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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • easy easy 13 octobre 2008 00:22

    Quelque part plus haut, quelqu’un s’est étonné ou offusqué qu’un article de son cru, publié sur différents sites, s’est vu approprié par Wikipédia qui réclame dessus des droits d’auteur (ou en tous cas de propriété)

    Et bien de mon côté j’ai constaté que cette appropriation de nos livraisons était pratiquée par quasiment tous les sites.

    Sur bien des sites, votre présence, votre activité (par exemple forumique) profitera au webmaster en terme d’animation, de fréquentation et donc de revenus publicitaires ; vous serez censuré ; vous pourriez être banni mais en aucun cas vous ne pourriez récupérer vos petites affaires (par exemple en effaçant ou en rééditant blanc, car pas de fonction réédit ou limitée dans le temps)

    Généralement, les sites se réservent le droit de poursuivre tout intervenant qui dérogerait à leur charte mais affirment aussi leur droit de propriété sur tous les écrits.

    Il est vrai que si un auteur retire ses interventions dans une file où il a été très actif, ça laisse des trous qui rendent le thread incompréhensible. N’empêche que sur la base de ce bel argument, les sites profitent de nos millions de dons et se les approprient.

    Agora Vox n’y fait pas exception.





  • easy easy 12 octobre 2008 20:23

    Et à partir de là, les photos ne sont plus jamais des éléments susceptibles de servir la cause du "cow-boy ou celle de l’ "indien" ?

    Le noir n’est pas le rouge, n’em !pêche que l’argumentation selon laquelle il peut être considéré comme le contraire du blanc n’en reste pas moins valable.

    Les photos ne sont que des reproductions de l’image d’une chose (et je n’ai dit autre chose que dans ta tête) ce qui n’empêche qu’elles sont pertinentes, plus fiables que bien des bla-bla et peuvent servir d’argument ou de preuve (à charge comme à décharge)



  • easy easy 12 octobre 2008 01:22

    Tout vient d’être dit par les précédents intervenants sur le fond du sujet évoqué.
    Comme tous, je suis révolté. Moi aussi j’aurais bien tenté le coup d’aller y prendre des photos de manière très ostensible pour me battre contre cette interdiction.

    Mais hormis l’aspect "droit à l’image" qui a déjà été bien discuté ici, ce qu’il est possible d’ajouter c’est que pour mille et une raison, celui qui tient un appareil de capture d’image peut représenter une menace. Menace pour qui ? En principe uniquement pour celui qui crée ou qui gère ou qui est responsable du sujet dont l’image est capturée.

    Ainsi, même un directeur de collège, même un directeur de piscine, même un patron de bar ou de tabac, peut voir une menace en toute personne saisissant des images de son précieux.

    Essayez pour voir et vous ne serez pas déçus.
    Essayez de prendre en photo n’importe quoi (en ciment, en fer, en fleur ; en viande, en chemise ou à poil) sous les yeux de la personne (physique ou morale) qui en a la charge, la garde, la propriété et vous verrez que vous l’irriterez.





    L’appareil de capture d’image, peut être une arme.

    L’image capturée, ça a été des millions de fois prouvé, peut servir à nuire.
    De mille et une manières.
    Si l’on est dictateur, alors les images saisies par quelque espion dans nos salles de torture posent problème
    Si l’on est propriétaire d’une maison alors les images saisies de notre bien peuvent servir à préparer un cambriolage
    Si l’on est proprétaire de voiture alors les images de notre caisse peuvent servir à nous impliquer dans un accident.
    Si l’on est pris en photo devant la tour Eiffel en compagnie d’une autre personne alors ces images pourraient servir à un détective privé cherchant les preuves d’adultère

    Etc.




    Soyons de bonne foi

    En somme, un appareil de capture d’image peut aussi devenir une arme (avec différents degrés de nuisance) contre des "indiens" ou contre des "cow-boys" et il est étonnant que personne ici ne l’ait rappelé.

    Nous savons tous que les intentions d’un paparazzi équipé (devrais-je dire "armé" pour mieux enfoncer le clou ?) d’un méga téléobjectif sont contraires aux intérêts du sujet qu’il va capturer. Alors nous devons reconnaître que le fait de se promener équipé d’un outil qui fait penser aux grands prédateurs d’image tout en exigeant des "gardiens" qu’ils n’y voient aucune mauvaise intention est au minimum provocateur ou égocentrique.

    Est-il vraiment honnête ou empathique de se promener parmi des biches avec un fusil et d’exiger d’elles qu’elles nous considèrent comme non dangereux ?





    Gros calibre / Petit calibre.

    Si rares étaient les personnes équipées d’appareil photo, alors un gus photographiant même avec un petit appareil serait suspect aux yeux des gardiens. Or les personnes se promenant partout avec des appareils photo de petite taille sont innombrables. Comme cette énorme masse c’est nous-mêmes, comme cette énorme masse ne semble pas être celle qui fait de méchantes choses, nous tolérons que des gens en bermudas prennent des photos avec leur petit appareil.

    Se fera singulièrement et très négativement remarquer par les gardiens du temple, celui qui se pointera avec du gros matériel ; celui qui semblera -en raison de son gros investissement en matos- attendre beaucoup de chose de ses prises.
    Il va donc de soi que, pour rassurer ls gardiens, les "méchants" éventuels se débrouilleront avec de "petits" appareils très performants, porteront des tongues et se feront prendre en photos en bande de rigolards devant leur grave cible.

