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Giuseppe di Bella di Santa Sofia

Giuseppe di Bella di Santa Sofia

L’auteur, universitaire et historien de formation, s’intéresse à de nombreux domaines et écrit sous sa véritable identité. Ses écrits et ses engagements témoignent d’une volonté de défendre les valeurs qui lui sont chères. Issu d'une ancienne famille de la noblesse italienne, il est conseiller honoraire du secrétariat privé de feu S.M. le roi Norodom Sihanouk du Cambodge (Décret royal NS/KRT/0396/14 du 6 mars 1996), grande figure de l'histoire du XXe siècle. En janvier 1998, le souverain khmer lui a remis l'ordre royal du Sahametreila plus haute distinction honorifique attribuée à des personnes étrangères ayant rendu des services exceptionnels au roi ou au peuple cambodgien.
 
Récipiendaire de nombreuses décorations étrangères et ordres dynastiques, il est également officier de l'ordre du Mérite national de la République du Sénégal, chevalier de justice de l'ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare de Jérusalem ou encore chevalier commandeur de l'ordre patriarcal de la Sainte-Croix de Jérusalem, entre autres.

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  • Premier article le 02/07/2012
  • Modérateur depuis le 02/08/2012
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Derniers commentaires



  • @Fanny

    D’où je sors que la grandeur d’un pays réside dans la liberté de son peuple ? L’idolâtrie d’un homme – Louis XIV, Napoléon ou Poutine – est une impasse. Les artistes et scientifiques font briller un pays, certes, mais sans liberté, ils sont muselés, comme en Russie où les voix dissidentes sont emprisonnées ou exilées. Votre « grandeur » sous un chef fort ? Un mirage qui cache répression et corruption.

    La France imparfaite ? Oui, le référendum de 2005 ignoré et la liberté d’expression sous pression sont des problèmes. Mais comparer notre démocratie, où l’on peut critiquer sans disparaître, au régime de Poutine, où Navalny meurt en prison et les élections sont truquées, c’est grotesque. Le « ressenti de liberté » dans un pays autoritaire ? Une illusion entretenue par la propagande, pas un fait. Les Russes soutiennent Poutine ? Beaucoup n’ont pas le choix, sous peine de goulag moderne. Reporters sans frontières imparfait ? Peut-être, mais la Russie, classée 162e, censure, tandis que la France, 21e, débat librement. Les faits : Poutine bombarde l’Ukraine, envahit la Géorgie, contrôle la Moldavie.

    Vous voulez de la grandeur ? Cherchez-la dans un peuple libre, pas dans un tyran. Arrêtez vos diversions, parlez des crimes de Poutine.


  • @Krokodilo

    Vous n’absolvez pas Poutine ? Alors pourquoi esquiver ses crimes en pointant du doigt l’Occident ? Navalny mort de « maladie » ? Totalement ridicule ! Dans une Russie où les opposants sont empoisonnés, emprisonnés ou tués, comme Politkovskaïa abattue pour ses enquêtes sur le Kremlin – pas juste des « mafieux » –, le doute profite à qui ? Les faits sont clairs : Poutine musèle, élimine, truque. Le Canard enchaîné parle d’assassinat ? Parce que la coïncidence est trop grosse pour avaler vos spéculations.

    L’Occident donneur de leçons ? Oui, nos guerres en Irak ou ailleurs sont condamnables mais brandir nos fautes pour détourner les yeux des chars russes en Ukraine, des bombes sur Bucha, des invasions en Géorgie et Moldavie, c’est de la pure esquive.

    Vous parlez de l’ONU inefficace ? Regardez le veto russe qui paralyse les résolutions sur ses propres crimes. Cessez de jouer les équilibristes : Poutine n’est pas un mal nécessaire, c’est un bourreau.

    Apportez des faits, pas des diversions !


