« Il faut s’attaquer à la racine du mal », qu’ils nous disent.
Mais quelle est la racine du mal ?
La racine du mal c’est l’immigration incontrôlée de populations du tiers-monde qui n’ont demandé à personne l’autorisation d’entrer et de s’installer en France, (ce sont des populations en fuite).
Ils n’ont aucune chance de pouvoir s’intégrer dans une société à laquelle ils ne comprennent rien et ils n’ont aucune chance de trouver du travail dans une économie développée post industrielle qui ne crée plus suffisamment d’emplois pour les manoeuvres, puisque c’est une économie de services qui demande de plus en plus de matières grises.
Même les français « de souche » ont du mal à en suivre l’évolution et courent de formations en formations pour remise à niveau !
De quoi ces populations sont-elles censées vivre ?
D’amour et d’eau fraîche, sans doute.
Et que provoque cet échec de l’intégration ?
Il provoque un rejet réciproque, qui s’exprime de façon de plus en plus violente.
Pourquoi ne pas reconnaitre qu’il y a des populations immigrantes qui s’intègrent et d’autres qui ne s’intègrent pas ?
Faut-il que ce soit les Chinois de Belleville qui nous le disent ?
Que l’extrême droite essaye de faire son miel avec le rejet par une majorité de français de l’immigration illégale peut très bien se comprendre.
Qu’elle y parvienne est une autre paire de manche.
Car le Front National, qui n’était qu’une force d’appoint dans le paysage politique sous la direction de son fondateur charismatique a peu de chance de devenir un parti de gouvernement sous la direction de son héritière, qui reprendra le petit bizeness de son paternel comme une vulgaire Madame Bettencourt, et en vertu des mêmes principes du droit patrimonial.
Mais cela n’en fera pas une Présidente de la République !
Parti d’appoint donc, mais d’appoint pour qui ?
Appoint pour la gauche, essentiellement, car en France l’extrême-gauche est l’allié de la droite tandis que l’extrême droite est l’allié de la gauche.
Alors il vaut mieux traiter le problème de l’immigration illégale sous l’angle juridique et laisser les idéologies au vestiaire :
1) L’immigration en France doit être contrôlée par la loi. Et la France ne doit accepter que l’installation d’immigrants qu’elle aura choisi, capables de fournir une contribution positive à la vie de la Nation et à son Economie.
C’est ainsi que cela se passe dans tous les pays du Monde, essayez vous même d’immigrer dans le pays de votre choix, et vous constaterez que votre pays d’accueil examinera votre candidature avec beaucoup d’attention, afin de s’assurer que vous ne constituerez pas une charge ou une menace pour sa sécurité publique ou pour son économie.
Les USA, le Canada, l’Australie n’ont pas besoin du Front National pour faire appliquer des dispositions dictées par le simple bon sens.
2) La double-nationalité doit être interdite sauf cas particulier. Et le droit du sol doit être aboli et ne doit pas pouvoir bénéficier à des personnes qui proviennent de pays qui appliquent strictement le droit du sang, au point d’interdire à leurs ressortissant de pouvoir abandonner la nationalité qu’ils ont reçu à leur naissance. Et cela vaut donc pour tous les ressortissants de pays musulmans.
3) La possession d’un titre de séjour en bonne et due forme doit être un préalable indispensable à l’obtention d’un logement, d’un travail, et à l’accès aux droits sociaux.
Allez vous installer en Suisse ou au Canada sans autorisation et essayer de trouver un logement ou un emploi et vous comprendrez ce que cela veut dire.
Combien d’immigrants illégaux en France sont logés en HLM, disposent d’un contrat de travail signé frauduleusement, obtiennent une immatriculation sociale et inscrivent leurs enfants dans une école sans aucun problème ?
4) Le coût de cette immigration illégale, que nous tolérons parce que l’administration française est incapable de faire son travail et parce qu’une partie de la classe politique a voulu faire des immigrants illégaux sa clientèle électorale, doit être calculé au grand jour.
Une commission parlementaire devrait être nommée à la rentrée pour le calculer. Tout le monde sait d’avance que ce coût est faramineux, ce qui devrait provoquer des actions politiques, surtout en période de vaches maigres.
5) La Charria est inapplicable en France, il s’agit d’un code juridique parfaitement contraire à notre code civil et à notre constitution, l’obligation du respect absolue des lois françaises devra être rappeler à tous les résidents en situation régulière qui seront autorisés à rester sur le territoire national lorsqu’on aura fait le ménage.
Il n’y a rien dans ce programme qui soit de nature à choquer un parti politique quelconque.
