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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 20 février 09:55

    @Maître Yoda

    je vous ait déjà donné mon point de vue, mais soit vous ne lisez pas, soit vous oubliez tout aussitôt que vous l’avez lu.

    La nation ou une multinationale sont des outils, pas des êtres pensants, c’est totalement absurde (pour ne pas dire idiot) et tout l’art de la manipulation est d’arriver à vous le faire gober.

    Si je vous tape avec un marteau et que je vous explique que c’est la faute au marteau, vous me croirez pas, pourtant, vous en êtes totalement convaincu pour ce qui concerne la multinationale ou la nation, qui sont des outils et non des êtres, donc, dont l’usage dépend uniquement de ceux qui en ont le contrôle. Un outil n’est ni bon ni mauvais en soi, ce sont ceux qui en ont l’usage.

    Autrement dit, tant que vous confondrez l’outil et la main qui le tient, désolé, mais vous persistez à jouer les idiots utiles.

    En tous les cas, vous avez présenté aucun contre argument, non, vous restez figez dans votre dogme, votre croyance absurde que la nation est le cadre qui vous protège alors que depuis toujours c’est celui qui sert à provoquer les pires guerres et destructions lorsque jugé nécessaire par ce « petit nombre qui fait travailler le grand, est nourrit par lui et le gouverne » (Voltaire).

    Et comme je vous l’ai maintes fois dit sans que vous ayez jamais porté de réfutation, la guerre ou menace de guerre est la condition absolue pour tout prédateur humain afin de justifier et ainsi obtenir la soumission volontaire des citoyens et interdire toute opposition intérieure. Accepter de travailler comme un forçat et se sacrifier au seul profit réel de ceux qu’Anatole France disait dans sa phrase « on croit mourir pour sa patrie et on meurt pour les industriels ». Avant les industriels, c’était les nobles et aujourd’hui ceux qu’on appelle les oligarques ou les gros actionnaires des multinationales.

    Bref, le débat et clos et je n’ai donc plus rien à vous dire et vous invite à ne plus m’adresser la parole, c’est inutile.



  • Hervé Hum Hervé Hum 19 février 18:57

    @Maître Yoda

    J’ai déjà répondu et donné mes arguments par rapport a vos arguments.

    Le nationalisme est le terreau du capitalisme et ne peut atteindre que le stade de l’impérialisme, mais il faut toujours avoir au moins deux empires qui se font face. C’est ce que j’appelle la limite orwellienne.

    La contradiction dans votre propos que vous niez, c’est que Musk et Trump sont de pur capitalistes et pour eux, le capitalisme ne peut et ne doit donc pas dépasser le cadre de la nation. Ils sont donc des nationalistes parce qu’ils sont capitalistes.

    D’un point de vue purement logique, tous vos arguments s’effondrent de la même manière et comme vous ne le voyez pas, cela ne sert à rien de discuter, car cela signifie que votre imaginaire commande à votre analyse de la réalité.

    Donc, inutile de poursuivre, tout est déjà écrit.

    Pour finir, j’ai aussi écris qu’il est impossible de supprimer le principe capitaliste qui relève de la nature d’être prédatrice, mais que selon les conditions environnementales, le prédateur doit être domestiqué, apprivoisé et non plus exercer une prédation sans limite.

    La raison, Maître Yoda, est la seule voie pour s’adapter à l’évolution de son environnement en ce qui concerne les relations physiques.

    Rechercher l’équilibre économique ou poursuivre dans la voie actuelle ?

    Et cela peut se faire que dans la seule condition où les peuples des nations se soumettent à un même ordre qu’est la charte des droits humains, corrigé du biais de la propriété privé, parce que la nation est le cadre premier des communautés humaines (dans leurs relations) et l’individu, le cadre premier à l’intérieur de chaque communauté (toujours dans leurs relations).

    Sans cela, c’est impossible !

    Mon point de vue reposant sur le principe de causalité tel que je le connais et essai autant que possible de l’appliquer et où il faut l’invalider sur le plan logique pour le réfuter sur ce même plan.

    L’IA, sur le plan logique n’y voit pas de contradiction, mais peut être vous ?



  • Hervé Hum Hervé Hum 19 février 14:19

    @Maître Yoda

    Je connais de « l’ampleur de votre compréhension » que ce que vous en dites ici même, tout comme pour moi d’ailleurs.

    Autrement dit, c’est le débat et la qualité des arguments qui détermine qui dit le plus ou le moins de conneries.

    Personnellement, je donne toujours l’argument pour traiter quelqu’un d’idiot sans cela, c’est effectivement une simple réaction stupide.

