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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
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Derniers commentaires



  • Jason Jason 29 janvier 2008 17:35

    @ l’auteur,

     

    Oui, effectivement, en utilisant l’e-commerce qui mettrait directement le producteur et le consommateur en relation, il y aurait peut-être une piste. Mais il faudra que le produit soit irréprochable dans la présentation et le contenu, et original par rapport aux vins allemands. A cela s’ajouteront les frais de livraison qui risquent de faire exploser les prix. Organiser un système de franchise serait aussi une solution pour un premier saupoudrage avec des détaillants.

     

    J’ai entendu dire que la distribution dans ce pays des vins et spiritueux par des français avait donné des résultats peu encourageants (à part le champagne).

     

     



  • Jason Jason 29 janvier 2008 15:05

    Bonjour,

     

    Concernant votre choix représentatif de la presse allemande, je préfère la Suddeutsche Zeitung à la Welt, et Die Zeit au Spiegel, mais c’est une question de choix de société et de son miroir.

     

    Concernant le consommateur allemand, la part du budget des ménages consacrée à l’alimentation et aux boissons est inférieure en Allemagne en comparaison de celle des français. IL FAUT LE DIRE. Les priorités des dépenses des ménages des deux côtés du Rhin ne sont pas du tout les mêmes. Les chambres de commerce vous le diront.

     

    Quant à la pénétration du marché allemand, c’est un des plus difficiles AU MONDE. Et quel que soit le produit. Là où le consommateur français fera un effort pour acheter une bonne bouteille, le consommateur allemand restera, lui, l’oeil fixé sur l’étiquette du prix. Dur, dur, mais c’est comme ça.

     

    Sur la production française, je suis consterné par la médiocrité d’un grand nombre de vins (même milieu de gamme) et les prix pratiqués pour ces produits. Il y a aussi trop de petits viticulteurs qui font de la m... et de négociants qui vendent n’importe quoi.



  • Jason Jason 29 janvier 2008 14:47

    Merci, Fanfan pour cet article très instructif.

     

    On nous rebat les oreilles sur la croissance, mais celle que j’ai constatée jusque là, est celle des prix.

     

    J’épluche régulièrement les tarifs que ma banque applique à mes transactions, et j’ai du mal à savoir ce que me coûte annuellement la gestion de mes comptes. Le changement annoncé va donc permettre d’y voir plus clair.

     

    Une chose me fait râler cependant : les frais des cartes bancaires (disons à débit immédiat pour faire simple). La banque perçoit un abonnement annuel fixe de la part du client (moi). Mais elle perçoit aussi une commission de la part du fournisseur du client qui utilise la carte. Cette politique me paraît passablement malhonnête. D’autant plus que l’acheteur d’un produit sait que les frais/commissions perçus par la banque sont répercutés sur le prix de vente du produit. Opacité, opacité !!!

     

    Par ailleurs, les banques offrent aux titulaires de comptes courants une assurance en cas de perte ou de vol de chèques. Pourquoi le client paierait-il les risques encourus par la banque ? Le carnet de chèques n’est-il pas la propriété de la banque ? La banque ne garantit-elle pas la qualité des transactions affectant mon compte en vérifiant les données de celui qui veurt encaisser mon chèque (le tireur en bon jargon) ?

     

    Décidément, il ya encore bien des progrès à faire.

    Merci pour votre article.



  • Jason Jason 28 janvier 2008 20:31

    Désolé, la mise enpage n’est pas respectée.

     

    Bonjour Gilles, (cf. votre intervention de16h47)


    Il s’agit en effet de considérer la primauté des systèmes établis sur les aspirations des membres de la communauté que ces systèmes dirigent (avec une légitimité contestable, l’opacité étant de mise). En étant optimiste, on peut souhaiter que soit remis à plat le pourquoi de tout cela et des fins dernières du nomadisme économique. Le capitalisme nomade, avec ses transferts de sommes énormes autour de la planète en quelques secondes profite de sa mobilité pour faire des paris très risquéset déconnectésde toute application économique concrète. Ce sont des investissements purement spéculatifs (économie casino) qui n’ont aucun lien social ni même politique dans le contexte d’aucun pays (mis à part les cotations en bourse, elles-mêmes illusoires). Que peuvent les personnes qui travaillent, sédentaires, face à ces bouffées de folie faisant peser sur les populations les menaces les plus abominables ?


    Du temps de la guerre froide, il y avait la menace de la bombe atomique, aujourd’hui, et en moins de deux décennies, c’est la girouette du capital mondial dans les mains de quelques-uns qui agite son spectre destructeur. Je pense que cela vaut la peine qu’on y réfléchisse.



  • Jason Jason 28 janvier 2008 20:29

    Bonjour Gilles, (cf. votre intervention de16h47)

    Il s’agit en effet de considérer la primauté des systèmes établis sur les aspirations des membres de la communauté que ces systèmes dirigent (avec une légitimité contestable, l’opacité étant de mise). En étant optimiste, on peut souhaiter que soit remis à plat le pourquoi de tout cela et des fins dernières du nomadisme économique. Le capitalisme nomade, avec ses transferts de sommes énormes autour de la planète en quelques secondes profite de sa mobilité pour faire des paris très risqués et déconnectés de toute application économique concrète. Ce sont des investissements purement spéculatifs (économie casino) qui n’ont aucun lien social ni même politique dans le contexte d’aucun pays (mis à part les cotations en bourse, elles-mêmes illusoires). Que peuvent les personnes qui travaillent, sédentaires, face à ces bouffées de folie faisant peser sur les populations les menaces les plus abominables ?

    Du temps de la guerre froide, il y avait la menace de la bombe atomique, aujourd’hui, et en moins de deux décennies, c’est la girouette du capital mondial dans les mains de quelques-uns qui agite son spectre destructeur. Je pense que cela vaut la peine qu’on y réfléchisse.

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