    Mais gentil ou méchant, il suffit d’exhiber un gros calibre pour éveiller la méfiance. Est-ce illogique ?



    BNF bien public

    La BNF a beau être un bien public, il y a un certain nombre de personnes qui sont responsables au premier rang des misères qui pourraient lui arriver. Et il n’est pas anormal qu’elles crisent quand elles voient des gens capturer des images de cette chose dont elles ont à répondre.

    Il est donc tout à fait normal que les responsables d’un site (forêt, mer, iceberg, piste de ski, ponton, gare...) aient des craintes devant des photographes et il est tout à fait normal que chacun de nous se batte pour préserver la liberté des honnêtes gens de capturer les images qui les inspirent (sans dégradation ni usure de la chose photographiée)

    Mais comment vérifier l’intention des photographes, leur sincérité ?
    C’est impossible n’est-ce pas ?
    Et puis la bonne intention d’un Palestinien est-elle bonne aux yeux d’un Israélien ?
    La bonne intention d’un militant de Green Peace est-elle bonne aux yeux de Total ?




    Saine bataille

    Alors on interdit. Et interdisant, on réduit davantage notre espace de liberté.
    Du coup nous nous révoltons car nous avons le devoir de nous révolter simplement pour dire, pour énoncer que des photographes animés de bonnes et loyales intentions existent (même si on ne sait qui ils sont, d’où ils sortent et où ils vont) et ces honnêtes gens revendiquent le droit de photographier (ou dessiner ou peindre ou sculpter) ce qui les inspire.

    Cette bataille entre sédentaires et nomades est saine et normale.

    La situation ne deviendra vraiment grave que le jour où même les batailles les plus logiques seront interdites.




  • easy easy 11 octobre 2008 13:09

    Bonjour Michel,

    Ton article est probablement intéressant mais quand je vois qu’il y est question d’argent, que tu y cites des montants importants et que tu argumentes aussi bien de "milliard" 1 000 000 000 selon l’échelle longue chère à la majorité du Monde, que de "trillion" qu’il faut probablement comprendre 1 000 000 000 000 selon l’échelle courte anglo-saxonne (et non 1 000 000 000 000 000 000 selon notre échelle longue), je fuis.

    Et je vois ce genre de légèreté rédactionnelle partout.
    Comme quoi on peut être plutôt bon visionnaire ou bon didacticien ou bon rhéteur tout en étant très approximatif ou très vague ou très faux sur les réalités.

    Surtout depuis un an, il doit bien y avoir dans les 100 000 000 d’individus qui, dans le Monde, émettent leur avis sur l’état ou les maux ou les remèdes de notre système. Et chacun de resservir des chiffres glanés ici et là dans l’énorme marmite babélienne, avec davantage d’intérêt pour leur aspect fascinant que pour leur exactitude.

    Comment pouvons-nous tirer quelque lumière d’un tel foutoir ?

    Je remarque aussi que dans tous ces articles disons économistes, on cite des nombres énormes, mais jamais on n’y voit la moindre opération, la moindre proposition de calcul.
    A la limite, BHL écrirait lui aussi son avis sur l’économie mondiale, lui aussi nous jetterait des chiffres énormes mais ma main au feu que jamais il ne proposera le moindre calcul. Même pas une simple division. Trop peur de se tromper. (Sauf s’il me lit en ce défit car, piqué, il fera p’tet un ti effort contrariant)

    Alors ne parlons même pas de la règle de trois, qu’aucun politicien du monde n’ose jamais aborder. (J’ai remarqué qu’en Justice c’est pareil, on y cite souvent des chiffres mais on y fait rarement des opérations)

    Quoi qu’il en soit, on ne doit pas utiliser les mots billion, trillion... sans préciser dans laquelle des deux échelles on se situe.

    Voilà, mon intervention est exactement hors sujet, quoique...






  • easy easy 12 juillet 2008 21:08

    Et bien essayons de dissiper ton malaise.

    La guerre est une plaie, la paix est sa résolution.
    Or , pour parvenir à la paix, il faut forcément embrasser son ennemi d’hier. On peut tourner et retourner le problème dans tous les sens, la paix impose de se faire à nouveau confiance.
    Vouloir la paix, entreprendre la paix c’est forcément concevoir de pacifier avec l’ancien ennemi.

    Tout membre des FARC qui serait éventuellement admis en France, serait de ceux qui se seront résolus à cesser la lutte, à se diriger vers un compromis de paix (comme l’IRA autrefois, comme l’ETA demain peut-être)

    Un ex- FARC, réfugié en France ou ailleurs aura non seulement basculé vers le renoncement au radicalisme, mais aura même avancé vers le camp d’Ingrid (syndrome de Constantin ou de Stockholm inversé  ) Et cela en craignant des représailles de la part de tout radicaliste communiste, de quelque horizon que ce soit.

    Je vois donc très mal ce qui pourrait pousser un ex FARC réfugié en France à se replacer dans une galère pas possible en s’en prenant à une IB connue à la fois pour sa politique de la main tendue et pour ne menacer personne.










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