Il n’y a pas plus de « peak oil » que de beurre en broche :
La LIMITE PHYSIQUE des réserves d’hydrocarbures sur la planète est inconnue et le demeurera éternellement, car il est probable que les humains auront cessé de consommer les hydrocarbures pour produire de l’energie bien avant que cette limite, si cette limite a vraiment un sens, soit atteinte.
Quant à la consommation d’hydrocarbures comme matière première pour la fabrication de matières plastiques, par exemple, elle est, et demeurera, négligeable par rapport à cette limite inconnue, de toutes façons.
Par conséquent l’article de Larchey Wendling n’est qu’un tissu d’âneries monumentales, proférées par un militant politique qui défend ici on ne sait trop quels objectifs (bien qu’ils soient assez facile de les deviner).
Il s’agit donc d’un article de désinformation.
Les seules limites que connaissent les réserves pétrolières sont des limites économiques, et non physiques, basées sur une estimation à la louche des réserves DECOUVERTES et qui pourraient être mise en EXPLOITATION de FACON RENTABLE, au prix de vente actuel du pétrole.
Autrement dit, ces réserves « économiques » augmentent mécaniquement avec l’augmentation du prix du barril, car l’augmentation du prix du barril rentabilise des réserves qui ne l’étaient pas auparavant et stimule la recherche de nouvelles réserves.
C’est la raison pour laquelle les compagnie se préparent à exploiter les réserves qu’elles ont déjà repéré dans le Grand Nord, ou les gisement bitumineux à forte viscosité, ou les pétroles des grands fonds marins.
Quant au Moyen-Orient, il produira toujours un pétrole de bonne qualité, à un coût très faible. La part de la production du Moyen-Orient déclinera cependant progressivement par rapport à la production mondiale, sans jamais disparaitre complétement.
Dernier point : Les américains se moquent totalement du pétrole du Moyen-Orient, dont ils dépendent très peu pour leurs approvisionnements. Les Etats-Unis sont un gros producteur de pétrole eux mêmes et, pour ce qui leur manque, ils se fournissent au Mexique, au Canada, au Vénézuela (et ce crétin de Chavez est très content de le leur vendre, sinon comment ferait-il pour bouffer ?). Et demain, ils auront le pétrole de l’Artique en Alaska et au Canada.
Chers amis, la censure islamiste et la charia n’ayant pas été instaurées en France, je vous reposte mon message précédent, déjà cliqué à -9, par une coalition de domestiques.
La prochaine fois je le reposterais en trois exemplaires successifs, puis la fois suivante en 6 exemplaires, et ainsi de suite en doublant à chaque fois.
Le contenu de mon message est parfaitement pertinent avec le sujet de l’article et n’a donc pas à être censuré. Le délit d’opinion n’existe pas en France, certains d’entre vous restent encore à le découvrir.
Voici, bonne lecture :
Encore un article ridicule, qui ne tient pas debout, écrit par un domestique.
Le pétrole est-il la cause de l’intervention en Irak ?
Bien sûr que non !
Comment feraient les pays producteurs de pétrole pour donner à manger à leurs populations, s’ils n’avaient pas du pétrole à vendre ?
Ils consacrent les trois-quarts de la ressource pétrolière pour importer des produits alimentaires. C’est à dire qu’ils dépensent les trois-quarts d’une ressources en voie d’épuisement pour financer des besoins récurrents !
Si les Saoudiens n’avaient pas de pétrole ils se nourriraient aujourd’hui comme les Maliens, avec des briques. Et c’est ainsi qu’ils se nourriront quand la manne sera épuisée.
Par conséquent, les pays producteurs de pétrole SONT OBLIGES de le vendre ! Ils sont d’ailleurs tellement obligés d’en passer par là que les occidentaux se sont foutus pas mal de savoir qu’un Saddam Hussein en profitait pour massacrer son propre peuple, et ceci pendant des décennies.
Qu’est-ce que ça pouvait bien nous faire qu’il massacre des kurdes ou des chiites ? On tirait son pétrole du sol, comment faire autrement, les arabes sont incapables techniquement de l’exploiter, on l’enlevait et on faisait un chèque : merci et au revoir.
Et l’autre couillon se prenait pour un caïd !
Qu’est-ce qui s’est passé en Irak ? Pas grand chose : Un âne qui a cru que c’était arrivé et qui a commençé à emmerder tout le monde, a eu les yeux plus gros que le ventre et il a voulu piquer aussi le pétrole de ses voisins !
Trop c’est trop ! Il s’est fait virer. Où est le problème ?
il faut être un domestique des sunnites irakiens, ou une de leur coréligionnaires, pour s’en offusquer aujourd’hui.
Sarko veut seulement enterrér la « politique arabe » de la France, sous les fleurs.
Parler d’un « partenariat euroméditerranéen », c’est renvoyer le problème des relations de la France avec les pays arabes en direction de l’Europe et de nos partenaires européens, dont nous savons bien qu’ils n’en n’ont rien à foutre du Maghreb.
A la fin du vingtième siècle, la France s’est chamaillé avec l’Allemagne pour le contrôle du Maroc, puis avec l’Italie, pour le contrôle de la Tunisie !
Aujourd’hui c’est différent, c’est : « Après vous. Non Merci, je n’en ferais rien ».
Ces gens n’ont plus rien à offrir, que leurs populations misérables à exporter, dont nous n’avons guère besoin chez nous.
Politique euroméditerranénne :
Article 1 : Des visas d’entrée pour tout le monde et des frontières aussi étanches que le mur des Israëliens.
Article 2 : Quand on aura besoin de vous, on viendra vous voir.