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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 19:42

    @Hervé Hum

    erratum,

    De mon point de vue, le nivellement de salaire (à travail et condition environnementale équivalentes) est normal, seulement pour l’élite prédatrice il faut garder le contrôle de son propre cheptel avant toute chose et c’est le cadre national qui divise les végétariens économiques et permet de les faire s’entretuer à son propre profit. Le cadre ultime étant l’impérialisme avec ce que j’appelle la limite orwellienne avec au moins deux empires se faisant face.

    Mais l’interdit pour toute cette intelligentsia, c’est la mondialisation socio-économique. Donc, où l’économie sert les citoyens via l’échange équitable sans impôts privés, mais seulement public. Ceci, parce que la première des choses qui soit imposée dans une société, c’est le respect de la loi et qui est stabilisée à la condition absolue de s’y soumettre volontairement, par adhésion.

    Et de mon point de vue, il y a que l’équité qui puisse satisfaire cette condition.



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 19:26

    @Eric F

    Désolé de ne pas m’apitoyer sur son sort très enviable.

    La dureté s’explique aussi par ses propre réquisitoires à l’encontre des magistrats, qu’elle trouve elle même trop clémente envers les uns et trop dure envers elle même.

    La logique veut qu’une personne dont la preuve de la culpabilité a été démontrée s’obstine à nier les faits et inverse l’accusation soit punit au maximum, mais là encore, elle échappe à la peine maximale, la case prison. Parce que le port du bracelet, ce n’est pas la prison.

    Bref, le cadre de liberté donné aux juges consiste à faire varier la peine selon que la balance penche vers la sévérité ou la mansuétude, le premier critère étant de reconnaître les faits établis.

    Quant à « l’intelligentsia », le problème est que de mon point de vue, elle en fait partie intégrante et qu’un parti qui dépend de son chef, est un parti de dictature par définition.

    Ce qu’on peut observer chez les LFI, dont on peut ironiser sur un parti où ses membres se disant « insoumis », voit le chef en appeler à une forme de soumission de ces mêmes membres !

    Le nom du parti étant en soi absurde, puisque dans le cas où ils « prendraient » le pouvoir, devraient se soumettre à eux même. Et finalement, révèleraient que l’insoumission vaut uniquement pour le chef et sa clique, pas vraiment pour les autres.

    Mais sauf pour les idiots, les votes à l’assemblée nationale suffisent à prouver que le parti de Marine le Pen fait partie de l’intelligentsia. Tout comme Trump aux USA, car derrière tout cela se cache le fait d’un nivellement généralisé des salaires au niveau planétaire, que ce soit via le nationalisme ou via l’impérialisme, les deux mènent à la même conséquence. C’est donc un jeu de ping-pong où les deux joueurs sont les gagnants !

    Mais pour le montrer, cela dépasse le cadre de cet article...



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 18:16

    @Octave Lebel

    En conclusion, la transparence de l’information de la décision politique et donc de sa motivation est le baromètre de la démocratie, plus elle est haute, plus la démocratie est vraie et plus elle est basse et moins elle l’est.

    En démocratie, la transparence est donc à double sens, de la gouvernance au citoyen et du citoyen à la gouvernance. Si la transparence est à sens unique, alors, il s’agit d’une dictature qui provient soit de ceux qui ont le contrôle direct de l’appareil d’état, soit de ceux qui ont le contrôle de ceux qui contrôlent l’appareil d’état.

    Le sens du citoyen en tant que valeur universelle étant l’expression de la démocratie, implique de facto la transparence à double sens. Ce n’est donc que celui qui sort de la valeur universelle du citoyen qui interdit la transparence à double sens en ce qui le concerne lui et ses sbires ou associés.

    En démocratie, il n’existe aucun secret d’Etat quel qu’il soit, car le seul motif étant la guerre, implique de facto de sortir de la démocratie pour celui de la dictature, car toute guerre impose de désigner un chef de guerre pour combattre l’ennemi auquel if faut cacher ses plans de guerres, savoir utiliser la désinformation pour tromper l’ennemi.

    Voilà pourquoi la guerre et l’état d’urgence sont une nécessité de tout prédateur qui veut dominer une communauté réduite à un cheptel, car c’est l’unique justification pour obtenir la soumission volontaire et l’interdiction d’opposition intérieure.



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 18:04

    @Hervé Hum

    dites, vous croyez me faire prendre des vessies pour des lanternes ?

    Ce que vous écrivez revient à condamner verbalement, mais pas physiquement, c’est ce qu’on appelle une « remontrance » comme jugement d’un acte qui implique une condamnation minimale en respect de ce qu’autorise la loi et en considération des circonstances soit aggravantes, soit atténuantes

    Alors, les peines sont elles plutôt coté minimalistes ou bien maximalistes ?

    De mon point de vue, elle sont plutôt minimaliste au regard des faits reprochés et retenus et enfin, face au déni de Marine le Pen à reconnaître la gravité des faits, tout en étant considérée comme le centre de gravité des détournements et qui lui sont personnellement profitable.

    Car elle n’ira pas en prison, comme les autres !

    Alors vous pouvez toujours pointer du doigt les petits copains qui savent mieux éviter de se faire prendre, tel Bayrou au bénéfice de l’absence de preuve formelle comme donneur d’ordre et du fait qu’il est du coté du pouvoir exécutif en place, mais dans le cas présent, elle s’est faites prendre la main dans le sac et dit que c’était normal et s’indigne d’être condamnée.

    Pour finir, la démocratie ne consiste pas à suivre un chef car c’est la définition de la dictature, mais de suivre un idéal où il ne s’agit donc pas d’élire un chef, mais un exécutant, d’où le terme de pouvoir exécutif de la volonté générale et non du pouvoir exécutif de la volonté particulière du chef. Car la volonté générale est dans tous les pays (sans manipulation par une élite prédatrice) la même, vivre du fruit de son propre travail sans être volé ou voler celui d’autrui à son profit, pour garantir au mieux de vivre en paix relationnelles avec ses voisins au sein de sa famille, quelle que soit sa forme.



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 12:52

    @Bernard Mitjavile

    Visiblement, vous ne voyez pas l’énormité de votre raisonnement.

    Dans le cadre de l’affaire urba, l’autoamnistie va passer par le cadre légal de la loi où donc il aurait suffit au parti de Marine Le Pen d’avoir la majorité parlementaire pour faire de même.

    Mais dans les deux cas, le principe de la séparation des pouvoirs implique que ce n’est pas aux juges de décider de l’amnistie, car cela relève de l’arbitraire, en l’occurrence, de ceux qui décident de la loi et non de ceux qui sont chargés de l’appliquer.

    Car dans l’affaire urba, vous oubliez que la cour de cassation avait donné raison au juge qui avait perquisitionné et saisie les documents qui vont donner lieu à la condamnation de Herni Emmanuelli.

    Condamnation à minima en raison précisément de l’influence du politique sur les magistrats.

    Autrement dit, sauf à être idiot ou malhonnête, le cas urba au niveau de l’amnistie ne s’applique pas au cas Le Pen. Ce qui s’y applique, c’est précisément l’obligation des magistrats de devoir appliquer la loi à minima.

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