La tentation de la rue démange visiblement la gauche fasciste.
On ne compte plus les articles, ou les commentaires, postés sur Agoravox qui nous expliquent benoîtement que « puisque la droite a remporté les élections présidentielles et législatives, la contestation devra être portée dans la rue ».
Il s’agit là, de la façon la plus claire et la plus directe, d’une thèse de fasciste, défendue par des fascistes.
En effet dans une Démocratie, les pouvoirs du Parlement ne peuvent pas être contestés dans la rue par des mouvements, par définition minoritaires car défaits par le suffrage universel.
Les fascistes s’apprêtent donc, tout l’indique et ils l’annoncent d’ailleurs eux-mêmes, à se soulever contre la République.
Il est probable qu’ils s’empareront de la première opportunité qui se présentera eux et qu’ils se soulèveront, brûleront et pilleront à l’occasion d’une loi votée par le Parlement dès cet automne.
Par exemple la loi sur la réforme de l’Université, ou celle sur la réforme du régime de retraites des fonctionnaires.
La riposte des Démocrates devra être cinglante, les futurs émeutiers fascistes devront être mis hors d’état de nuire et ceux qui seront pris devront être frappés de peines lourdes par la Justice Républicaine.
Le fascisme a été vaincu dans les urnes, avec la défaite de la Péronniste Ségolène Royal, il faudra, sans aucun doute, le vaincre dans la rue bientôt.
La tentation de la rue démange visiblement la gauche fasciste.
On ne compte plus les articles, ou les commentaires, postés sur Agoravox qui nous expliquent benoîtement que « puisque la droite a remporté les élections présidentielles et législatives, la contestation devra être portée dans la rue ».
Il s’agit là, de la façon la plus claire et la plus directe, d’une thèse de fasciste, défendue par des fascistes.
En effet dans une Démocratie, les pouvoirs du Parlement ne peuvent pas être contestés dans la rue par des mouvements, par définition minoritaires car défaits par le suffrage universel.
Les fascistes s’apprêtent donc, tout l’indique et ils l’annoncent d’ailleurs eux-mêmes, à se soulever contre la République.
Il est probable qu’ils s’empareront de la première opportunité qui se présentera eux et qu’ils se soulèveront, brûleront et pilleront à l’occasion d’une loi votée par le Parlement dès cet automne.
Par exemple la loi sur la réforme de l’Université, ou celle sur la réforme du régime de retraites des fonctionnaires.
La riposte des Démocrates devra être cinglante, les futurs émeutiers fascistes devront être mis hors d’état de nuire et ceux qui seront pris devront être frappés de peines lourdes par la Justice Républicaine.
Le fascisme a été vaincu dans les urnes, avec la défaite de la Péronniste Ségolène Royal, il faudra, sans aucun doute, le vaincre dans la rue bientôt.
Décidemment la tentation de la rue démange une partie de la gauche !
Qu’ils commettent cette erreur colossale et nous pourrons nous en débarrasser pour les vingt ans qui viennent.
L’heure sonnera inéluctablement, car les syndicats de fonctionnaires, pour ne citer que cet exemple, ne manqueront pas de contester les lois du Parlement qui aménageront leurs systèmes de retraites.
Les organisations fascistes étudiantes, inféodées à la gauche, ne manqueront pas non plus de contester en « occupant » les universités, la réforme de l’université préparé par le gouvernement qui sera également votée par le Parlement.
Le moment venu, il faudra aller donc au clash et accepter le combat, car la contestation dans la rue des lois de la République par des mouvements fascistes (puisqu’ils contestent les pouvoirs du Parlement, il faut bien les qualifier comme ils le méritent) est une anomalie française qui ne connait aucun autre exemple dans aucune démocratie dans le monde.
Tout démontre aujourd’hui, y compris de nombreux posts sur les fils d’Agoravox, que les fascistes se préparent à l’affrontement.
Il faudra donc infliger aux organisations syndicales fascistes de gauche une défaite cinglante, identique à celle que Margaret Thatcher avait infligé aux syndicats des Mineurs.
La gauche fascisante a été vaincu dans les urnes, il faudra bientôt la vaincre dans la rue.
Celà fait des mois que l’armée américaine n’est plus vraiment concernée par ce qui se passe en Irak, où les diverses communautés s’entredévorent.
Au bon vieux temps de Saddam Hussein, le héro des arabes sunnites qui pleurent sur son sort à longueur de fil sur Agoravox, les chiites et les kurdes mourraient par centaines de mille. Ils continuent de mourir aujourd’hui lorsque les correligionnaires irakiens des pleurnicheurs plantent des bombes sur les marchés aux heures de grande affluence. Quel est le problème ?
La seule différence est qu’aujourd’hui les victimes d’hier sont armées jusqu’au dent par les américains et ne se laisseront plus égorger si facilement.
Les américains en sont aujourd’hui à armer les tribus sunnites qui ont déclaré la guerre aux copains de nos pleurnicheurs, les terroristes d’al Qaeda, dont certains sont venus de Seine-Saint-Denis et qui sont pourtant sunnites comme eux !
Et on nous explique que les américains auraient « perdu la guerre » !!
Comment pourraient-ils perdre une guerre qui ne les concerne pas et dans laquelle ils ne s’impliquent qu’en armant un parti contre un autre, en fonction des buts qu’ils poursuivent ?
Les américains ont atteint tous leurs objectifs en Irak pour des pertes minimes. C’est celà la vérité qui éclate chaque jour davantage.
Quand à l’Iran, qui ne pèserait pas beaucoup plus lourd que l’Irak si les américains décidaient de s’en occuper, ce sera l’affaire de la prochaine présidence américaine après les élections de 2008. Rien ne presse.
Bien entendu, il ne faut pas d’élections à la proportionnelle. Ce n’est pas parce que la gauche a été laminée, comme les éléphants le redoutaient depuis la nomination de Ségolène Royal, qu’il faudrait en revenir aux errements de la 4ème République.
La gauche doit seulement redevenir modeste : sa défaite massive est un non-évènement qui était d’ailleurs parfaitement prévisible : combien de voix se sont élevées pour dire que, contrairement à ce qu’annonçaient les sondages d’opinion manipulés par la caste médiatique qui a fabriqué la candidature de Ségolène de toutes pièces dans les salles de rédaction du Monde, de Libération, du Nouvel Obs et de Canal +, Ségolène Royale :
- serait battue.
- pêterait les plombs au cours du débat télévisé avec Sarkozy.
- et briserait le Parti Socialiste.
Les crétins qui servent de militants au pauvre PS n’ont pas voulu entendre raison et ont couvert d’insultes tous ceux qui tiraient la sonnette d’alarme !
Les militants c’est bon pour coller les affiches et distribuer des tracts. Si les militants étaient de bons stratèges politiques, ils ne seraient justement pas des militants, mais des dirigeants de parti.
Il ne reste plus qu’à attendre la fin du second tour :
La caste médiatique trainera Ségolène dans la boue après l’avoir porté au pinacle, comme elle a fait en son temps avec Bernard Tapie. Malheur aux vaincus.
Les dirigeants du Ps vireront Ségolène, qui vient de finir brillament sa carrière politique.
Les militants continueront de ne rien comprendre à rien.
Bref, la vie continuera.
La défaite de la gauche est le triomphe de la démocratie sur la médiacratie. Il ne reste plus à la gauche qu’à contester le résultat des votes dans la rue, ou à organiser des émeutes raciales en Seine-Saint-Denis, pour qu’on s’en débarrasse pour les vingt prochaines années.