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En réponse à :


@Fanny

Qualifier ma tribune de « diarrhée verbale » ne fait pas un argument. Ma « rage » ? Elle n’a rien de personnel contre Poutine, mais tout à voir avec ses crimes : villes ukrainiennes bombardées, opposants emprisonnés, élections truquées. Vous parlez de « poutinophiles » comme d’un mystère ? Ce sont ceux qui, en France ou ailleurs, gobent la propagande du Kremlin, excusant ses guerres en Géorgie, Ukraine, Moldavie, sous prétexte d’un « redressement » russe. Les faits ne mentent pas : Poutine n’a pas « remonté » la Russie, il l’a enchaînée à une économie pétrolière corrompue, au prix de la liberté et du sang d’autres peuples.

Vous évoquez une « rage anglo-saxonne » ou un combat pour un « seul gendarme du monde » ? C’est une caricature qui esquive la réalité. Critiquer Poutine, ce n’est pas haïr la Russie, c’est dénoncer un tyran. La France en crise ? Peut-être, mais chercher un modèle dans un despote n’est pas une solution, c’est une abdication. Vous parlez d’un « besoin d’autorité » ? Ce n’est pas en applaudissant un homme qui bombarde des civils ou musèle son peuple qu’on redresse un pays. Si vous trouvez Poutine « indifférent », c’est votre droit, mais fermer les yeux sur ses actes, c’est être complice de son narratif.

Apportez des faits, pas des spéculations sur ma « rage » ou des digressions sur la Chine !

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