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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

Tableau de bord

  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 février 11:38

    @Luniterre

    d’’accord, vous n’êtes pas là pour débattre, mais pour faire du monologue.

    Votre seul argument est « pathétique », ce qui effectivement est « pathétique ». Pour l’excuse, je vous l’a retourne !

    Je vous l’ai dit, vous ne m’apprenez rien et tout ce que j’ai lu dans votre article traite spécifiquement de l’élargissement du capital fixe des propriétaires entre eux.

    Si mon utopie est de penser qu’on peut changer de modèle socio-économique car tous les instruments, outils sont déjà en place, votre utopie est de penser qu’on peut réformer ou aménager le capitalisme bourgeois.

    Ce n’est pas possible, soit l’économie est refondée sur une autre base éthique, soit l’oligarchie, quelle soit nationaliste ou impérialiste, finira son travail de destruction de la population quelle juge obsolète pour elle même, car pour eux, seul le propriétaire économique consomme et a des droits, les autres ont surtout les devoirs et si la machine se substitue aux travailleurs humains, c’est que ce dernier est devenue obsolète et surtout de par sa nature humaine, représente une menace constante qui doit être éliminée.

    Reste juste à trouver les moyens adéquats !



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 février 09:46

    @Luniterre

    Je suis allé lire, enfin, la première moitié de votre article « le Roi capital est mort... » mis en lien plus haut.

    Il se trouve que vous parlez bel et bien des « propriétaires entre eux ». De mon point de vue, une entreprise comme une multinationale ou une PME, sont des outils et non des personnes. Autrement dit, l’astuce ou l’arnaque de la bourgeoisie actuelle est d’avoir permis aux classes moyennes d’accéder à une petite rente, de telle sorte qu’il tend à défendre les intérêts de la rente contre le travail. Donc, contre lui même.

    Peu m’importe l’évolution du capital productif vers la financiarisation, car il s’agit d’une évolution de forme, mais pas de fond, le rapport de classe reste inchangé, si ce n’est que le capitaine d’industrie est devenu un salarié dont il sépare la partie financière via l’actionnariat.

    Bref, votre article ne m’apprend rien sur les mécanismes que vous rappelez, si ce n’est que vous parlez bel et bien des « propriétaires entre eux ».

    A ce que je sache, les grands forums comme Davos ou les réunions des dirigeants comme le G7, concernent essentiellement ’les propriétaires entre eux« et de savoir comment contrôler la plèbe et ses désirs de »pouvoir de consommation" dans un monde multipolaire, c’est à dire, avec des différences de rémunération salariales à travail égal qui tend naturellement à s’estomper. Vous savez, la fameuse loi d’entropie !.



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 février 09:25

    @Luniterre

    Question réécrire pour pouvoir interpréter à sa guise les propos de l’autre, vous êtes vous même très fort à ce jeu là.

    De mon point de vue, ce qui est pathétique, c’est votre obstination à ignorer ce que j’écris et dans ce cas là, il n’y évidemment aucun débat possible. Car vous réduisez depuis trois posts tout ce que j’écris à une forme d’invective sur une phrase qui sert surtout à ne rien répondre.

    Alors je ne sais pas ce qui pour vous sont les bases élémentaires de l’élargissement du capital. C’est une belle phrase, j’en conviens, mais cela ne dit rien de ce que vous y mettez dedans.

    Un lien peut être que j’aille y voir ? Parce que je veux bien admettre me tromper, mais encore faut il me le démontrer et pour l’instant, je ne sais pas ce que vous entendez par les bases élémentaires de l’élargissement du capital ?



  • Hervé Hum Hervé Hum 5 février 15:54

    @Luniterre

    Vous, vous n’avez toujours pas compris que je ne raisonne pas sur la base du système actuel, mais sur la base du système que je soutiens et qui rend absurde votre remarque.

