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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 15 mars 12:51

    De mon point de vue, une des plus grosse arnaque consiste à faire gober l’idée qu’une nation un Etat (ou pire encore une entreprise) soit une « personne morale ». 

    Non, seul un être vivant est une personne morale, or, un Etat est un outil d’asservissement d’une population à l’obéissance au chef de guerre, donc, d’une personne ou d’une groupe de personnes disposant de la moralité à travers le principe de souveraineté (puis de propriété) dès lors où ils agissent en conscience/connaissance de cause et unissent leurs efforts, mais chacun est individuellement responsable de ses actes.

    Car on ne condamne pas un Etat, mais les individus qui le composent et en premier lieu, ceux qui en ont le contrôle et le manipule. Mon premier article portait sur le fait que dans une fourmilière, une fourmi est une cellule et non un individu, sauf qu’à l’échelle humaine, la relation entre la reine (ou roi) et ses sujets est subjective, alors que pour les fourmis, la reine étant la mère de toutes les fourmis, c’est une relation objective. Donc, la 1ère est lié à l’imaginaire collectif, tandis que pour la fourmi , c’est lié à la réalité physique, la reine est la mère de toutes les fourmis physiquement.

    La notion de personnalité morale d’une nation ne vaut donc pas pour tous ceux qui ne la reconnaissent pas, c’est seulement celle de ceux qui en ont le contrôle qui est applicable, pour la simple raison qu’une condamnation à mort impliquerait le génocide de la population. Ou une condamnation à la prison à vie voudrait dire l’isolement perpétuel. .La complexité réside donc dans l’interférence entre l’imaginaire et la réalité. Dans cette dernière, l’état n’est pas une personne morale, mais un outil, dans l’imaginaire collectif humain, l’état peut prendre une forme de personne morale, mais dans la réalité ce n’est que celle du ou des chefs, pas celle des autres qui obéissent.

    Et enfin, comme toutes les nations se sont construites plus ou moins en appliquant l’épuration ethnique ou le génocide pour toutes les communautés qui ne voulaient pas se soumettre ou bien que le colonisateur vainqueur ne voulait pas conserver, c’est un fait de la nature humaine dans son universalité et non pas contre nature.

    Il y a donc simplement les vainqueurs et les perdants comme étant ce qui a construit le monde d’aujourd’hui dans sa diversité culturelle et ses frontières. La culture étant le moyen pour contrôler l’imaginaire individuel pris dans une communauté dont le ou les chefs de guerres sont la figure héroïque et légendaire qui est sensé représenter l’image de la force des individus que peut contenir cette communauté.

    Autrement dit, l’histoire de l’humanité est celle de la colonisation de la terre par des communautés dont les chefs sont en compétition quasi permanente et où l’arrêt de l’ère colonisatrice a été acté juridiquement par la signature des chefs d’Etats (fondamentalement de type mafieux) de la charte des nations unies et de la reconnaissance d’un droit international qui en découle et dont la création de l’ONU a pour charge de la faire appliquer.

    Sauf qu’il n’y a pas de droit qui tienne sans disposer de la force d’application, or, la force étant détenue par les justiciables eux même, cela revient à demander à un chef mafieux de se mettre à la disposition de la justice pour être jugé et condamné et mis en prison..Ce qui fait rire tous les chefs (mafieux) d’états suffisamment fort pour ne pas être arrêté par un plus fort que soi.

    Mais il est clair qu’avant l’institution de l’ONU, ce qui est un crime contre l’humanité était le crime de l’humanité dans sa pratique courante. Même chose pour le génocide.

    Autrement dit, les notions de crimes contre l’humanité où le génocide est le pire de tous les crimes, car il s’agit de tuer une communauté entière, ont cours qu’avec la création du droit international, car on considère qu’une loi ne peut pas être rétroactive et qu’on ne peut pas condamner physiquement un mort, seulement son esprit.

