre dans ce domaine, cyniquement ou bêtement, les pires résolution de l’OCDE. Voter par dessus le marché pour un candidat qui se réclame encore d’un ancien « résistant » décoré de la francisque, partisan de la guillotine en 56 dans une Algérie qui devait rester française et copain, au sens le plus étymologique du terme, d’un René Bousquet, c’est une démarche qui me paraît moralement impossible. Je ne me suis pas fait d’illusions non plus sur Sarkozy : sa politique de gribouille au Moyen-Orient, qu’il s’est bien gardé d’évoquer dans la dernière interview, est une catastrophe. Pour ce qui concerne sa politique intérieure je n’ai aucune envie non plus qu’on cède aux ukases de ce système allemand qui paraît le fasciner. Je ne me vois pas voter non plus, par désespoir suicidaire, pour le sans-culotte Mélenchon admirateur d’un Chavez ami des mollahs iraniens, admirateur aussi du régime pourri des frères Castro. J’ai assez parlé de la dernière solution possible, la plus calamiteuse, et je n’y reviens pas. Bref, les notions de « vote utile » ou de « vote de protestation » n’ont aucun sens et constituent des perversions dans le système démocratique, mais ce serait encore un autre débat. Quand on ne peut pas voter, on ne vote pas, on ne s’applique pas à touiller la sauce à laquelle on sera mangé.



  • Christian Labrune LABRUNE 7 février 2012 16:23

    Vous êtes d’une naïveté désarmante, on croirait que vous venez de naître. Il suffit donc qu’on vous dise qu’on va faire le bonheur des deshérités, qu’on va rétablir la souveraineté de la France, qu’on va mettre sur pied un système économique enfin équitable (mais sans savoir comment, évidemment, quitte, le moment venu, à détourner la vindicte du peuple déçu vers des boucs-émissaires) pour que vous imaginiez que le paradis est à portée de la main. Et vous n’avez peut-être jamais remarqué que ces sortes de discours étaient communs à tous les marchands d’illusion politique ou religieuse. Vous êtes en train de m’expliquer qu’il y aurait une extrême-droite (dont l’idéologie est quand même tout à fait connue : il suffit de lire l’histoire) qui pourrait être « modérée » et démocratique, comme des naïfs ont pu croire naguère qu’il existait un islamisme modéré, lequel conduit tout de même immédiatement à la charia en Libye et probablement assez vite aussi en Egypte. Je suppose que lorsque vous avez mal aux dents, au lieu d’aller chez le dentiste, vous faites une prière à Saint Eudoce, c’est infiniment plus efficace.



  • Christian Labrune LABRUNE 7 février 2012 10:57

    Vous avez raison : Adolf Hitler n’a jamais existé, c’est une invention des media, et les livres d’histoire sont écrits par des romanciers qui inventent à plaisir des fables pour torturer les pauvres enfants qu’on prétend instruire. « La vida es sueno », comme dit Calderon. La vie est un songe. Je suppose que vous-même, vous n’êtes pas trop sûr d’exister. Votre pyrrhonisme m’enchante.



  • Christian Labrune LABRUNE 7 février 2012 10:43

    L’idéologie du parti que vous défendez n’a rien de démocratique. Si vous voulez avoir une idée de ce qu’elle peut produire, regardez ce qui se passe en ce moment en Hongrie. Que des élus se refusent à prendre le risque de favoriser de pareils glissements, c’est tout à leur honneur. Et ils n’ont pas recours à un coup de force politique, ils se contentent d’agir conformément aux lois existantes, lesquelles ont été votées il y a plus de trente ans par une assemblée démocratiquement élue. Qu’on en vienne, pour complaire à une frange de l’opinion peu instruite et manipulée, à vouloir bidouiller les lois pour favoriser l’émergence des aventures politiques les plus funestes, c’est plus inquiétant que le barrage opposé à des candidats peu représentatifs voire fantaisistes. Au reste, si ces derniers ne représentent pas un danger pour les institutions et s’ils ne sont pas de parfaits abrutis, l’expérience prouve qu’ils arrivent quelquefois à obtenir leurs signatures et à exprimer leur vision du monde particulière.



  • Christian Labrune LABRUNE 6 février 2012 16:18

    Oui, vous avez raison, mais cela se voit assez rarement et ce sera de plus en plus difficile : les questions économico-politiques deviennent extrêmement ardues et les citoyens se trouvent de plus en plus démunis, intellectuellement, lorsqu’il s’agit de faire des choix. D’où la tentation, pour les politiques, de simplifier, de renoncer à convaincre rationnellement pour agiter les passions, et généralement les plus basses, comme le ressentiment. C’est de cette manière-là qu’on engendre toute sorte de fanatismes militants.

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