Pas même le parti socialiste qui au besoin s’abstiendra lors des votes à l’Assemblée, mais qui ne s’opposera pas, comme il l’a fait lors du vote sur le voile.
Non, nos amis n’émargent pas à l’ambassade de Cuba, ils ont atteint un tel niveau de connerie, et ils ont si bien intégré mentalement leur mission de domestiques, qu’ils sont prêts à travailler gratuitement !
Rappelons qu’on peut avoir des relations sexuelles avec qui on veut en France, y compris avec plusieurs partenaires en même temps et sous le même toit, à conditions de ne pas prétendre bénéficier, pour chacune de vos « épouses », des avantages juridiques, fiscaux et sociaux qui sont attachés au mariage légal.
Vous ne pouvez donc demander à bénéficier des allocs avec plusieurs femmes en même temps, ni à bénéficier de plusieurs parts pour le calcul de vos impôts sur vos revenus !
En d’autre terme, vous pouvez avoir une épouse et plusieurs maitresses, mais vous ne pouvez pas avoir plusieurs épouses !
Mais il est assez facile de répondre à cette question : c’est un « article » qui demande l’introduction de la polygamie dans le droit français.
Et la réponse à cette demande est bien entendu : NON.
De même qu’il n’est pas question d’introduire le droit de répudiation. Je tiens à le préciser une fois de plus, puisqu’on a vu que les musulmans résidents en France ont cherché récemment à faire introduire cette autre disposition de la Charria dans le droit français à l’occasion d’une affaire de « divorce » montée de toutes pièces par un couple de musulmans.
Cela étant dit il est bien vrai, et nos amis musulmans ne peuvent pas s’empêcher de le remarquer, que le droit français est incompatible avec la Charria et qu’il est impossible de vivre en France en se conformant aux règles juridiques énoncées par la Charria sans violer le Code Civil, ainsi que la Constitution de la République.
Mais ce n’est pas notre problème, c’est bien le leur et c’est la raison de leur demandes répétées de modification des lois démocratiques qui règnent dans notre pays.
Il est bon sans doute de rappeler ici un certain nombre de principes juridiques et constitutionnels qui échappent totalement à l’entendement de nos amis qui viennent d’un autre continent, mais aussi, et surtout, d’un autre siècle :
1) En France l’égalité des femmes et des hommes est un principe intangible et incontournable. C’est pourquoi il ne peut être question d ’autoriser la polygamie ou la répudiation des épouses.
Soit-dit en passant, on ne pourrait autoriser la polygamie en France que si on autorisait en même temps la polyandrie, en vertu de l’égalité des droits des hommes et des femmes, et on voit bien alors qu’il vaut mieux en rester à la monogamie comme règle juridique pour éviter les complications !
2) Donc, en France la polygamie est interdite. En revanche avoir des relations sexuelles ou non, avec la femme, ou avec l’homme, de son choix est un droit imprescriptible, dans le cadre d’un mariage légal, et même en dehors de ce cadre.
3) Donc en France l’adultère n’est pas interdit et commettre un adultère n’est plus un crime, ni un délit depuis longtemps.
Personne n’est allé en prison, ni n’a du payer une amende, parce qu’il avait commis un adultère.
La seule conséquence juridique d’un adultère est la rupture éventuelle du lien matrimonial, si et seulement si, la rupture de ce lien est demandée par le partenaire (l’homme ou la femme, ce point étant à préciser à nos amis musulmans qui s’imaginent peut être que seul l’homme dispose du droit de se séparer de son conjoint) qui a été la victime de cet adultère.
La rupture éventuel du lien du mariage est donc la seule conséquence juridique de l’adultère. C’est une conséquence mineure qui ne touche que les relations juridiques entre deux personne et qui ne concerne nullement la société toute entière qui s’en fiche complètement.
4) Un homme, où une femme, a parfaitement le droit d’avoir des relations sexuelles avec plusieurs partenaires en même temps en dehors des liens d’un mariage légal et ceci n’a rien a à voir avec la polygamie.
De plus, ils ont parfaitement, l’un comme l’autre, le droit d’avoir des relations sexuelles avec plusieurs partenaires en même temps alors qu’ils sont mariés avec une personne, si cette personne n’y voit aucun inconvénient. Et cela arrive plus souvent qu’on ne croit.
En d’autre terme les relations sexuelles sont libres et elles peuvent être multiples à partir du moment où elles n’entrainent aucune conséquences juridiques.
L’objet réel de cet « article » est donc de suggérer un nouvel attentat aux droits des femmes, on observera d’ailleurs qu’il y est bien question de polygamie et que la polyandrie n’est même pas évoquée !