    Bon, le développement peut se poursuivre, mais c’est plus un commentaire !



  • Hervé Hum Hervé Hum 13 mars 09:51

    @Maître Yoda

    Bon, si vous niez l’évidence des faits, toute argumentation est alors inutile. Pour vous, un homme qui sait sourire, qui s’habille comme un pauvre et porte son petit enfant sur les épaules ne saurait être mauvais. Ma mère pense la même chose lorsqu’un commercial vient lui vendre de la poudre aux yeux lorsqu’il est souriant et bien sapé. Bref, pour vous, l’habit fait le moine et un moine sans l’habit, n’est pas un moine.

    Sachez tout de même que Musk veut détruire la sécurité sociale et récupérer l’argent pour exonérer d’impôt ceux qui sont déjà très riches. Il est effectivement très bon pour eux. Il y a un short diffusé sur youtube où un ancien colonel de l’armée fait remarquer qu’il a servit dans l’armée et a prêté serment pour défendre la constitution USA, tandis que Musk à prêté serment que pour servir ses propres intérêts de classe. Celui ci n’essaie pas de régler les problèmes liées à l’injustice sociale et économique mais à les creuser sous un vernis qui suffit toujours pour les faibles d’esprits et en faire une armée d’idiots utiles.

    Votre dernière phrase démontre votre propre bêtise, car ce ne sont pas les mots qui perdent de leur « substances », mais vous qui ne voulez plus les entendre en raison même de leur « substance ».

    Si vous ne voyez pas la différence, je peux rien pour vous, continuez donc d’aduler Musk et vous laisser manipuler par son bagout, mais on n’a plus rien à se dire.



  • Hervé Hum Hervé Hum 13 mars 09:36

    @SilentArrow

    Allons, le cas de Chypre est particulier et votre argument ne tient pas, car ce n’est pas Chypre qui fait partie de l’OTAN, mais la Grèce. Relisez votre cours d’histoire !

    De mon point de vue, choisir un prédateur plutôt qu’un autre, revient à choisir entre la peste et le choléra. Peu importe que le prédateur en question soit emplie de valeur humanitaire, c’est le principe même du chef dans un monde divisé là où doit être uni. Il ne s’agit pas de supprimer la compétition et même la capitalisation, mais de les déplacer dans l’ordre de priorité sociale et économique. Le prédateur continue à exister, mais sa prédation ne doit plus s’exercer sur la domination des êtres, mais sur son apport à atteindre un objectif définit par la société. Autrement dit, chacun peut capitaliser en fonction de son utilité particulière, selon son mérite personnel et non plus selon sa capacité à exploiter le mérite d’autrui à son profit et qui exige un monde en état de guerre permanent.

    Lisez mon dernier commentaire à Dugenêt, vous verrez que de mon point de vue, le véritable ennemi est à l’intérieur de chaque pays, c’est sa propre élite prédatrice, politique et économique, les deux ayant parti lié.

    Cela veut dire que Poutine pourrait être un « bon » chef, cela n’a aucune importance, car pour si pour faire la guerre il faut être deux, pour la déclencher un seul suffit, puisque l’autre aura comme alternative de se rendre ou se battre.



  • Hervé Hum Hervé Hum 13 mars 09:14

    @Jean Dugenêt

    Si nous sommes d’accord sur cette base, on devrait arriver à être d’accord sur son développement, qui veut que parler de « états unies d’Europe socialistes » est la définition d’un empire pris dans une confrontation avec d’autres empires, donc, soutenir le système capitaliste fondé sur la compétition et la nécessité d’avoir des chefs de guerres pour mener le combat et qui implique la soumission au chef et l’interdiction de toute opposition intérieure.

    Sauf que si nous sommes d’accord sur cette même base, on voit que la véritable lutte n’est pas les végétariens ou les exploités entre eux pour se disputer les restes que leur laisse cette élite prédatrice ou exploiteuse, mais contre ces exploiteurs, chaque communautés d’exploités vis à vis de sa propre minorité exploiteuse.

    Ceci avait été bien identifié au temps de Jaurès, mais ce dernier n’avait pas voulu se défaire de cet outil d’asservissement et le résultat fut la 1ère guerre mondiale qui n’était pas la guerre avec les allemands, mais contre la classe des exploités menaçant la domination bourgeoise de l’époque.

    Bref, cette méthode de soumission et le cas échéant de réduction de la masse d’exploités revendiquant des droits, passe toujours par la guerre des exploités entre eux même. C’est seulement l’avancée technique et la menace de l’URSS à ses début portant en elle l’espoir des exploités occidentaux, qui va pousser les exploiteurs à accorder des droits. Mais après la chute de l’URSS et des dérives de ses dirigeants qui en sont resté au stade capitaliste, la casse sociale pouvait reprendre son cours naturel. C’est le patron du medef de l’époque qui le dira, seulement, s’il est facile d’accorder des droits, c’est plus difficile de les reprendre. Etc

    Cela veut dire que la seule solution pour les exploités d’aujourd’hui, d’où qu’ils soient, passe par une mondialisation sociale et économique, donc, politique fondé sur la charte des nations unies corrigé de son biais sur la propriété et la souveraineté (qui la rend caduque) et avec comme valeur d’équilibre, le principe du mérite personnel qui interdit son appropriation au profit d’autrui, soit donc, l’exploiteur ou pour moi le prédateur humain, celui qui se nourrit du temps de vie d’autrui, alors que le végétarien se nourrit exclusivement de son propre travail. L’humain étant un omnivore, est tout à la fois carnivore, végétarien, charognard et parasite, sachant que c’est le végétarien qui est la base de nourriture de tous les autres, à l’échelle sauvage comme humaine, ou le prédateur prend le nom d’exploiteur, le végétarien d’exploité (ou « mangé » par le temps de vie) le charognard devient l’opportuniste et le parasite, le lumpenprolétariat. Un humain peut donc passer d’un état à l’autre selon sa manière de subvenir à ses besoins. ici, on peut appliquer les lois de la mécanique quantique !

    Techniquement, il est très facile de mettre en place une société humaine fondée sur la recherche d’équilibre économique et où la croissance peut être négative en terme de production sans que cela porte atteinte à l’équilibre socio-économique, car c’est l’équilibre qui est recherché. Par contre, cela implique une révolution de la conscience humaine qui peut ne pas arriver et le résultat sera alors le chaos. Car le principe de causalité dit que pour évoluer vers une échelle supérieure, il faut impérativement définir les lois d’équilibre de l’échelle en cours, sans cela, c’est l’effondrement, une régression très très violente.

    Mais l’ennemi de tout exploité, c’est son exploiteur, pas le peuple voisin avec ses propres exploiteurs et exploités, car dès lors où vous désignez le peuple voisin comme l’ennemi, alors, c’est que vous vous soumettez à vos propres exploiteurs pour mener le combat car un peuple contient à la fois les exploiteurs que les exploités. Ceci obéit au principe de causalité, seul maître de la réalité et auquel donc l’exploité doit se soumettre, mais ce n’est pas un être quelconque ,c’est la logique qui définit le moyen pour atteindre le but voulu. Pour l’exploiteur ou prédateur, la nation est l’outil d’asservissement, pour l’exploité, sa libération passe par l’édification de lois communes entre les peuples qui assure la paix via des lois équitables sur tous les plans et qui surtout permet de préserver toute la diversité culturelle et même de la renforcer, car c’est la culture qui devient, définit les limites territoriales et non plus la lutte de souveraineté des exploiteurs sur les exploités.



