La loi Républicaine sera bien évidemment appliquée sur le territoire de la République. Qui osera défier la loi ?
Le scandale serait d’ampleur historique et transcenderait tous les clivages politiques si la loi française ne s’appliquait plus en France.
Toutefois, il est clair que nous sommes au début d’un processus politique et juridique qui va nous permettre de prendre collectivement conscience d’un fait incontournable :
Il est impossible de suivre les prescriptions coraniques et d’appliquer la Charria en France, sans violer le Code Civil et la Constitution.
L’avis du Conseil d’Etat n’est pas un avis juridique, c’est une déclaration politique calquée sur la position du Parti Socialiste.
La preuve du caractère politique et idéologique de l’avis du Conseil d’Etat est fournie par l’argumentation développée par le Conseil d’Etat pour justifier sa position :
l’interdiction du port voile serait contestable juridiquement car trop générale. Seules des interdictions partielles et circonstanciées seraient juridiquement incontestables selon le Conseil.
Or cet argument est faux : il existe bien des interdictions générales, par exemple celle-ci :
il est interdit de se promener nu en public.
Le Conseil d’Etat n’a fait qu’étaler au grand jour son inféodation politique et c’est un coup porté à la légitimité de cette très ancienne institution.
Les policiers de la DCRI ont procédé le week-end dernier et hier en région parisienne à l’interpellation de douze islamistes présumés sur commission rogatoire d’un juge d’instruction parisien, a-t-on appris aujourd’hui de sources proches de l’enquête.
Ces interpellations ont été réalisées par les policiers de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) sur commission rogatoire du juge d’instruction antiterroriste Thierry Fragnoli, selon une de ces sources. Ces personnes ont été interpellées en région parisienne et à Paris.
Ces douze personnes, dont certaines sont d’origine tunisienne, ont été placées en garde à vue, susceptible de durer quatre jours en matière d’antiterrorisme, dans les locaux de la DCRI à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine).
Les policiers de la DCRI ont procédé le week-end dernier et hier en région parisienne à l’interpellation de douze islamistes présumés sur commission rogatoire d’un juge d’instruction parisien, a-t-on appris aujourd’hui de sources proches de l’enquête.
Ces interpellations ont été réalisées par les policiers de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) sur commission rogatoire du juge d’instruction antiterroriste Thierry Fragnoli, selon une de ces sources. Ces personnes ont été interpellées en région parisienne et à Paris.
Ces douze personnes, dont certaines sont d’origine tunisienne, ont été placées en garde à vue, susceptible de durer quatre jours en matière d’antiterrorisme, dans les locaux de la DCRI à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine).
Les policiers de la DCRI ont procédé le week-end dernier et hier en région parisienne à l’interpellation de douze islamistes présumés sur commission rogatoire d’un juge d’instruction parisien, a-t-on appris aujourd’hui de sources proches de l’enquête.
Ces interpellations ont été réalisées par les policiers de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) sur commission rogatoire du juge d’instruction antiterroriste Thierry Fragnoli, selon une de ces sources. Ces personnes ont été interpellées en région parisienne et à Paris.
Ces douze personnes, dont certaines sont d’origine tunisienne, ont été placées en garde à vue, susceptible de durer quatre jours en matière d’antiterrorisme, dans les locaux de la DCRI à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine).