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PELLEN

PELLEN

Ingénieur de l'exploitation du parc nucléaire d'EDF, en retraite, ayant fait partie de l'Équipe Nationale de crise d'EDF, ainsi que de l'équipe de crise du CNPE de Cruas-Meysse ;
Actuel Président du Collectif pour le Contrôle des Risques Radioactifs (CCRR) basé à Toulon - Saint-Mandrier (83) ;
Porte-parole d'un collectif de cadres et d'ingénieurs retraités du nucléaire.

Tableau de bord

  • Premier article le 12/04/2007
  • Modérateur depuis le 06/06/2007
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Derniers commentaires



  • PELLEN PELLEN 16 mars 2015 11:51
    Vous n’imaginez peut-être pas à quel point la transition que l’on est en train de nous servir est impossible :

    - l’optimisation de l’efficacité énergétique n’a toujours été que l’un des leviers de commandes d’un système économique bien géré, dans une optique d’amélioration constante des résultats, et rien d’autre. Dans un tel système, on ne conserve pas des rendements énergétiques pénalisant pour la balance financière, pour le seul plaisir de faire travailler les énergéticiens ou dans le seul but d’emmerder l’adversaire politique. On ne devrait donc avoir aucun besoin de cette ronflante stimulation politicienne pour faire du bien à sa structure industrielle, domestique ou publique.

    - L’économie forcée d’énergie n’est qu’un mécanisme à un coup et un coup déjà très cher pour l’économie nationale. C’est ni plus ni moins que procéder, à un moment donné, à une translation linéaire de la courbe ( parallèlement à elle même) de progression naturelle de la consommation d’énergie ; une opération que l’on ne peut pas répéter à l’infini. Ce coup unique très douloureux on peut peut-être (j’en doute beaucoup) le réussir une fois à marche forcée, mais vouloir le répéter de loin en loin et faire de cette répétition un extravagant moyen de pilotage socio environnemento économique est un véritable suicide collectif.

    - Quant à l’argument climatique, il est pour moi carrément sans objet. Outre que je ne partage pas du tout la doxa globale sur le sujet, prétendre influencer le climat à l’aide d’instruments mettant en jeu des puissances de l’ordre de quelques centaines de GW c’est se foutre du monde. Car on parle bien ici des puissance marginales sur lesquelles il est possible de jouer, sans mettre en péril les équilibres économiques.

    En résumé, on redécouvre l’eau chaude : à savoir que, comme c’est le cas depuis la nuit des temps, l’Homme est condamné à une fuite en avant, dans le domaine de l’énergie comme dans tout les autres, et que la progression sans encombre de sa civilisation dans son univers, ne tient, comme par le passé, qu’à son génie à progresser dans l’inconnu. Pour moi, en matière énergétique, le dernier produit de ce progrès, directement exploitable par la collectivité, sur tous les plans, c’est le surgénérateur. Tout politique électro énergétique ne reposant pas sur ce pilier ne relève que de la fumeuse littérature politicienne et est d’avance vouée à l’échec. 

    Cordialement,



  • PELLEN PELLEN 18 janvier 2015 16:32

    Mon cher doctorix, inutile de préciser que je bois du petit lait en vous lisant, mais ce qu’il y de plus surprenant sur ce blog c’est que, plus les développements et les arguments rationnels s’accumulent dans cette rubrique commentaires, plus la côte de mon discours initial diminue ! Ce qui tendrait à prouver que, à défaut de posséder le matériau rationnel et culturel permettant d’apporter la contradiction, les croisés du « sauvetage de la planète » - pensez donc ! -, probablement très nombreux à fréquenter Agoravox, préfèrent retrouver anonymement leurs coreligionnaires dans la dénégation de principe.

    Je crains, hélas, que ce que nous observons ici pour la question du climat ne soit que l’illustration d’une tendance générale, dans ce pays où l’on a des opinions, avant d’avoir des connaissances, y compris sur les lois fondamentales de la physique... que d’aucuns n’hésitent plus à soumettre à la question du bien et du mal !

    André Pellen 


  • PELLEN PELLEN 17 janvier 2015 16:52

    Sisyphe, vous qui n’êtes sensible qu’aux gros titres d’une presse servile et aux prophéties d’Élise Lucet - à celles de la télé en général - parviendrez-vous à comprendre ce qu’écrit ici Jacques Duran (http://pensee-unique.fr/news.html#chaude) sur cette année parait-il « la plus chause de tous les temps » ? Je ne doute pas qu’avec la grande culture qui vous caractérise vous ne manquerez pas de tenir la dragée haute à ce prétentieux directeur de recherche du CNRS, ancien directeur des études de l’École Supérieure de Physique et Chimie de Paris... auprès de, feu, notre Nobel Pierre-Gilles de Gennes.



  • PELLEN PELLEN 17 janvier 2015 15:06

    ...Tout le monde aura compris que mon dernier commentaire s’adressait à Sisyphe le fils d’éole, dont le courage des sentences n’a d’égal que sa propension à dissimuler sa propre identité. 



  • PELLEN PELLEN 17 janvier 2015 14:52

    Que c’est facile d’insulter les autres, derrière son écran, barricadé dans son salon, sans même avoir conscience de l’image d’homo sapiens primaire que donne d’aussi grotesques éructations. Il ne voit même pas que c’est à cette inconscience qu’on reconnait l’espèce.

    Je me demande si son comportement resterait aussi agressif en présence du contradicteur...
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