Hervé Hum

Merci Pyrathome, fasscinante découverte en effet !

On peut donc partir du métamère qui n’en finit pas de se reproduire identique à lui-même jusqu’à ce qu’il semble comprendre que quand même « ça suffit comme ça ! » il est temps de réfléchir un peu pour donner le change et de diversifier ses fonctions :

d’abord : distinguer la tête de la queue

Oui et on imagine mal comment on peut avoir l’idée d’une tête quand on en a pas ? Sans doute d’abord est la queue, car sans queue pas de tête mais il n’y a pas besoin de tête pour avoir une queue. Donc, le métamère pensait d’abord avec la queue.

Reste la question pourquoi vouloir une tête quand on pense avec la queue ? Peut être lorsque la queue se mit à réfléchir sur sa condition de queue... I lui fallait un égo pour faire écho à ses propres questionnement existentiel. La tête venait de naître. Mais comme la queue est antérieure à la tête, chaque fois que la queue commande, la tête obéit. C’est la triste condition de l’homme.

Pour faire du vivant il faut trois conditions

une inconnue ( l’espace=néant)

Une volonté (la conscience=l’Etre)

Une mémoire (le temps= matière)

Si l’une manque à l’appel, la vie ne peut exister.

Pour que ce vivant ait un quelconque intérêt, il lui faut un sens et c’est l’objet de la conscience !

Car seul le sens donne la volonté de faire d’une inconnu, une chose acquise donc mémorisé.

C’est tout, y a rien d’autre a comprendre aux questions ; qu’est ce la vie, d’où elle vient et comment elle se transforme.

Car au fond, l’humain avec sa science ne pose pas ces questions là... Mais cherche seulement à reproduire ce qu’il Est... Ppar résonance. La science ne pose donc pas des questions existentielles premières, mais secondaire, comme le second degré de l’humour. Et comme l’humour, il y a des blagues qui font rire jaunes !

Il peut bien prétendre vouloir ainsi échapper à l’inéluctable de sa propre finitude, mais celle ci n’intervient jamais que par la perte de sens de sa propre existence.

J’ai pas lu l’article car pour ma part ce qui se passe dans ce parti est un non évènement.

Franchement, quel intérêt de savoir si c’est bonnet blanc ou blanc bonnet...

La démocratie n’est pas mettre une tête sur ses idées, mais avoir ses idées en tête !

Salut Samuel,

Je n’ai pas développé et réagissait juste à ton article qui était concentré sur le travail et celui ci me fait penser à ces offres attrape nigauds. Sinon évidemment, humainement c’est toujours enrichissant. Cela devrait être presque obligatoire !

J’en ai fait l’expérience, mais j’ai attendu d’avoir 40 ans ! Et oui, là où j’ai posé ma mochila pendant 4 ans j’ai appris une langue, le castillan et laissé beaucoup d’amis, bien plus qu’en France en 40 ans !

Je crois qu’il n’y a d’étranger que ceux qui vivent mal là où ils habitent. Je connais donc des « français » pure souche parfaitement étranger à la France et des immigrés plus français que moi. C’est le coeur qui fait la nature d’une personne et non le lieux de sa naissance.

Quand quelqu’un me demande si je suis français, j’ai pris l’habitude de lui répondre que non, je ne suis pas français, je suis un humain comme lui, mais s’il veut savoir d’où je suis natif, alors oui, je viens de France.

L« immigration n’est un problème que par ces gens déraciné de la culture qu’ils aiment, non par ceux qui s’en vont par attrait d »une autre culture.

Si l on supprime les raisons qui poussent des gens à s’expatrier pour échapper au mal vivre, on supprime d’un coup d’un seul toute l’immigration négative pour ne garder que l’immigration positive.

Etc...