  • @Krokodilo

    Les Ukrainiens retranchés en ville ou sous terre ? Évidemment, ils défendent leur territoire face à une invasion russe qui bombarde écoles, hôpitaux et immeubles à Marioupol, Kharkiv ou Bucha. Ce ne sont pas des tactiques de « boucliers humains », mais une résistance désespérée contre une armée russe qui viole le droit international. La vérité, première victime ? Justement, la propagande du Kremlin excelle à la tordre, accusant Kiev pour masquer ses propres crimes de guerre, documentés par l’ONU et Amnesty International, entre autres. Comparer cela aux « frappes chirurgicales » des USA ou à la censure israélienne ? Une diversion. Les journalistes en Ukraine, eux, risquent leur vie pour témoigner, contrairement à la Russie où ils sont muselés, exilés, emprisonnés ou encore à six pieds sous-terre.

    Un « accord tacite » pour limiter le conflit ? Pure spéculation. Les 200 000 victimes, en grande partie civiles, montrent l’ampleur de l’agression russe, pas une retenue concertée. 

    Vous parlez de « tapis de bombes » ailleurs ? Regardez ceux de Poutine sur l’Ukraine, la Géorgie, la Syrie. Si vous cherchez la vérité, commencez par les rapports indépendants, pas les narratifs conspirationnistes, usés jusqu’à la corde, qui excusent un tyran prêt à tout pour assouvir ses ambitions impérialistes.


  • @Krokodilo

    Les crimes des États-Unis en Irak, en Libye ou ailleurs ? Oui, l’Occident a un lourd passé et les 500 000 victimes irakiennes sont une tragédie documentée. Assange emprisonné ? Une tache sur la liberté d’expression. Mais brandir ces fautes pour absoudre Poutine est une diversion éhontée. L’Ukraine n’a pas été « arrachée brutalement » à la Russie : elle a choisi la souveraineté face à un Yanoukovitch corrompu, inféodé à Moscou. Les analystes prédisant un conflit ? Peut-être, mais c’est Poutine qui a envoyé des chars en Crimée en 2014 et des bombes sur Marioupol en 2022, pas l’OTAN. Les preuves ? Rapports de l’ONU, rapports d’ONG, témoignages de victimes, etc. Vous les voulez ? Elles sont là, pas besoin de fouiller bien loin sur Internet.

    Nos valeurs bafouées ? Je ne le nie pas, mais comparer nos démocraties imparfaites au régime de Poutine, qui truque ses élections, emprisonne ses opposants et bombarde des civils, est une insulte à la raison.

    Vous parlez de chaos exporté par l’Occident ? Regardez celui de Poutine : des villes détruites, des milliers de morts, une Russie muselée. Cessez de relativiser ses crimes avec les erreurs de l’Occident. Les faits sont clairs : Poutine n’est pas une victime, c’est un bourreau.


  • @Krokodilo

    Oui, le monde regorge d’autocraties et l’Occident a ses hypocrisies, commerçant avec certaines tout en en condamnant d’autres. Mais justifier les crimes de Poutine parce que d’autres régimes existent est une diversion. Les médias « entonnent ce refrain » sur Poutine ? C’est parce que ses chars écrasent l’Ukraine, ses bombes tuent des civils à Bucha et sa répression musèle les Russes. Ce ne sont pas des spéculations, ce sont des faits documentés par l’ONU et des ONG. L’Ukraine, une « zone d’influence naturelle » de la Russie ? Ce discours impérialiste nie la souveraineté d’un peuple qui rejette le joug de Moscou depuis des décennies. Novorossia ? Une invention tsariste ressuscitée pour justifier une invasion illégale.

    Votre parallèle avec des bases russes au Mexique ou au Canada est totalement absurde. L’Ukraine n’a pas invité l’OTAN à installer des bases avant 2014 ; c’est l’agression russe qui a poussé Kiev vers l’Occident. 

    Si vous voulez parler d’hypocrisie, regardez les oligarques russes prospérer pendant que Poutine truque les élections et bombarde ses voisins. Cessez de relativiser ses crimes avec des arguments géopolitiques éculés : les faits parlent plus fort que les vieilles cartes impériales.
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