Taverne

@Armelle

Bon, je compatis mais cela montre quoi ? Qu’il faut corriger ce défaut. Cela suffira. La suppression pure et simple du dispositif ne se justifie pas. Occupons-nous d’urgence aussi de faire comme j’ai dit pour aider les travailleurs écrasés sous les charges contraintes. Je m’en tiens là car nous sommes hors sujet.

@Armelle

Sachez que dans notre république, on ne peut voter que pour une personne qui s’est déclarée candidate et qui a obtenu les parrainages requis.

J’ai employé à dessein cette image de permis à points car elle fait le buzz en ce moment.

Je fais un aparté, pour répondre à votre question implicite : Je suis favorable à la réduction des dépenses de transports (ou à une compensation financière) pour ceux qui utilisent leur voiture pour aller travailler assez loin de chez eux et ne peuvent pas télétravailler. Mais, il me paraît préférable de poursuivre ce but par d’autres moyens que par la suppression pure et simple du permis à points, notamment par des moyens incluant la préoccupation économique et écologique. 

« personne ne sera privé de soins en fonction du pass sanitaire » (le ministre de la Santé, Olivier Véran, lors d’un déplacement à l’hôpital d’Aix-en-Provence le 5 août 2021).

Pourtant, c’est bien ce qui s’est passé ici : le refus est prononcé en fonction du passe sanitaire. Je doute que le patient de 95 ans serait sur ses pieds et capable de faire le trajet s’il portait en lui le virus. Mais la raison s’efface derrière la peur et la peur amène le rejet.

Qu’en aurait dit notre Jean-Jacques Rousseau, lui qui se faisait sonder régulièrement et qui aurait pu témoigner de la souffrance et de la gêne que provoque cette maladie ?

« personne ne sera privé de soins en fonction du pass sanitaire » (le ministre de la Santé, Olivier Véran, lors d’un déplacement à l’hôpital d’Aix-en-Provence le 5 août 2021).

Pourtant, c’est bien ce qui s’est passé ici : le refus est prononcé en fonction du passe sanitaire. Je doute que le patient de 95 serait sur ses pieds et capable de faire le trajet s’il portait en lui le virus. Mais la raison s’efface derrière la peur et la peur amène le rejet.

Qu’en aurait notre Jean-Jacques Rousseau, lui qui se faisait sonder régulièrement et qui aurait pu témoigner de la souffrance et de la gêne que provoque cette maladie ?

Ce n’est plus un passe, c’est un permis à points !

Après le permis à points, le pouvoir semble vouloir introduire de façon très durable un permis de citoyenneté à points. Tu n’es pas vacciné ? Tu perds des points de citoyenneté jusqu’à juillet 2022 (au moins…). Pour les récupérer, vaccine-toi : une fois, deux fois, trois fois, quatre fois… (La limite ? C’est la firme Pfeizer qui la fixe)

Le coup d’autorité de Macron en juillet dernier (décidément, c’est un mois qui lui plaît) n’a servi qu’à accélérer un mouvement qui se faisait de toute façon. Le maître des horloges a imposé à tout le monde son tempo en se fichant de nos horloges, à nous. Et de quel droit s’est-il permis cette accélération oppressante ?