    L’outil de production étant collectivisé pour tout ce qui se fait et s’échange en commun, j’en ait rien à foutre de votre « élargissement du capital industriel des propriétaires entre eux » puisqu’ils perdent le droit de propriété qui est le devoir de non propriété des autres, pour établir une économie basé sur la recherche d’équilibre entre droits et devoirs et qui est de mon point de vue la définition de la responsabilité .

    ainsi, toute production robotisé qui ne fait pas entrer de travail humain, réduit d’autant le coût et donc le prix de vente du bien produit. Cela ne change pas, mais ce qui change, c’est que le profit en terme de gain de productivité est mutualisé.

    toutefois, vous pouvez bien disposer des moyens de production automatisé, reste toujours la disponibilité de la ressource et gestion des matières 1ères. Ce qui pose alors ses propres conditions de gestion d’accès et donc, impacte le prix de vente. Malheureusement, reste à inventer le moyen de production infinie sans contraintes, sans conséquences désastreuses.

    Le fait est que seul le temps de vie humain à de la valeur monétaire et le but de la majorité des humains n’étant pas de faire la guerre à son ou ses voisins, mais de vivre en paix relationnelles et qui implique des lois les plus équitables possibles. De mettre la coopération devant la compétition et de tirer son intérêt, profit particulier via son utilité à l’accomplissement de la volonté générale. Mais en tenant toujours compte des effets d’échelles liées aux conditions locales.

    Ainsi, si vous décrétez collectivement que la première mission de la production est de satisfaire les besoins primaires de toute la collectivité, c’est que vous pouvez passer aux besoins dits secondaires une fois la mission première accomplie. Alors, les productions se font en parallèle, mais c’est la seconde qui sert de variable d’ajustement lorsque nécessaire.

    Mais cela peut fonctionner que sous condition de transparence totale du système dans tout son processus de production et d’investissement et non sur la manipulation.

    Tous les outils nécessaires à la mise en oeuvre d’un tel système existent déjà, mais pas la conscience collective, or, c’est la conscience qui décide !



  • Hervé Hum Hervé Hum 5 février 14:00

    @Luniterre

    Ce ne serait pas plutôt l’inverse... ?

    Si vous avez compris ce que veut dire pour moi une dette systémique, c’est dans le bon sens. Si vous avez de l’argent en poche, vous disposez de la créance monétaire, si vous n’en disposez pas, vous détenez la dette. Alors évidemment, il est absurde de comparer un milliardaire qui vent toujours plus de milliards et une population qui a comme seul héritage que sa force de travail et qui le met en dette permanente. Mais encore une fois, le principe d’équilibre met en relation duale la créance ou droits de temps de vie d’autrui dédié à sa volonté et dette ou temps de vie à dédier à autrui et où ne pas pouvoir échanger de manière équitable implique de subir la dette dans ses effets de non droits.

    pour l’article, je me souviens plus.. Disons que j’ai rien écris.

    Quand au renouvellement du capital fixe, il se calcule aussi en terme de temps de vie dédié, nécessaire à son renouvellement. La question du capital fixe en terme de moyens de production est alors de savoir qui et comment se décide sa création, son développement, maintien et obsolescence.

    Les critères important ne changent guère, comme la création d’une production où l’offre rencontre la demande. La recherche de gain de productivité qui peut précipiter un renouvellement. Le critère d’économie de moyens peut aussi entrainer de faire durer plus longtemps des outils pour une production qui n’évolue pas ou très lentement et dont il s’agit alors de maintenir l’outil. Etc...

    Mais tout se calcule en terme de capital humain et matériel disponible à l’instant t et pour une durée définie et qu’on appelle planification. Après, une planification obéit aussi au principe d’entropie, si elle définie le point d’équilibre à rechercher, c’est toujours un équilibre qui oscille entre dissipation et apport d’énergie pour compenser cette dissipation.

    Cependant, tout cela ne repose plus sur la propriété privé, mais sur la responsabilité personnelle et collective.

    Mais dès lors où vous avez une demande collective, vous trouverez toujours le capital humain pour répondre à cette demande en terme de temps de vie dédié. Qui devra toujours être validé par les capacités et les contraintes définies, comme l’environnement, selon ce qu’on veut préserver ou non.

    On est ici dans la généralité, mais évidemment, dès qu’on fait entrer les différentes échelles, cela implique une organisation en rapport à la réalité de ces échelles. Dû au mode de production fondé sur la division du travail.

    Ainsi, les usines sont concentrés dans des lieux et non pas répartie partout de manière équilibré.


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