@capobianco
« Vos
anecdotes, c’est pour prouver quoi ? Vous avez besoin de vous excuser
d’être ce que vous êtes ? »
Oh pas du tout… Oh la la… J’assume ce que je suis, c’est-à-dire
raciste, et je saisis l’occasion que vous m’offrez de le dire, et de l’expliquer.
Merci Chef Blanc.
Pour moi, le monde ne se divise pas fondamentalement en races,
mais en peuples, ce qui permet de constater que, parmi les peuples les moins
évolués figurent des Blancs d’Europe, comme les Albanais, les Kosovars, les
Moldaves, peut-être les Ukrainiens, et assurément d’autres (petits) peuples du
sud des Balkans.
Cela dit, je n’établis aucune hiérarchie entre les peuples. Il
n’y a ni peuples supérieurs ni peuples inférieurs, pas plus qu’on ne peut dire,
en parlant des agrumes, que les kumquats sont supérieurs aux pomelos, qui eux-mêmes
le sont mandarines, qui elles-mêmes le sont aux citrons, etc., etc., etc.
Chaque variété (resp. peuple) est le produit de sa propre
histoire qui est unique tant dans son développement que dans ses toutes les
conséquences qui se déroulent au fil du temps. Et quand les vicissitudes de l’histoire
vous ont conduit dans une clairière proche d’un affluent de l’Amazone, vous
avez la vie qui est celle qu’impose, ou permet, votre environnement, et tous
les peuples du monde sont à la même enseigne
Dans cette optique, je n’accorde aucune importance raciale à l’individu isolé, même si je considère que
globalement, les étrangers en général et les allogènes en particulier sont une
calamité pour un pays. Ils y introduisent des facteurs de division d’une
violence sans équivalent parmi la population de souche ou assimilée de souche.
Je précise quand même que si on me chargeait d’édifier une
immense cité au milieu d’un désert, j’embaucherais 1000 ingénieurs et
techniciens suisses, 50’000 Allemands de différentes spécialités, 50’000 Italiens
du Nord, de tous les corps de métier du bâtiment, et 25 Grecs joueurs de
bouzouki.
« Pouvait-elle se servir des cafards que vous prenez
plaisir à écraser ? »
Je n’ai pas pensé à lui demander si, chez eux, ils les
bouffent - vous voyez, je ne suis pas si prévenant que ça, malgré ce que je
dis. Vu leur épaisseur, elle pourrait les rouler autour d’une farce
« Voyez
vous, moi plus je vous lis plus je vous trouve dangereux d’autant que vous
prenez plaisir à le faire comprendre. »
Vous avez raison. Je n’ai rien à ajouter à ça. En matière de
dangerosité face à mes ennemis et aux envahisseurs, je ne parviens pas à me
distinguer une limite.
Alors, je ne sais pas si vous êtes une très fin psychologue,
ou si vous avez mis le doigt dessus par hasard, mais dans la première hypothèse,
mes sincères compliments. Même des professionnel(le)s qui m’ont suivi après un
choc traumatique accidentel, n’y ont rien vu.