  • Hervé Hum Hervé Hum 12 mars 14:20

    @Jean Dugenêt

    Tout d’abord, de mon point de vue, toutes les élites actuellement au pouvoir tant sur le plan politique que économique sont à mettre dans le même sac. Autrement dit, je ne fais pas de différence entre Poutine ou Trump ou Biden, Macron et cie et leur donneur d’ordre que sont les grands actionnaires des multinationales ou ceux qu’on appelle les oligarques.

    ceci, parce que je ne vois pas le monde dans sa confrontation entre les élites prédatrices, tant politique que militaire car ils ont le même intérêt fondamental, c’est à dire, maintenir la division entre ceux que j’appelle les végétariens au sens économique, c’est à dire, ceux qui aspirent à vivre en paix avec leur voisin et du fruit de leur propre travail sans aller voler ou être volé par autrui. Ce qu’on appelle le mérite personnel et qui interdit son appropriation par autrui pour son profit. 

    Cette base étant posée, les élites prédatrices disposent d’un seul argument et pas deux pour justifier leur domination et obtenir la soumission des végétariens, c’est à dire, la menace ou la guerre, donc, l’état d’urgence permanent, sans cela, ils perdent alors toute justification à leur domination et de légaliser leur système de racket. Donc, nous vivons fondamentalement dans un système mafieux par nature, puisque fondant la légitimité et légalité du racket privé que sont les profits sous toutes ses formes et qui est un impôt, uniquement par la menace extérieure qui exige d’avoir des chefs de guerre et de s’y soumettre volontairement et même, de motiver le culte du chef. Cette connaissance est vieille de plusieurs millénaires, mais fonctionne tant que le monde est divisé en communautés avec la nature prédatrice au commande que cela exige.

    Bref, la guerre en Ukraine a été sciemment provoquée par les dirigeants occidentaux, sachant que le prédateur d’en face réagirait par l’invasion de l’Ukraine, puisqu’il a toujours déclaré que la ligne rouge à ne pas franchir était l’adhésion de l’Ukraine dans l’OTAN, sachant que cette dernière n’avait plus lieu d’exister après la chute de l’URSS.

    Enfin, je vous invite à revoir les faits, rien que les faits, c’est à dire, de savoir qui dispose de plusieurs centaines de bases militaire partout dans le monde, qui a installé des missiles nucléaires à la frontière avec la Russie, qui à provoqué des coups d’états partout où les intérêts particuliers de l’élite prédatrice des USA l’y incite .Qui à déclenché les dernières guerres dans le monde et soutiens les guerres partout dans le monde ? Qui soutiens l’épuration ethnique qui tourne au génocide en Palestine. Qui menace constamment les autres et veut imposer sa loi intérieure aux autres dirigeants ? Qui n’a absolument aucune morale ni éthique en dehors de son intérêt matériel ?

    Ben ce sont les prédateurs étasuniens suivies par les européens et invite les autres à faire pareil, ce qu’à très bien compris Poutine. Mais comparé aux autres, il est encore un nain.

    Pour quelqu’un qui se dit communiste, soutenir une forme quelconque de souveraineté nationale ou impérialiste comme vous le faites avec votre ridicule idée d’états unies d’Europe socialiste, c’est soit au mieux un idiot utile qui ne comprend rien de ce qu’il parle, soit un ver dans le fruit et qui donc, le pourri par sa seule présence.

    Vous avez de communiste que le nom, mais toutes vos déclaration et articles prouvent que vous n’êtes pas communiste, seulement un idiot utile perdu dans la masse, car je doute que vous le faites exprès.

    Pour ce qui est de la guerre en elle même, quand un pays en est à mobiliser les enfants à partir de l’âge de 14 ans, généralement, cela signifie qu’ils sont aux aboies. Mais peut être que pour vous c’est une bonne chose, en attendant mieux, c’est à dire, mobiliser les enfants à partir de 10 ans.

    Ce qui « m’amuse », c’est que votre argument de limiter les pertes est exactement le même pour expliquer la lenteur de la progression russes, sauf que d’un coté ils mobilisent les adolescents à partie de 14 ans.

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