J’ajoute que le français lui-même demande parfois à être « traduit », ou au moins réécrit. Et pas seulement celui de Rabelais, mais parfois celui de Molière ! S’i l y a de très beaux passages, certains sont limites compréhensibles, il faut parfois un effort d’écoute considérable, malgré le travail des acteurs, au point que certains -sacrilège !— ont évoqué l’ide de jouer des pièces aménagées, « nettoyées », je ne sais pas si cela s’est fait.