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Boogie_Five

Boogie_Five

Conseiller dans un établissement public, formé aux sciences sociales. Habitant en région parisienne. 

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  • Premier article le 15/11/2014
  • Modérateur depuis le 06/03/2015
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Derniers commentaires



  • Boogie_Five Boogie_Five 18 novembre 2014 12:39

    On n’en parle assez souvent de cela, mais j’ai pu remarqué aussi que l’état d’esprit du magouilleur, vu finalement comme « débrouillard », est privilégié à un état d’esprit civique et fraternel. 


    Même moi je me suis fait déjà avoir, dans mes amitiés, par des individus qui ont un tel comportement déviant et criminogène. J’ai une explication au succès de ce comportement :

    - Le criminel est aussi une victime, qui porte sa souffrance et peut l’exploiter habilement pour toucher les autres. Il est assez difficile de reconnaître le vrai du faux et ça touche chacun de nous profondément dans les valeurs essentielles : la sympathie, l’amour du prochain, la justice sociale, etc. 

    - Le rôle que la société donne à l’agressivité de manière générale : dans une économie où la concurrence fait loi, les comportements violents dans les sociétés commerçantes sont survalorisés. En fait, il n’y a que la violence des petits délinquants qui gêne, mais les grands criminels sont héroïsés, iconographiés comme porteurs de certaines valeurs - le courage, la justice primitive, la vengeance et l’incarnation du tragique. A ce propos il est assez drôle qu’il y a aussi une lutte des classes chez les criminels, les petits mafieux peuvent critiquer les grands chefs et cherchent à se rapprocher de la population. 


  • Boogie_Five Boogie_Five 18 novembre 2014 12:12

    La régulation peut se réaliser au niveau mondial, l’économie française s’est rendue trop dépendante des marchés extérieurs pour faire de la régulation au niveau national. Le débat n’est pas seulement entre les partis de gouvernement (ps, ump) et la gauche de la gauche (verts, npa, pc, pg), tu oublies un peu vite le Front national, qui propose aussi une autre sorte de régulation - la fermeture des frontières, donc le protectionnisme, est une forme de régulation. 


    La question est : pourquoi la gauche radicale ne prend pas dans le pays ? 

    - Le problème de cette gauche est que son discours et ses actes ont été trop liés aux institutions, notamment dans l’éducation nationale et dans les mouvements associatifs, et donc la population n’arrive pas à bien voir les différences dans la pratique du pouvoir. Manque de visibilité et d’auto-analyse, donc, qui sème la confusion - le cas du parti communiste dans les élections municipales est très éclairant sur ce point. Les représentants de ce mouvement sont perçus comme des personnes somme toute aisées, profitant du système et le défendant d’une certaine façon. 

    - En plus de cette raison sociologique, le problème du renouveau idéologique et du langage : il manque à cette gauche radicale une base théorique d’ensemble qui met de la cohérence dans son discours. Cette gauche institutionnelle a un discours attrape-tout un peu conservateur (que les autres partis font aussi, c’est vrai), mais en définitive ne pose pas de véritables choix de société, ni de vision claire de la société française. Son discours est un peu : à part les facistes et les grands patrons, tout le monde est gentil et il faut un peu de bonne volonté pour appliquer une politique de gauche. Quelque part, ils ne sont pas assez radicaux et populistes dans leurs façons de dire et de faire, alors qu’aujourd’hui c’est la surenchère à la destruction qui marche et frappe les foules. D’où les succès du Front national. 


  • Boogie_Five Boogie_Five 18 novembre 2014 11:40

    Fifi 


    Il faut se ressembler, c’est le message que je voulais faire passer. Je ne connais pas l’UPR, mais je préfére agir dans un mouvement citoyen, le peuple n’a pas besoin de parti. Vous vous rendez compte si déjà tous les désabusés de la politique institutionnelle se rassemblaient pour faire une force de frappe sociale, économique et électorale - il y a une possibilité de rassembler au bas mot 10 millions de citoyens (en âge de voter). 

    En ce sens, ce serait bien de parler de vive voix et d’organisez des rendez-vous pour s’organiser, soit en se rattachant à des mouvements sociaux qui existent déjà, soit en fondant un nouveau mouvement sur lequel tous ceux qui sont là se mettent d’accord sur la forme d’organisation que celui prendrait. 

    Car internet ne suffit pas, il faut matérialiser cette opinion sur la place publique, la rendre vivante, chaleureuse et fraternelle. 


  • Boogie_Five Boogie_Five 17 novembre 2014 17:59
    Euh... Je n’ai pas beaucoup entendu dire dans les médias qu’untel ou untel se fiche de ces problèmes, le chômage par exemple. Peut être pendant la présidence de Sarkozy. Mais aujourd’hui ils évitent de faire des aussi grosses gaffes. 

    Mais mon cher, c’est une réalité qu’un certain nombre de citoyens se fichent du problème du chômage, sinon ils ne voteraient pas pour des partis politiques qui en portent la responsabilité depuis plus de quarante ans. Ceux-là votent pour leur propre intérêt, et sont aussi d’accord avec que disent les médias qui relaient beaucoup la pensée de ces majorités politiques. Pour autant, faut-il le nier et faire comme si ça n’existe pas ? Je ne crois pas, ne serait-ce que pour se repérer dans le champ social : nous savons ainsi sur qui il faut compter et sur qui il ne faut pas compter. c’est juste de l’information, pas une opinion politique. Sinon, bien sûr, moi je suis pour un autre discours ! Et pour construire ce nouveau discours, et bien il est nécessaire de décortiquer les discours des uns et des autres, pour qu’il soit solide, inflexible et efficace. 




  • Boogie_Five Boogie_Five 17 novembre 2014 17:30

    Mais à quelle époque tu vis ? Plus personne n’y croit à ça. Même Pierre Gattaz n’ose plus sortir cette ânerie ! 

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