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frédéric lyon

Je suis seulement intéressé par ce qui se passe et j’ai horreur des idées toutes faites.

Tableau de bord

  • Premier article le 01/04/2008
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Derniers commentaires



  • frédéric lyon 22 octobre 2011 19:49

    « Ils ne disent pas n’importe quoi pour être élu, ils y croient ! »


    Bien sûr qu’ils y croient !

    Daniel Cohn Bendit vient de proposer que l’on mettre Keynes au pouvoir en Europe ! Alors que, le Keynesianisme n’est pas pour rien dans cette maladie de l’endettement public sans frein, vous connaissez cette manie pernicieuse qui voudrait que l’on finance la croissance par du déficit, c’est à dire par de l’endettement, vous avez tous entendu parler de ces politiques « de relance par la dépense publique » qui étaient censés nous apporter de la croissance comme par magie.

    François Hollande ne dit pas autre chose aujourd’hui, lui qui trouve qu’il n’y a pas assez de fonctionnaires et que l’Etat ne distribue pas assez d’aides ou de subventions !!

    Ces gens sont des parasites sociaux qui n’ont jamais rien fait de bon, ce sont les nouveaux petits marquis d’une nouvelle Aristocratie qui, contrairement à l’Aristocratie de l’Ancien Régime, paye tous ses domestiques avec de l’argent prélevés dans les poches du contribuable, au lieu de les payer avec ses propres deniers.

    Et cette nouvelle Aristocratie parle le langage des opprimés pour mieux tromper son monde.

     


  • frédéric lyon 22 octobre 2011 19:36

    Nous avons de la chance, c’est la Grèce qui est la plus touchée par la dégradation de sa dette souveraine, et la Grèce ne pèse pas bien lourd dans l’économie européenne.


    On pourrait la renflouer sans trop de problème.

    Mais l’Allemagne (et les pays de l’Europe du Nord) veulent faire un exemple et lancer un avertissement à l’Espagne, à l’Italie et au Portugal (et la France suit immédiatement derrière) :

    Il n’est pas question que les fourmis d’Europe du Nord financent les cigales d’Europe du Sud à fond perdu.

    Nous allons assister à une mise sous tutelle des mauvais débiteurs. Plus d’indépendance pour les Etats qui deviennent insolvables, ou bien alors qu’ils quittent la zone euro, pour crever sous l’inflation galopante et la fuite des capitaux. 


  • frédéric lyon 21 octobre 2011 10:27

    Je me demande si Khaddafi ne faisait pas partie de l’Internationale Socialiste.



  • frédéric lyon 21 octobre 2011 10:18

    Il se trouve que les socialistes sont à la recherche d’alliés, car le PS n’est qu’un parti minoritaire comme les autres.


    Or le Front de Gauche n’a pas l’air très commode, les Verts, qui réclament le rétablissement d’un scrutin proportionnel à un seul tour, sont un peu emmerdants.

    Et Bayrou trouve que le « programme socialiste » est à chier !

    Le PS reste donc sans allié, la seule chose qui peut le sauver est le scrutin majoritaire à deux tours.

    C’est le mode de scrutin qui permet à deux partis minoritaires de devenir majoritaire au deuxième tour, grace à un miracle démocratique qui consiste à éliminer du vote tous les autres partis du premier tour !!

    Et ces partis de premier tour représentent plus de la moitié des voix !!


  • frédéric lyon 20 octobre 2011 09:33

    Les marchés, ce sont vous et moi, tous les individus et toutes les entreprises qui prennent à chaque instant des décisions économiques, la décision de consommer ou d’investir, la décision de consommer tel bien ou service plutôt que tel autre, la décision de dépenser ou d’épargner.


    Les marchés sont démocratiques par essence et tous les régimes qui ont prétendu lutter contre les forces démocratiques du marché ont été des régimes dictatoriaux : le régime nazi, les régimes communistes. 

    Le libéralisme politique marche la main dans la main avec le libéralisme économique, l’un ne peut exister sans l’autre et les lorsque l’un d’entre eux, disparaît l’autre disparaît aussitôt.

    Les marchés sont segmentés en fonction de leurs activités, il y a le marché du riz, le marché des machines à laver, le marché des produits financiers, mais en réalité tous les marchés sont connectés entre eux et ils transcendent les frontières.

    Cette réalité du marché, qui est né avec l’avènement du troc, qui s’est accentuée avec l’invention de la monnaie qui a facilité les échanges en permettant la comparaison des valeurs entre tous les différents produits, qui se généralise aujourd’hui à la terre entière, tous les pays ayant abandonné le « socialisme » aussi sûrement qu’ils avaient abandonné le troc, est décrite dans la science économique en langage mathématique, après s’être débarrassé des divagations de philosophes sophistes, tels que Karl Marx ou Friedrich Engels.

    Les idéologies politiques totalitaires ne sont pas les seules à vouloir lutter contre la démocratie des marchés, certaine idéologies religieuses ont également prétendu régenter la liberté des échanges économiques.

    Toutes ces idéologies funestes et pernicieuses sont fort heureusement aujourd’hui des cancers en régression. 
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