    Ainsi, vos commentaires ignorent le plus souvent mes arguments pour en retenir que la sentence. Ce qui vous permet de ne pas répondre.

    Je vous ait montré que Musk n’a que faire de lutter contre le gaspillage en lui même, mais uniquement de cibler certains gaspillages pour mieux faire passer celui qui sert ses propres intérêts. C’est tout l’art de la manipulation et je vous ait invité a vous interroger sur le fait de votre propre inclinaison à vous laisser aussi facilement manipuler par l’apparence. De mon point de vue, c’est le propre de l’idiot utile.

    Le gaspillage selon Trump et Musk, c’est pour beaucoup tout ce qui concerne l’aide aux classes travailleuses et tout ce qui consiste à réduire les impôts des riches est vu comme de l’argent utilie.

    Mais vous pouvez ne pas être d’accord et me donner vos arguments qui invalides les miens.

    Vous savez, on peut trouver que Hitler aussi en son temps faisait de bonne chose sur le plan économique, mais pour quelle finalité ?



  • Hervé Hum Hervé Hum 19 février 10:43

    @Réflexions du Miroir

    J’ai écouté le podcast, bon, de mon point de vue c’est trop simpliste, car il faut définir le bien et donc, de savoir s’il est possible de lui donner une définition universelle, car si on ne peut pas lui donner une définition universelle, alors, c’est qu’il existe que des définition particulières. Le bien ici peut alors être vu comme le mal ailleurs et la distinction entre mal extrême et radicalité ne tient plus.

    Ainsi, la charte universelle des droits humains prétend donner cette définition universelle du bien, pour autant, elle est mise en application par aucun dirigeant dès lors où ses intérêts sont contraire.

    Pour que la charte s’impose en tant qu’universalité de ce qu’est le bien face au mal, cela ne peut pas reposer sur un dirigeant quelconque, fut il honnête et épris de justice, mais sur les citoyens eux même.

    Le cas de Eichman est celui de la nature d’être opportuniste qui ne se pose pas ou plus la question morale, mais de l’intérêt qu’il trouve.

    En fait, on peut appliquer la même logique avec l’IA, c’est à dire, où il faut observer la relation causale entre la conscience et l’intelligence. La première porte sur le sens de l’action, tandis que l’intelligence porte sur la capacité d’action.

    Or, dès l’instant où vous cessez de vous interroger sur le sens de l’action pour vous limiter à la capacité d’action, alors, vous acceptez de vous réduire à votre fonction en tant qu’outil pour celui qui détient la conscience et donc, guide l’action. Pour l’IA, pas de problème, mais pour l’humain, celui-ci peut se décharger de sa conscience que s’il agit à un niveau où il n’a pas de pouvoir hiérarchique décisionnel au niveau supérieur, donc, en tant que cadre dirigeant.

    Car l’intelligence seule ne peut pas produire d’action, il faut obligatoirement lui donner un sens, donc, une conscience.



  • Hervé Hum Hervé Hum 19 février 10:15

    @Réflexions du Miroir

    merci. Je vous renvoi l’ascenseur, car ce que vous écrivez sure l’élite est exact.

    Il y aura toujours une élite, quel que soit le modèle, la différence repose sur la manière dont elle est constituée. Par le mérite personnel ou par l’exploitation du mérite personnel d’autrui, là est toute la différence.

    Dans une communauté, il y a toujours la reconnaissance de celui ou celle qui ont su apporter à la communauté un valeur ajouté pour répondre aux besoins, mais cela ne saurait en faire un roi, seulement un sage don la voix est écoutée mais en aucun cas vénérée, car alors, on passe de la reconnaissance du mérite personnel à la reconnaissance de l’exploitation du mérite.

    La personne cesse d’être alors intégré dans la société, mais se place au dessus d’elle. On passe d’un rapport d’équilibre au rapport de domination.

    Et seul l’état d’urgence ou de guerre justifie de s’en remettre à un chef de guerre pour lequel on abandonne pour le temps de la guerre le principe d’équilibre et du débat pour celui d’obéissance et l’absence de débat,

    Les capitalistes utilisent la nature sauvage pour justifier leur domination, arguant que c’est la compétition qui gouverne, ce qui est factuellement faux, car dans la nature, la compétition seule n’aurait pas permise à la vie de se développer et elle n’existerait tout simplement pas. Il faut autant la compétition que la coopération où il faut alors étudier leur relation causale. C’est à dire, de savoir quand la coopération doit être l’ordre premier, directeur face à la concurrence ou bien le contraire. C’est à dire, entre un environnement ouvert ou fermé.

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