Sans appareil photo, sans camera, nous vîmes à Valladolid, dans le parc proche de de la gare, un écureuil sautillant qui vint vers nous, pour faire un petit coucou.
J’ai tendu la main vers lui, il approcha délicatement son museau, comme le ferait un chat, puis s’en alla se faufilant sur les petites barrières en bois du parc.
Rencontre inattendue et poétique.